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Réunis en assemblée générale annuelle à l’Université de Moncton samedi, les membres de la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick (SANB) ont adopté une résolution afin de faire passer l’âge d’adhésion à l’organisme de 19 ans à 14 ans.
Selon la présidente de la SANB, Nicole Arseneau-Sluyter, accueillir davantage de jeunes au sein de l’organisme vise notamment à permettre à la relève de faire entendre sa voix.
Ces jeunes-là sont très impliqués et ils veulent vraiment faire partie des décisions et participer, mais ils n’étaient jamais capables d’être membres de la SANB, a-t-elle expliqué samedi sur le plateau du Téléjournal Acadie.
On a des jeunes qui sont extraordinaires au Nouveau-Brunswick au niveau de la politique, au niveau de l’engagement, au niveau des organismes, alors d’avoir ce changement-là pour eux, c’est une excellente nouvelle, ajoute Mme Arseneau-Sluyter.
Pour une réflexion publique sur le changement de nom de l’UdeM
Les membres de la SANB sont aussi revenus sur le dossier du changement de nom de l’Université de Moncton.
Même si le recteur de l’Université de Moncton a récemment dit estimer que le « dossier est clos », l'organisme a adopté une résolution appuyant la proposition du Comité citoyen pour un nouveau nom de mettre en place une commission paritaire université-communauté afin de mener une réflexion publique, rigoureuse et transparente sur la question.

La SANB demande un comité afin d'entamer une réflexion rigoureuse et transparente sur le changement de nom de l'Université de Moncton. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Patrick Lacelle
Nicole Arseneau-Sluyter dit également croire qu’il est important de conscientiser les acteurs communautaires de la province, le gouvernement et les citoyens à l’histoire acadienne.
Je constate que l’Acadie, le 15 août, le Tintamarre, c’est pas trop connu, avance-t-elle. Avec tout le monde, avec toute la francophonie, mais même avec les anglophones, on ne connaît pas notre histoire. Je pense que ç’a des effets immédiats sur les décisions qui sont prises au niveau de l’Acadie.
Parmi les autres résolutions adoptées samedi, la SANB souhaite un jour que des cours de français soient offerts gratuitement aux nouveaux arrivants dans la province, une mesure qui vise à répondre au changement rapide du paysage linguistique dans la province, dit la présidente de l'organisme.
Avec les informations de Janic Godin