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«Jurassic World – Renaissance», une franchise qu’on enterre

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Publié le 01 juillet 2025 à 18:20. / Modifié le 01 juillet 2025 à 18:25. 2 min. de lecture

Lorsque votre mission consiste à aller prélever des échantillons de sang sur trois des plus gros dinosaures vivants, l’aquatique mosasaure ainsi que les plus balèzes des herbivores et des ptérosaures, il y a de fortes chances que tout ne se passe pas comme prévu… Le septième film de la saga Jurassic inaugurée en 1993 s’intitule Renaissance et, en effet, on assiste à un rebrassage des cartes, puisqu’on n’y retrouve pas les personnages récurrents apparus dans les trois premiers Jurassic Park (1993-2001) puis dans les trois Jurassic World (2015-2022).

Voici maintenant plusieurs décennies que les dinosaures ressuscités vivent sur Terre au contact des humains. Mais les maladies et des écosystèmes guère adaptés les ont décimés, et les derniers spécimens qui ont survécu occupent désormais une zone tropicale autour de l’équateur. C’est là que Martin Krebs, qui travaille pour une grande entreprise pharmaceutique, espère récupérer ces échantillons sanguins, promesses de médicaments miraculeux. Le voici qui recrute pour 10 millions de dollars Zora Bennett, une mercenaire spécialisée dans la sécurité d’opérations dangereuses. A leurs côtés, le capitaine Duncan Kincaid et son équipage, et en guise de caution zoologique le paléontologue Henry Loomis.

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