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Publié le 03 juin 2025 à 20:57. / Modifié le 03 juin 2025 à 22:03. 3 min. de lecture
La vogue actuelle des biopics vaut aussi pour le documentaire, certains d’entre eux étant désormais produits pour le grand écran. Aux côtés de son collègue britannique Asif Kapadia (Senna, Amy, Diego Maradona), Kevin Macdonald (Marley, Whitney, High & Low: John Galliano) est devenu l’un des grands spécialistes du genre. Même avec pour l’essentiel des images préexistantes, ces cinéastes qui ont également une expérience de la fiction savent tenir le public en haleine par leur science du montage et leur sens de la structure narrative. Avec One to One: John & Yoko, Macdonald va encore un pas plus loin. Mêlant un intérêt déjà avéré pour la grande histoire (One Day in September, My Enemy’s Enemy), il se concentre sur dix-huit mois décisifs dans la vie de John Lennon, qui marquèrent le sommet de son engagement politique.
Il y a dès lors quelque chose d’expérimental dans ce pur film de montage, sans narration off, avec pour seul ajout des plans du modeste appartement qu’occupèrent Lennon et sa compagne Yoko Ono à New York en 1971-1972. Comme pour le souligner, Macdonald cosigne d’ailleurs cette fois le film avec son monteur Sam Rice-Edwards. Mais même sur cette courte période, leur film ne manque pas de matière: rythmé par un rare concert live que John et Yoko donnèrent au Madison Square Garden, il raconte à la fois ce couple si créatif et controversé et ce moment charnière pour les Etats-Unis dans lequel ils se retrouvèrent plongés. Et le résultat, qui échappe à tous les clichés du genre biopic, est assez fascinant.
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