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Par Joachim Le Floch-Imad
Il y a 5 heures
TRIBUNE - Ce mardi, Mélanie, surveillante de collège, a été poignardée par un élève de troisième. Une nouvelle tragédie qui montre combien les digues qui protégeaient l’école de la barbarie ont cédé, analyse l’enseignant et essayiste*.
*Auteur de « Tolstoï. Une vie philosophique » (prix Brantôme de la biographie historique 2024), Joachim Le Floch-Imad publiera fin août, aux Éditions du Cerf, « Main basse sur l’Éducation nationale ».
« Depuis quatre mois, j’attends des réponses et je ne vois rien venir. Je m’occupe de la sépulture de mon fils et de notre famille. (…) Je patiente. Et je saurai qui s’est moqué de nous », écrivait, il y a deux semaines, la mère d’Élias, 14 ans, tué à coups de machette en plein Paris à la sortie de son entraînement de football. Nonobstant les événements des derniers jours, l’Élysée trouvait bon, en retour, de reprendre à son compte l’expression « faits divers ». Deux mots destinés à faire diversion. Deux mots incapables, pourtant, d’effacer la réalité des maux dont souffre une nation qui s’enorgueillissait jadis d’avoir, à travers la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, érigé la sûreté en « droit naturel et imprescriptible ».
Ce mardi matin, au moment où…