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ANALYSE - Lors de la réforme du prélèvement à la source, le ministère des Finances avait renoncé à percevoir l’impôt de 2018. Le terme «année blanche» revient aujourd’hui pour désigner un possible gel des dépenses en 2026. Dans les deux cas, c’est le triomphe de la solution de facilité.
À chaque quinquennat d’Emmanuel Macron son année blanche. Le premier avait commencé en fanfare, par un cadeau fiscal de 81,1 milliards d’euros fait aux contribuables redevables de l’impôt sur le revenu de 2018. En raison de la réforme quasi révolutionnaire du prélèvement à la source mis en œuvre à compter de janvier 2019, le ministère des Finances avait alors décidé de faire une croix sur le millésime 2018. Sinon, les Français soumis à l’IR auraient dû payer deux fois la même année, au titre de 2018 et de 2019. Bon prince, Bercy décréta alors que l’exercice 2018 serait une « année blanche », le terme officiel pour qualifier cette décision spectaculaire et généreuse.
Curieusement, l’expression fait à nouveau florès pour désigner un gel des dépenses publiques en 2026 au niveau de l’année précédente. Cela vaudrait non seulement pour les dépenses de l’État mais également les prestations sociales et les retraites, avec en outre une non-indexation du barème de l’impôt sur le revenu. « Le…