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«Javier Milei n’est pas libertarien car il n’est pas libéral sur le plan culturel»

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Jérôme Perrier.

Jérôme Perrier. Fabien Clairefond

ENTRETIEN - Le normalien Jérôme Perrier vient de publier une note pour la Fondapol (think-tank) sur les origines du courant libertarien et la façon dont cette famille de pensée a été détournée, selon lui, par des populistes de droite comme le président argentin, Javier Milei.

Jérôme Perrier est normalien, agrégé d’histoire et docteur en histoire de l’IEP de Paris. Il est l’auteur d’une note pour la Fondapol intitulée « Le détournement populiste du courant libertarien ».


LE FIGARO. - Quelles sont les origines du courant libertarien ? Qui sont ses penseurs phares ?

JÉRÔME PERRIER. - Le libertarianisme s’est développé principalement aux États-Unis dans les années 1960-1970, au gré d’une radicalisation des positions des « classical liberals », comme les appellent les Américains. Par opposition aux libéraux de gauche, favorables à l’intervention de l’État, les « classical liberals », classés à droite comme le sont les libéraux chez nous, critiquent l’omniprésence de l’État. Les libertariens prolongent les « classical liberals », et notamment l’école autrichienne d’économie, incarnée au XXe siècle par Friedrich Hayek et Ludwig von Mises.

Beaucoup de libertariens - ou d’anarcho-capitalistes, puisque les deux termes sont grosso modo synonymes -…

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