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Voila la suite du plan Trump / Netanyahu – « MIGA !!! »
Publié le 23.6.2025 à 00h10 – Par Élise Delacroix – Temps de lecture 10 mn
Le président américain Donald Trump évoque à nouveau l’idée d’un changement de direction en Iran.
Sur Truth Social, il a déclaré :
« Il n’est pas politiquement correct d’utiliser le terme « changement de régime », mais si le régime iranien actuel est incapable de rendre à l’Iran sa grandeur, pourquoi n’y aurait-il pas de changement de régime ? » a-t-il déclaré.
« MIGA !!! » (Make Iran Great Again) a-t-il conclu son message, reprenant son slogan habituel.
Résumé : nous bombardons l’Iran pour lui rendre sa grandeur comme nous l’avons fait avec l’Irak et tous les autres pays qui se retrouvent dans le chaos aujourd’hui. La liste est longue. Vive la paix des pompiers pyromanes
Trouvé sur le net : « Trump : MIGA ! Rendre à l’Iran sa grandeur d’antan. Nan, c’est définitivement « Make Israel Great Again ». « Faites confiance au plan » Goy. »

Ce n’est plus l’Amérique d’abord mais MIGA désormais? La trahison perçue de Trump divise sa base et expose le pays à des risques majeurs
La frappe américaine du 22 juin contre les sites nucléaires iraniens a déclenché une onde de choc bien au-delà du Moyen-Orient. Alors que Donald Trump vante une opération « spectaculairement réussie », sa base MAGA et une large frange de l’opinion américaine expriment une colère inédite, perçue comme une trahison des principes « America First ». Cette fracture stratégique, couplée à des risques géopolitiques majeurs, place l’administration dans une position périlleuse.
La révolte de la base MAGA : une trahison idéologique
🚨🇺🇸🇮🇱 INFO : Tucker Carlson a lâché une bombe 💣 «L’Amérique a été poussée à attaquer l’Iran par Israël. Israël débarque et nous dit ce qu’on doit faire, et nous on le fait » pic.twitter.com/sL5NlHnSdN
— ⚜ France for Trump ⚜ (@VirginiePerez15) June 22, 2025- L’isolationnisme en berne : Des figures emblématiques comme Marjorie Taylor Greene dénoncent une guerre « qui n’est pas la nôtre », soulignant qu’ »Israël est une puissance nucléaire » capable d’assurer sa défense sans implication américaine . Steve Bannon alerte sur le risque d’un « conflit sans fin » et exige des explications plus détaillées pour rallier la base méfiante.
- Un reniement des promesses : Les partisans rappellent que Trump fut élu en 2016 sur le rejet des guerres étrangères. Charlie Kirk, pourtant loyaliste, reconnaît que les jeunes électeurs MAGA « le soutenaient parce qu’il n’avait pas lancé de nouvelle guerre ». Un sondage préalable aux frappes montrait que 45% des Américains s’y opposaient, avec une défiance marquée chez les Républicains non-alignés.
- Le vice-président Vance en porte-à-faux : Son expression « confuse » lors de l’annonce des frappes est devenue virale, reflétant des tensions internes. Bien qu’il défende désormais l’opération, ses réserves initiales symbolisent les dives au sein du mouvement.
Quand on vous dit en colère ils sont en colère voici quelques images qui tourne sur les réseaux et cela s’amplifie de jour en jour…
Traduction du X :
Chaque fois que l'Amérique est sur le point de connaître la grandeur, nous nous engageons dans une nouvelle guerre étrangère. Les bombes ne tomberaient pas sur le peuple israélien si Netanyahu n'avait pas d'abord largué des bombes sur le peuple iranien. Israël est une nation dotée de l'arme nucléaire. Ce n'est pas notre combat. La paix est la solution.Every time America is on the verge of greatness, we get involved in another foreign war.
There would not be bombs falling on the people of Israel if Netanyahu had not dropped bombs on the people of Iran first.
Israel is a nuclear armed nation.
This is not our fight.
Peace is…
L’illusion d’un succès sans conséquences : les risques immédiats
- Menace terroriste et insécurité intérieure : Greene appelle à « prier pour que notre territoire ne soit pas attaqué », soulignant la crainte d’une riposte contre les citoyens américain . Cette angoisse est renforcée par les déclarations de conseillers iraniens de Khamenei, qui menacent désormais les bases américaines au Moyen-Orient de « cibles légitimes ».
- Crise constitutionnelle : Les démocrates comme Hakeem Jeffries dénoncent une action « illégale » menée sans aval du Congrès, tandis que le républicain Thomas Massie invoque l’inconstitutionnalité de l’opération. Alexandria Ocasio-Cortez évoque même une « destitution ».
- L’impasse ukrainienne exploitée par la Russie : Poutine profite de l’attention tournée vers l’Iran pour intensifier son offensive, évoquant désormais la prise de Soumy et dopant ses ventes d’énergie vers la Chine via des circuits détournés. Les négociations de paix entre Moscou et Kiev sont au point mort.
Traduction du X :
L’annonce par Trump de son soutien au changement de régime en Iran est le plus grand doigt d’honneur qu’il puisse faire à sa base. Un tel manque de respect éhonté envers ses électeurs. Irréel.Trump’s announcement of support for regime change in Iran is the biggest middle finger he could possibly give to his base.
Such brazen disrespect to his voters. Unreal.
L’effet domino économique : l’Europe et la Chine en première ligne
- Le piège du détroit d’Ormuz : L’Iran bloque déjà les navires par brouillage GPS et exige une autorisation préalable pour le transit pétrolier. 25% du pétrole mondial transitant par ce détroit, l’UE anticipe une flambée des prix et des pénuries de GNL qatari, vital depuis l’embargo russe.
- Impact systémique : Marco Forgione (Chartered Institute for Exports) prévient que les consommateurs européens subiront une « triple pression » : hausse des prix, raréfaction des produits et tensions logistiques durables.
- L’opportunité grecque : Athènes pourrait devenir un hub alternatif, mais nécessite d’urgence des investissements dans ses infrastructures portuaires et numériques.
Une coalition anti-américaine qui se consolide dans l’ombre
- L’axe Moscou-Téhéran : Le ministre iranien des Affaires étrangères s’est rendu d’urgence en Russie après les frappes. Poutine, principal allié de l’Iran au Moyen-Orient, a condamné une « violation flagrante du droit international ».
- Le piège diplomatique : Alors qu’Emmanuel Macron prône une « voie diplomatique » et convoque un Conseil de défense , Trump suggère publiquement un « changement de régime » en Iran – une escalade verbale contraire aux déclarations de son Pentagone.
🇨🇳⚡️🇺🇲 URGENT : La Chine accuse les États-Unis d’avoir violé la Charte des Nations unies et le droit international en frappant l’Iran. pic.twitter.com/rVBOqC0Cww
— Trump Fact News 🇺🇸 (@Trump_Fact_News) June 22, 2025Dmitri Medvedev, le vice-président du Conseil de sécurité de Russie : « Les frappes nocturnes des États-Unis contre trois sites en Iran n’ont infligé que des dégâts insignifiants à l’infrastructure nucléaire ».

Conclusion : L’effet boomerang
L’unité républicaine affichée par Trump est un mirage. Les fissures au sein du MAGA, les risques économiques globaux et le renforcement de l’axe russo-iranien créent une tempête parfaite. Lois d’être un « pacificateur » comme le clame Matt Gaetz, Trump a revitalisé les coalitions anti-occidentales tout en affaiblissant sa base. Les jours à venir exigeront plus qu’une « communication intense » de Vance et Rubio : elles devront conjurer la menace d’une guerre élargie et d’une crise économique mondiale, un héritage en complet décalage avec la promesse originelle de « America First ».
Sources principales utilisées :
- : Fracture MAGA et critiques constitutionnelles.
- : Sondages et divisions dans la base.
- : Réactions de JD Vance.
- : Pression russe en Ukraine et condamnation des frappes.
- : Ripostes iraniennes et risques régionaux.
- : Critiques de Bannon et Greene.
- : Conséquences économiques du blocage d’Ormuz.
Apparemment, il est bien plus facile d’aller frapper l’Iran que de sortir la liste d’Epstein ou de rendre la vérité sur l’assassinat de JFK ! Le 11 septembre 2001, n’en parlons même pas…

Une petite compilation sur la propagande américaine et son impact sur le récit des guerres et des pays concernés. « Chaque guerre à laquelle j’ai assisté ces 50 dernières années a toujours commencé par un mensonge alimenté par la propagande.. »
Le Pakistan condamne fermement la frappe américaine contre les installations nucléaires iraniennes – Shafqat Ali Khan, porte-parole du ministère pakistanais des Affaires étrangères
« L’Iran a le droit légitime de se défendre », a déclaré le porte-parole.

Les États-Unis doivent s’attendre à une réponse qui leur fera regretter la frappe contre les installations nucléaires iraniennes – CGRI
Ils ont ajouté que l’Iran continuerait de frapper Israël après l’attaque américaine.

Les Houthis promettent de frapper les États-Unis en réponse à l’attaque contre l’Iran
« Notre riposte militaire approche. Dans un premier temps, les forces américaines en mer Rouge seront attaquées », a-t-il déclaré, ajoutant que les Houthis sont prêts à étendre le conflit jusqu’à ce que les États-Unis cessent leur agression contre l’Iran.
Selon al-Buheiti, l’accord de cessez-le-feu conclu en mai 2025 entre les États-Unis et les Houthis n’est plus valable. Les rebelles le considèrent comme invalide en raison des récents événements.
Auparavant, les Houthis avaient menacé les États-Unis de frappes contre des navires en cas d’intervention américaine dans le conflit avec l’Iran.

Mohammed al Bukhaiti, haut responsable houthi, a déclaré à Al Jazeera : « Ce n’est qu’une question de temps avant que les États-Unis ne réagissent. Nous répondrons à toute agression contre nous ou contre tout pays islamique. Les nations arabes et islamiques doivent agir ; les États-Unis sont déterminés à changer le visage du Moyen-Orient. L’Iran ne nous a pas demandé d’intervenir en sa faveur, et nous n’attendrons pas qu’il nous le demande. »

Toutes les bases militaires américaines au Moyen-Orient ont été placées sous contrôle, rapportent les chaînes spécialisées.
Le Pentagone se prépare à une éventuelle frappe de missiles iraniens.
À l’heure actuelle, la télévision d’État iranienne publie une carte indiquant la portée des missiles iraniens contre les bases américaines dans la région (photo).

Des navires de guerre iraniens atteignent le détroit d’Ormuz
Selon les sources militaires, plusieurs navires iraniens, appartenant principalement à la marine et au CGRI, ont été repérés en train de manœuvrer activement près de l’entrée du détroit d’Ormuz. Ils empruntent d’importantes routes maritimes, créant des tensions dans l’une des plus importantes plaques tournantes du commerce mondial du pétrole.
Selon les observateurs, la plupart de ces navires ne sont pas des navires de la marine civile, mais des navires militaires et des bateaux du Corps des gardiens de la révolution islamique. Leurs actions sont perçues comme une démonstration de force et de possibles préparatifs en vue d’un blocus.
Rappelons que Téhéran avait déjà menacé de fermer le détroit d’Ormuz en réponse aux frappes américaines sur les installations nucléaires iraniennes.
NB: La marine iranienne compte une centaine de navires dont des sous-marins, destroyers et des embarcations rapides.




L’ancien Premier ministre israélien Ehud Olmert a critiqué la gestion de la guerre de Gaza par M. Netanyahu, affirmant qu’il avait l’habitude de déclencher des guerres sans avoir la vision ou le courage d’y mettre fin.
Il a ajouté que la récente frappe américaine sur l’Iran offrait une opportunité stratégique de mettre fin à la guerre de Gaza, mais a averti que si M. Netanyahu n’agissait pas de manière responsable, son arrogance pourrait détruire tout ce qu’il prétend avoir accompli pour Israël.

