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Très critiqué avant l'offensive lancée contre la République islamique, le 13 juin dernier, notamment pour sa gestion de la guerre à Gaza, le Premier ministre israélien semble désormais avoir le soutien de son peuple. De fait, dans les sondages réalisés après l'annonce du cessez-le-feu, Benjamin Netanyahou regagne du terrain.
L'attaque d'Israël contre l'Iran vient alléger la pression sur le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou au moment où il faisait face à des critiques croissantes à l'étranger pour la guerre à Gaza et à des tensions au sein de sa majorité. La veille de l'attaque israélienne lancée le 13 juin contre la République islamique, le gouvernement Netanyahou semblait au bord de l'effondrement sur fond de dissensions dans la majorité à propos de la conscription des juifs ultra-orthodoxes.
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Benjamin Netanyahou, déjà critiqué à l'intérieur du pays pour sa gestion de la crise des otages à Gaza et à l'étranger pour sa conduite de la guerre qu'Israël mène dans ce territoire palestinien, voyait sa popularité chuter. Pire, des premiers sondages le donnaient perdant en cas d'élections. Mais en quelques jours, la situation s'est brutalement inversée.
Un réel homme d'État ?
La plupart des Israéliens, toutes tendances politiques confondues, considèrent que l'offensive menée contre le programme nucléaire de l'Iran était légitime, nécessaire et couronnée de succès. Ils estiment qu'en prenant la décision de la lancer, puis en parvenant à convaincre Donald Trump d'impliquer l'aviation américaine, Benjamin Netanyahou s'est comporté en homme d'État.
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De fait, dans les sondages réalisés après l'annonce du cessez-le-feu, le Premier ministre regagne du terrain en termes d'indices de satisfaction et il redevient le politicien considéré comme étant le plus apte à diriger le pays, plus en tout cas que chacun de ses adversaires. L'embellie se retrouve également du côté des intentions de vote. Le Likoud, son parti, progresse nettement par rapport au sondage effectué avant la confrontation Israël-Iran, mais cette progression se fait essentiellement en fonction des formations situées sur sa droite, composantes de la coalition gouvernementale.
Si les élections avaient lieu ces jours-ci, le Likoud et ses alliés les perdraient en dépit des retombées de l'offensive contre le nucléaire iranien. D'autres dossiers préoccupent les Israéliens, notamment la poursuite de la guerre dans la bande de Gaza et le sort des otages. Sur ces questions, l'action de Benjamin Netanyahou est jugée avec plus de sévérité.
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