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2025 Anadolu
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De nombreux universitaires et une toute une partie de la société civile israélienne ne se contentent plus d'exiger la libération des otages du Hamas. Ils dénoncent de manière de plus en plus audible les opérations militaires dans la bande de Gaza, qu'ils n'hésitent plus à qualifier de « crimes de guerre ».
« Nous sommes restés silencieux trop longtemps, alors que nous ne pouvons pas dire que nous ne savions pas ». Ce cri en forme d'autocritique a été lancé par pas moins de 1 200 universitaires israéliens dans une pétition au nom d'une organisation qu'ils ont surnommé « Drapeau noir », en signe de deuil.
Décidés à ne plus avoir peur des termes, les signataires dénoncent des « crimes de guerre, voire des crimes contre l'humanité » commis contre la population palestinienne dans la bande de Gaza. Ce mouvement sans précédent en dix-neuf mois de guerre survient alors que l'armée israélienne a relancé une offensive et occupé la moitié de la bande de Gaza, depuis que le gouvernement de Benyamin Netanyahou a mis fin au cessez-le-feu le 18 mars. Au cours de ces attaques, 3 000 Palestiniens ont été tués, dont une majorité de civils, y compris des enfants.