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Iran : Au bord de l’Abysse : L’engrenage nucléaire israélo-iranien et l’impuissance des grandes puissances – Part 2

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Au bord de l’Abysse : L’engrenage nucléaire israélo-iranien et l’impuissance des grandes puissances – Part 2

Publié le 22.6.2025 à 17h48 – Par Andrei Kuznetsov – Temps de lecture 5 mn

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Au bord de l’Abysse : Dissection d’une analyse géopolitique prémonitoire sur Israël, l’Iran et le spectre nucléaire

Analyse complète : Décryptage d’une prophétie géopolitique

Analyse fiévreuse de l’escalade israélo-iranienne, articulée autour d’hypothèses alarmantes sur l’échec des défenses antimissiles, l’épuisement des stocks militaires occidentaux, et la probabilité croissante d’un conflit nucléaire. Cette analyse, précise, propose de disséquer méthodiquement chaque strate de ce raisonnement pour en extraire la substantifique moelle géopolitique.

Une voix alarmée perce le brouillard médiatique : la confrontation Israël-Iran s’achemine vers un point de non-retour nucléaire. Cette analyse décrypte les failles techniques, les impasses stratégiques et les défaillances géopolitiques qui pourraient précipiter la région dans le cataclysme. Voici pourquoi la catastrophe semble désormais plausible.

Systèmes de défense défaillants : Le mirage de la sécurité

  • L’Iron Dome, une passoire stratégique : Le bouclier antimissile israélien est présenté comme obsolète face aux missiles hypersoniques iraniens. Une inadéquation technique fondamentale le rend vulnérable, créant un dangereux décalage entre la perception publique et la réalité militaire. Les médias traditionnels seraient complices de cette occultation.
  • L’Occident à sec : L’épuisement des arsenaux : Le détournement vers Israël de missiles initialement destinés à l’Ukraine illustre une pénurie globale criante. L’industrie d’armement occidentale, notamment américaine, ne suit plus le rythme des conflits. Puiser dans les stocks stratégiques nationaux est jugé suicidaire. Conséquence glaçante : la protection américaine de l’Europe et de l’OTAN apparaît comme un leurre, une « grande fumisterie ».
  • Préparatifs de guerre : Des signes qui ne trompent pas : Le déploiement massif de la flotte américaine (4 porte-avions, sous-marins, corvettes) et la mention de bombes bunker-busters géantes (GBU-57 MOP) ne laissent aucun doute sur les préparatifs d’un conflit majeur visant les installations souterraines iraniennes. L’absence notable de la France dans ce dispositif souligne les fractures occidentales.

Découvrez tout sur le missile balistique iranien Sejjil, une arme stratégique à carburant solide capable d’atteindre jusqu’à 2 000 km de portée. Conçu pour frapper des cibles comme Israël ou des bases américaines au Moyen-Orient, le Sejjil représente un tournant dans la technologie militaire iranienne. Dans un contexte de tensions croissantes au Moyen-Orient, ce missile soulève une question majeure : pourrait-il un jour être équipé d’une ogive nucléaire au plutonium ? Analyse technique, portée, puissance, et enjeux géopolitiques, tout ce qu’il faut savoir sur le Sejjil et son rôle potentiel dans un conflit majeur.

L’impasse nucléaire : Le dilemme mortel

  • La tentation israélienne de « l’Action Décisive » : Face à un retrait américain potentiel et à l’incapacité démontrée des défenses conventionnelles à protéger durablement son territoire contre un barrage de missiles iraniens (« ils peuvent tirer pendant un an »), l’option nucléaire émerge comme la seule issue perçue par Israël. L’affirmation israélienne « nous ferons le travail nous-mêmes » prend ici une dimension sinistre. Un renoncement est jugé inconcevable.
  • La spirale infernale, quel que soit le scénario : Que l’Iran possède déjà clandestinement l’arme atomique ou non, le résultat d’une frappe israélienne serait catastrophique :
    • Scénario 1 (Iran nucléarisé) : Riposte nucléaire iranienne immédiate (« ils la renverront »).
    • Scénario 2 (Iran non nucléarisé) : Course effrénée et inévitable de Téhéran vers la bombe (« ça les forcera à l’obtenir le plus vite possible la bombe nucléaire »).
    • Conclusion : Dans les deux cas, c’est « perdant-perdant ». Aucune issue positive n’existe.
  • Le choc humanitaire : Un tournant moral : L’ampleur des pertes civiles palestiniennes (« cinquante ou soixante mille morts, enfants, mères enceintes, vieux ») provoque une rupture éthique majeure. La disproportion de la réponse israélienne au 7 octobre devient intolérable, alimentant la terreur d’une escalade vers l’arme ultime. Un « non » catégorique est opposé à cette logique destructrice.

La faillite des acteurs internationaux : Impuissance et duplicité

  • États-Unis : Un allié en retrait ? Les signes d’un désengagement se multiplient : lenteur des déploiements, détournement des stocks ukrainiens. Les précédents de l’Irak (armes de destruction massive inexistantes) et de la Libye rappellent les limites et la duplicité de la puissance américaine. L’espoir placé dans un retour de Trump comme solution est balayé avec scepticisme.
  • Russie : L’arbitre menaçant : La présence supposée de « 100 à 500 scientifiques russes » sur des sites sensibles iraniens constitue une ligne rouge absolue pour Moscou. La menace est claire : toute frappe israélienne touchant ces installations entraînerait une riposte militaire russe directe contre Israël. Cette épée de Damoclès rend toute opération d’envergure extrêmement périlleuse.
  • Europe et France : L’impuissance coupable : Un appel désespéré est lancé à l’Europe, et particulièrement à la France (« Macron, désengagez-vous s’il vous plaît »), pour rester en marge du conflit. L’absence du porte-avions Charles de Gaulle et la qualification cinglante de l’OTAN et de l’UE comme « fumisterie » et entité floue (« c’est un peu comme l’Europe, hein, ils sont. Soit. ») traduisent un mépris total pour leur capacité à peser ou à dissuader.

Conclusion : Au seuil du gouffre

La synthèse est implacable :

  1. L’engrenage est en marche : La combinaison des défenses inefficaces, des arsenaux occidentaux épuisés, de la détermination israélienne et de la logique infernale de l’option nucléaire place la région « à la veille d’une situation catastrophique ». Les assurances rassurantes sont naïves face à cette équation.
  2. Fin des solutions conventionnelles : Une invasion terrestre de l’Iran est jugée strictement « impossible » (relief, durée, logistique).
  3. Cri d’alarme prophétique : La mention du « coup de Poutine » suggère une manipulation russe habile de la crise. Ce n’est pas une prédiction certaine, mais un avertissement fondé sur une lecture cohérente et terrifiante des dynamiques à l’œuvre : la course vers l’abîme est engagée, et les mécanismes censés l’éviter sont grippés. L’appel à l’Europe pour se tenir à l’écart ressemble à un vœu pieux face à la tempête qui s’annonce. La seule certitude est le danger extrême.

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