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Wayna Pitch
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Le temps de quatre étés, la néophyte Alessandra Lacorazza dépeint les relations complexes entre un père marginal et ses deux filles. Ce premier film âpre et sensible prouve que le cinéma américain indépendant compte toujours des créateurs et créatrices originaux. On avait failli l’oublier.
On ne s’attendait pas à un tel sursaut. Cet été, coup sur coup ou presque, trois films américains indépendants donnent d’excellentes raisons de s’enthousiasmer. Un phénomène que l’on ne croyait plus possible tant le « secteur » paraissait exsangue financièrement et en panne d’imagination artistique. Ces films, il faut le souligner, sont tous signés par des réalisatrices qui, on les en remercie, sont de vraies indépendantes et, ce faisant, n’endossent aucune posture opportuniste rayon (par exemple) néoféminisme belliqueux ou intersectionnalité confuse.