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Trump interdit aux Afghans l’accès au territoire américain, on se demande bien pourquoi… ? Les Afghans sont si gentils, si sociables, si bien intégrés… Ah, vous croyez ?
Enfin c’est ce que croit une de mes relations, à laquelle une association d’accueil de sans-papiers dirigée par des Jésuites (les cathos, ce sont les pires) a fourgué deux Afghans en alternance. Elle ferme les yeux avec application sur leurs travers, leur cuisine qui sent le graillon, leur tendance à emprunter de l’argent sans jamais le rendre. Elle râle, mais elle les garde. C’est ce qui s’appelle être prisonnier d’une idéologie.
Il s’agit de l’association JRS France, qui organise hospitalité et hébergement temporaire en ville dans des familles bénévoles. C’est considéré comme très chic, très distingué de se livrer à cet accueil en le faisant savoir, alors que la main gauche doit ignorer ce que donne la main droite, à Versailles et Saint-Germain-en-Laye, chez les bobos de gauche qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.
La Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) et l’Observatoire de l’immigration et de la démographie ont publié une étude signée par Didier Leschi, qui n’est pas n’importe qui : il est directeur général de l’office français de l’immigration et de l’intégration. Ce document met en évidence un phénomène : la population afghane est passée de 1600 personnes à 100.000, en dix ans. Et cela s’amplifie : il y a eu 3000 demandes d’asile par des Afghans les premiers mois de 2025.
« En 2024, plus de 70 % des Afghans ayant déposé une demande se sont vu accorder un statut de protection internationale (réfugié ou protection subsidiaire), contre moins de 40 % dans certains pays européens. Ces écarts de reconnaissance encouragent les mouvements secondaires : « Des personnes déboutées dans d’autres pays de l’Union européenne viennent demander l’asile en France » écrit Didier Leschi.
Les Afghans, en France, s’installent principalement à Vannes, Aurillac ou Colmar mais bientôt il y en aura partout. Merci Macronescu.
L’étude confirme la domination masculine : 85 % des demandes d’asile concernent des hommes. L’indice scolaire est faible : 40 % déclarent n’avoir jamais été scolarisés, 19 % n’ont jamais dépassé le primaire.
Plus grave : 57 % des Afghans restent sans emploi, donc à notre charge. Encore plus grave : 99 % d’entre eux soutiennent l’instauration de la charia et 85 % approuvent la lapidation pour adultère !
C’est une arrivée de migrants jeunes, mais ne parlant pas français et à l’employabilité limitée. Ils n’ont pas nos valeurs, par exemple en ce qui concerne la liberté de conscience, ou les droits des femmes… qui n’ont pas de droits en Afghanistan. Elles ont interdiction de faire des études au-delà du primaire, de se déplacer sans mentor masculin, de faire entendre leur voix en public, ou même d’être vues : leurs fenêtres sont bouchées. Veut-on importer ce modèle en France ?
Didier Leschi pose une question : « La France peut-elle continuer d’accueillir une immigration aussi massive, aussi déséquilibrée – ajoutons une immigration aux valeurs aussi éloignées des nôtres – sans se mettre en péril ? »
Les Afghans sont la première nationalité à revendiquer avec une insistance abusive, comme des conquérants, l’asile en France.
Les Afghans sont les auteurs d’un certain nombre de méfaits en France. Listons sur 3 mois :
- 29 août 2024 : un Afghan poignarde un individu en plein centre-ville de Rennes
- 23 août 2024 : un Afghan commet une agression sexuelle sur enfant de 5 ans
- 14 août 2024 : idem
- 9 août 2024 : règlement de comptes entre Afghans au Creusot
- 5 juillet 2024 : un Afghan jugé pour trafic de stupéfiants à Lens
- 4 juillet 2024 : un Afghan condamné pour agression d’un buraliste en Vendée
- 1er juillet 2024 : un Afghan armé d’un couteau poursuit une passante
- 21 juin 2024 : un homme est tué dans une boucherie à Rennes par un Afghan
- 19 juin 2024 : un Afghan est condamné pour détention de tabac de contrebande
- 15 juin 2024 : deux jeunes filles sont agressées sexuellement par deux Afghans à Dijon
- 11 juin 2024 : un Afghan est condamné pour escroquerie à Compiègne
- 6 juin 2024 : à Guéret un Afghan a des relations sexuelles avec une ado de 14 ans
- 30 mai 2024 : un Afghan de 24 ans agresse sexuellement une jeune fille
N’oublions pas que Matisse a été tué de coups de couteau le 27 avril 2024 par un Afghan.
Autre événement sordide : en janvier 2024, une gamine de 7 ans a été embrassée de force sur la bouche par un Afghan de 35 ans qui passait par là. Les femmes, pour eux, sont des êtres inférieurs et à leur disposition. « Celui qui ne respecte pas, il dégage », dit le père de la fillette.
Sur trois mois, on voit déjà de quoi sont capables certains Afghans (pas tous, selon la formule consacrée !). Les statistiques criminelles allemandes montrent une surreprésentation afghane dans les délits sexuels en Allemagne. Malheureusement, en France, on n’a pas le droit de faire de statistiques ethniques.
Bon, arrêtons là car la liste est longue et on pourrait nous accuser de stigmatiser ou de diffamer. Certains diront : « Ah, mais les Français aussi ! ». Certes mais dans une bien moindre mesure. On sait que les prisons sont remplies d’étrangers. En Allemagne, les Afghans représentent 5 % de la population mais 2,3 % des mis en cause pénalement.
En Allemagne, toujours – puisque la France se refuse à établir des statistiques -, les Afghans sont 21 fois plus représentés parmi les mis en cause pour abus sexuels sur mineurs, 16 fois plus représentés pour proxénétisme, 14 fois plus représentés dans la distribution, l’acquisition, la possession et la production de pornographie enfantine, 10 fois plus représentés dans les atteintes violentes aux personnes.
On les retrouve également champions dans les crimes mafieux : vols à main armée, vols qualifiés, extorsions de fonds, etc.
De plus, belle hypocrisie, la France range ces Afghans, au sein de France Travail, dans la rubrique des migrants relevant du continent asiatique. Pratique pour améliorer la moyenne des Afghans, quand on connaît toutes les qualités des Vietnamiens et leur pugnacité au travail.
Qu’attendons-nous pour dire comme Trump : « Les Afghans, on n’en veut pas ! » ? D’avoir toujours plus de meurtres, de viols, de vols avec violence ? D’avoir au fil des années une population violente, ingérable, allergique à l’emploi, qui nous coûtera un « pognon de dingue », ne fera que nuire à la France et dont on ne saura que faire ?
Comme disait Jeanne d’Arc au sujet des Anglais, j’aime bien les Afghans, mais chez eux…
Sophie Durand