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Ils partagent le moment le plus honteux de leur vie, qui les hante encore des années plus tard

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Life 14/05/2025 20:00 Actualisé le 14/05/2025 22:48

Cinq personnes ont accepté de nous raconter leurs souvenirs les plus embarrassants, auxquels ils pensent encore parfois avant de s’endormir.

Le soir est souvent propice aux angoisses et certains souvenirs, parfois les plus honteux, peuvent remonter à la surface de notre conscience.

Maskot / Getty Images/Maskot

Le soir est souvent propice aux angoisses et certains souvenirs, parfois les plus honteux, peuvent remonter à la surface de notre conscience.

SECRETS - Qui n’a jamais partagé son « plus grand moment de honte » avec ses proches, lors d’une session de confidences ? Qu’elles soient survenues dans l’enfance ou à l’âge adulte, nous avons tous des anecdotes ou des histoires embarrassantes, qui parfois nous hantent encore, surtout lorsque la nuit tombe.

Pour récolter ces témoignages, nous avons lancé un appel auprès de nos lecteurs et nos lectrices. Force est de constater que ce sont surtout des femmes qui y ont répondu. Et, si ces moments de hontes sont souvent liés à des fluides corporels incontrôlés, certains ont des regrets beaucoup plus attendrissants. Voici les souvenirs les plus gênants que cinq personnes ont accepté de partager.

« J’ai retiré ma culotte et je l’ai mise dans mon sac »

« J’étais maman accompagnatrice pour une sortie scolaire, une compétition d’échecs. J’ai senti que la bande thermocollante de ma culotte avait lâché dans le tramway. Alors que je devais veiller sur une dizaine d’enfants. J’ai dû tenir ma culotte avec ma main par-dessus ma robe pour ne pas qu’elle tombe à mes pieds. Sortie du tram, j’espérais que le lieu de l’animation n’était pas loin, mais il fallait marcher 500 mètres. Impossible dans ces conditions. En pleine rue, et de manière la plus furtive possible, il a fallu que je retire ma culotte et que je la mette dans mon sac. La maîtresse était derrière moi sur le trottoir. Elle a forcément vu mais ne m’en a jamais parlé… »

Juliette*, 38 ans

« Ma fille a lâché un énorme rot »

« J’avais un bébé de 4 mois et je télétravaillais. Je devais appeler quelqu’un pour le travail, un chercheur. J’avais ma fille dans les bras et je suis tombée sur le répondeur. J’ai laissé un message vocal. Mais à la fin du message, j’ai dit “merci beaucoup et bonne journée”, il y a eu un blanc et ma fille a lâché un énorme rot. Je ne savais pas quoi dire ou faire, donc j’ai raccroché. J’ai estimé que me justifier, c’était encore pire. Il ne m’a jamais rappelée. »

Justine*, 37 ans

« Je barbotais dans la merde, littéralement »

« J’étais en licence et j’habitais avec mon copain. Il était tout le temps dans le salon à jouer à la console. Et les toilettes étaient juste à côté. Or, j’ai toujours été méga gênée d’aller à la selle quand il y a des gens pas loin. Et j’étais tout le temps malade à l’époque, tout le temps la diarrhée. Un jour, j’avais vraiment très envie, mais il était là. J’étais terrorisée à l’idée qu’il entende quelque chose.

Donc je me suis dit “De toute façon, je vais être malade, donc je vais aller dans la baignoire et chier dedans”. Comme si je prenais une douche. Sauf que j’ai bouché la baignoire. L’eau s’est mise à monter. Je barbotais dans la merde, littéralement. Donc j’ai pris ma brosse à dents pour appuyer sur tout ça et que ça parte. Voilà. J’ai passé mes pieds et la baignoire à l’eau de javel et je suis sortie de là changée à jamais. Je l’ai racontée des années plus tard à mes proches et lui n’en a jamais rien su. »

Marie*, 35 ans

« Je revois encore le long filet de morve »

« C’était l’épreuve de maths du brevet des collèges. J’étais déjà une brêle en maths, je n’étais pas bonne. Au moment de commencer l’épreuve, je me suis rendu compte que je n’avais pas ma calculatrice. J’étais surveillée par mon prof de physique chimie, qui avait une calculette sur son bureau et qui a refusé de me la prêter. C’est ça qui a déclenché mes larmes. Je me suis sentie humiliée et je me suis mise à beaucoup pleurer.

J’avais un paquet de Kleenex avec moi, mais après deux heures de pleurs, je n’avais plus de mouchoirs. Je dégoulinais de partout sur le visage et à un moment, une surveillante m’en a proposé un. Elle me l’a passé et là, je revois l’énorme filet de morve qui s’est formé entre ma main et le mouchoir. Je me répandais, c’était l’enfer. J’avais toute ma classe autour de moi et certains ont rigolé. J’ai fini par me ressaisir une demi-heure avant la fin de l’épreuve et par écrire quelque chose sur ma feuille. J’ai eu une très mauvaise note et ça m’est resté. J’y repense parfois, quand je fais de petites insomnies. Aujourd’hui, j’en rigole, mais je m’en souviens. »

Stéphanie*, 37 ans.

« Je n’ai plus jamais jeté un papier par terre »

« Je devais avoir la trentaine et je rentrais chez moi en voiture. J’étais tout seul et heureusement, parce que ça m’a évité de partager la honte du moment. Je me suis garé et j’ai ouvert la portière. J’avais un sac de papier dans lequel j’avais dû mettre un emballage de sandwich et une serviette jetable utilisée. Je les ai balancés directement dans le caniveau et j’ai commencé à m’éloigner, à pied.

À ce moment-là, un gamin qui devait avoir entre 7 et 10 ans - l’âge de raison - s’est mis à me courir après en ramassant le sac et m’a dit “Monsieur, vous avez perdu quelque chose ! Je vous le rends”. Le sac ne pouvait pas prêter à confusion, ça se voyait que c’était destiné à la poubelle. Son geste était un rappel à l’ordre, mais formulé de façon très subtile. Et je me suis senti à la fois idiot et embarrassé. Je n’ai plus jamais jeté un truc par terre depuis. C’est resté dans mon esprit et quand je vois quelqu’un jeter un papier ou une canette, j’ai toujours envie de faire comme ce petit garçon. Les enfants parfois nous ramènent à l’évidence. »

Léon*, 65 ans

*Les prénoms ont été modifiés

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