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Alain Pitton/NurPhoto
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Ce mercredi 2 juillet, le Sommet sur la question de l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie, convoqué par Emmanuel Macron, s'est ouvert à Paris. « Marianne » vous propose d'y voir plus clair grâce à un entretien croisé avec le député loyaliste non-indépendantiste, Nicolas Metzdorf (Ensemble) et Iabe Lapacas, secrétaire du Mouvement Kanak en France et membre du Collectif Solidarité Kanaky.
La question néo-calédonienne serait-elle en passe de trouver une issue ? C'est en tout cas les espoirs que le chef de l'État place dans le sommet lancé ce mercredi 2 juillet, pour trouver un accord sur l'avenir institutionnel de l'archipel, un an après les émeutes meurtrières qui l'ont secoué au printemps 2024. En clair, reprendre le fil des négociations en réunissant indépendantistes et non-indépendantistes autour de la table.
« Cette démarche vise à instaurer un dialogue garant d’un équilibre politique, social et culturel durable, adapté à la réalité calédonienne, avec pour ambition de dépasser les logiques d’opposition pour construire, avec tous les Calédoniens, un avenir partagé, équilibré et pérenne », précise une note d'information publiée dans la nuit de mardi à mercredi. Une démarche censée faire oublier l'échec du conclave de Deva, début mai, au cours duquel Manuel Valls avait présenté le projet de « souveraineté avec la France », ce qui avait provoqué l'ire et le départ des loyalistes des négociations.