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Il va faire plus froid à cause du réchauffement climatique !

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Le bon sens revient peu à peu et terrifie les professeurs Philippulus. Quand des gens constatent que la réalité ne correspond pas au narratif des médias menteurs, ils se prennent à douter. Ainsi des « températures ressenties » un concept journalistique du même tonneau que « le sentiment d’insécurité ». Histoire de faire passer pour des cons les gens qui dénoncent les écarts entre le réel et l’enfumage des gouvernants.

La formule magique « des scientifiques (ou des chercheurs) disent que… » sans donner leurs noms, leurs titres, leur spécialité et leurs travaux, a de plus en plus de mal à convaincre. Même si cela impressionne encore quelques blaireaux.

Dans le flux d’inepties débitées par la propagande, une nouvelle extravagance émerge pour abonder les délires du GIEC. Oui il va faire chaud à en crever, mais vous n’allez pas tarder à vous peler les roustons !

Des astrologues nouvellement recrutés par le GIEC, histoire de ne pas humilier les vieux birbes qui radotent depuis des décennies, avancent un nouveau scénario. Froid devant ! Tiens, on n’assène plus des certitudes, on parle d’hypothèses corrélées à de nombreux facteurs qu’on ne maîtrise pas tous. Serait-ce un début d’humilité, voire d’honnêteté chez ces crapules mondialistes ? Que nenni ! C’est juste une ruse pour continuer à terroriser la planète. En expliquant, à leur manière, le refroidissement constaté depuis 20 ans après la stase du début du siècle.

Le coupable du nouvel âge de glace serait le détraquement de l’AMOC, acronyme d’Atlantic meridional overturning circulation. Coïncidence amusante, amok ou amoc, signifie complètement cinglé avec des pulsions criminelles en tagalog, parlé en Malaisie et aux Philippines.

Notre AMOC correspond à la circulation thermohaline des grands courants marins, bien connue, observée, analysée et modélisée. Pour faire simple, l’eau chaude plus salée sous l’équateur et les tropiques, remonte en surface vers le Nord, suivant la force de Coriolis, en se refroidissant et en perdant de la salinité. Une fois arrivée dans les zones froides, elle redescend en profondeur, alimentant un cycle sans fin. Naturellement à l’aller, elle réchauffe là où elle passe, et au retour, elle refroidit. C’est le thermostat naturel de notre planète.

Selon une étude publiée dans Geophysical Research, une revue naguère estimable, hélas passée sous la coupe des idéologues du GIEC, un effondrement de l’AMOC pourrait entraîner des hivers extrêmement froids en Europe. Nos savants Cosinus affirment que la fonte de la banquise due au réchauffement climatique (le revoilà !) modifierait notablement le sens des courants, leur température et leur salinité, dans l’Atlantique nord. Chamboulant les climats tempérés.

Une pseudo-démonstration doublement bancale

Ces rigolos expliquent qu’il va faire plus froid lorsqu’il aura fait plus chaud parce que la banquise aura fondu. Or l‘Atlantique nord compte 354.700.000 km3 d’eau et la banquise arctique seulement 1.370.000 km3 soit 0,38 %. Un ratio insignifiant pour un effet négligeable. Même dans l’hypothèse farfelue où elle fondrait complètement.

En outre, s’il y avait une incidence sur la circulation thermohaline du Gulf Stream, les côtes Nord Américaines seraient impactées et pas l’Europe. La carte montre clairement que le Gulf Stream, après s’être refroidi aux hautes latitudes, redescend le long des côtes du Groenland, impactant depuis toujours l’Est des USA. Ce qui explique que New York City, situé sur le 40e parallèle comme Naples en Italie, a un climat nettement plus froid. Même la camorra n’y peut rien.

La terre est un tout dont la rotation assure une répartition des phénomènes entre les deux hémisphères. Par les courants marins et les vents en altitude. Or les cuistres de l’IPCC affirment que 7,8 millions de litres de glace fondent chaque seconde en Antarctique. Même en oubliant les variations saisonnières et la tendance au refroidissement de l’hémisphère austral, 7800 m3 multipliés par 31.536.000 secondes, cela ferait 246 milliards de m3 fondant chaque année. Or le volume de glace des pôles est de 24 millions de milliards de m3 selon l’Ifremer. Les chiffres du professeur Philippulus représentent 0,001 % du total des glaces.

Bien entendu, le seul moyen d’empêcher cette nouvelle catastrophe annoncée serait de recycler la CO2phobie en effectuant des réductions drastiques des émissions de gaz à effet de serre. On a déjà entendu ça pour lutter contre la chaleur. L’argument réversible peut aussi servir à arrêter le froid. Ces propos abscons ont eu un impact déstabilisant sur la santé mentale fragile de Greta, et elle s’est retrouvée avec un keffieh sur le nez et les oreilles pour éviter de s’enrhumer en Israël au mois de juin.

Les médias mainstream, en bons petits soldats du NWO, rabâchent en chœur des élucubrations recyclées

L’étude à laquelle ils se réfèrent avance la possibilité d’avoir des hivers beaucoup plus froids et plus longs en France et en Europe dans les années qui viennent. Avec une température moyenne de -18 °C à Paris. Ce qui serait exceptionnel. À cause du réchauffement climatique. Du jamais vu ?

Les prédicateurs oublient le dernier petit âge glaciaire avec les hivers mémorables de 1709 et 1789 affichant des températures constantes en dessous de 20°C, même dans le sud de la France. Quand sur le Rhône et la Garonne, mais aussi dans le port de Marseille, la glace supportait le poids des charrettes, avec une épaisseur autour de 28 cm. On parle de 600.000 morts. Mais comme pour la grippe pangoline, les manipulateurs d’opinion éludent les relations causales en se perdant dans de nébuleuses comorbidités.

On zappe l’hiver de 1880 avec des températures de -24°C à Paris, qui ont fait des dizaines de milliers de morts en île de France par hypothermie. Les routes étant impraticables, le charbon pour se chauffer n’arrivait plus… En comparaison, l’hiver de 1954 dont les vieux pas encore gâteux se souviennent, était plutôt clément malgré la banquise à Dunkerque et des congères à Perpignan.

Le catastrophisme dans tous ses délires

Les pythonisses nous annoncent pour l’an 2100, si la terre continue à se réchauffer, des hivers à -50°C en Europe. De quoi faire le bonheur des paléoanthropologues qui soutiennent que le peuplement d’Amérique du Nord aurait pu commencer il y a 100.000 ans quand la banquise descendait jusqu’en latitude de Nantes. Les Sapiens d’Europe partis à la chasse ou à la pêche sur leurs kayaks en longeant la glace, à la façon des Inuits, auraient ainsi atteint l’Amérique.

Pour les refroidistes actuels, la température moyenne en Europe pourrait descendre à moins 50°C d’ici la fin du siècle. Le continent devenu inhabitable serait abandonné à son triste sort, la civilisation s’effondrerait, et seules subsisteraient des oasis en Sibérie, au Groenland et dans les hautes montages, tandis que l’Antarctique commencerait à redevenir habitable.

La faiblesse mathématique des modèles et la faillite intellectuelle de ceux qui s’y réfèrent

Tandis que les uns ne cessent de brandir des records de chaleur, en sélectionnant soigneusement l’endroit, l’heure et les conditions de relevé, en plein midi, en été, sans vent et sous une verrière… d’autres annoncent à cor et à cri la prochaine glaciation sans autre argument que des modèles nourris de paramètres ad hoc sélectionnés par leurs soins.

En théorie, les modèles s’articulent sur des systèmes d’équations différentielles qui cherchent à établir des relations entre des fonctions inconnues et leurs dérivées aléatoires. Certes on y intègre les lois de la physique, de la chimie et de la mécanique des fluides, mais on influe sur les interactions en fonction du résultat que l’on veut obtenir. C’est la même supercherie qu’avec l’IA. Il n’en sort que ce qu’on y a entré, réassorti selon des tris croisés par des algorithmes qui ne sont pas neutres.

La planète est subdivisée en grilles tridimensionnelles émiettées où on reporte sur chaque élément des suites séquentielles renforcées d’extrapolations plus ou moins cohérentes. Puis on évalue les résultats à l’aune des interactions supposées avec les points voisins. Sans risque de surprises, puisqu’on a programmé d’avance dans chaque case 3D les écarts thermiques « probables » en fonction des vents « possibles », du rayonnement solaire « envisageable » , de l’hydrologie et de l’humidité « plausibles ». Comme si la combinaison des phénomènes atmosphériques correspondait toujours aux schémas théoriques.

Il s’agit donc au mieux d’approximations qui, la plupart du temps, s’écartent des observations de terrain. Ou les infirment totalement. D’où la tentation de « compenser les écarts » (= tricher en novlangue) pour ne pas perdre la face. C’est aussi une des méthodes de prédilection des sondeurs politiques. Produisant des statistiques sur lesquelles les décideurs s’appuient pour justifier leur impéritie et leur incompétence.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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