NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
L’entente provisoire sur la centrale hydroélectrique de Churchill Falls n’est pas encore entérinée, mais Hydro-Québec lance tout de même des études géotechniques et environnementales pour le projet de Gull Island, l’un des ouvrages envisagés dans l’accord de principe conclu avec Terre-Neuve-et-Labrador.
La campagne d’investigations, évaluée à entre 10 et 15 millions $, commence dès cette semaine en aval de Churchill Falls, dans le secteur où doit se situer le nouveau barrage de 2250 mégawatts, et permettra de recueillir des données nécessaires à la préparation des travaux de construction, selon un communiqué d’Hydro-Québec publié mardi.
En décembre dernier, cette dernière et Hydro Terre-Neuve-et-Labrador ont conclu une entente provisoire qui revoit à la hausse le prix de l’électricité de la centrale existante de 5428 mégawatts à Churchill Falls, mais qui ouvre aussi la voie à de nouvelles installations hydroélectriques au Labrador.
Hydro-Québec, qui a soif d’énergie renouvelable, s’occupe de la construction d’une deuxième centrale de 1100 mégawatts à Churchill Falls et du nouveau barrage à Gull Island, et pourra acheter la majorité de la production.
Selon la nouvelle PDG d’Hydro-Québec, Claudine Bouchard, les travaux témoignent de notre engagement à travailler avec les entreprises autochtones et locales au Labrador.
La société Stassinu Stantec Limited Partnership, un partenariat entre la compagnie innue Stassinu Services Inc, basée à Natuashish, et la société canadienne Stantec Consulting Limited, mènera les analyses géotechniques.
WSP–Terre-Neuve-et-Labrador dirigera les analyses environnementales et le transporteur aérien labradorien Air Borealis sera responsable des déplacements des membres du personnel.