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Hôpital ou camp de la mort ? La loi tue

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La loi sur l’euthanasie ouvre grand le cauchemar des camps de la mort au lieu et place de l’hôpital. Comme il est interdit de faire du prosélytisme en faveur de la vie, mais qu’il est seulement autorisé d’inciter et soutenir les candidats à leur propre suicide, les députés de la République ont décidé hier d’euthanasier la liberté d’expression et de bientôt poursuivre les religions, religieux et personnes de foi qui voudraient soutenir l’espérance en la vie auprès de leur proche. Les religions en faveur de la vie sont donc coupables et devront bientôt être poursuivies, voire interdites. Le pas est presque fait.

Mais le plus grave est à venir très rapidement. Demain, les médecins de la mort vont être contraints de rendre des comptes à des administrations qui vont contingenter les dépenses de santé et donc mesurer le nombre de renoncements aux soins par le recours à la mort. Ce sera demain un des critères de performance des hôpitaux. Combien de « patients » nous font faire des économies en acceptant leur euthanasie : les internés en psychiatrie, les personnes âgées en soins intensifs ou palliatifs, les polyhandicapés en MAS, etc.

Très vite, la pression économique va s’exercer sur les médecins et les personnels soignants pour réduire la facture de santé en France. L’hôpital va donc devenir un lieu de l’encouragement à la mort volontaire des populations fragiles et indésirables : les vieux, les réputés incurables, etc. Cette loi nous fait basculer du lieu de soin et de protection au lieu d’élimination des humains onéreux.

L’industrie de la mort est en marche, parce que des êtres monstrueux, des êtres insensibles à la condition humaine, des calculateurs fous, mais aussi des personnes effrayées par leur fragilité humaine : souffrance, faiblesse et petitesse qui les confrontent au sens de la vie, à la destinée humaine veulent tuer par intérêt et frayeur spirituelle. L’euthanasie est aussi une faillite spirituelle, un refus de se voir dans son humanité, par orgueil, par fausse grandeur, parce que le déni de notre condition d’être fini leur est intolérable.

Le camp de la mort va tuer des enfants cancéreux, tuer des handicapés accidentés de la route, tuer des personnes fragilisées par la vie : miséreux, dépressifs, etc. La doctrine de l’euthanasie désirée est une escroquerie intellectuelle, car la persuasion va agir pour dissuader de vivre et pour accélérer le renoncement. Cette société de haine va développer des comportements pervers, toxiques, de persécution mentale et morale pour conduire des humains à se persuader qu’ils doivent accepter qu’on les tue. Il suffira de faire demain un peu plus de propagande pour dire que les porteurs de certains gènes provoquant des maladies doivent être manipulés génétiquement de force ou tués. Hier, les députés de la République ont ouvert la boîte de Pandore d’une société dont les nazis rêvaient ; celle de l’élimination consentie des indésirables.

Alors, pouvons-nous rester les bras ballants dans une République qui a décidé de tuer la liberté d’expression des défenseurs de la vie auprès de leurs proches et décidé de promouvoir la mort comme solution personnelle et sociale ? Pouvons-nous encore obéir à une telle institution et à ses représentants dès lors que nous avons signé la première loi eugéniste du IIIe Reich ? La vie et la défense des opprimés méritent que nous refusions d’être condamnés au silence. Les idéaux du nazisme sont donc bien ceux des progressistes et des institutions discrètes qui nous gouvernent. C’est maintenant, pour ceux qui en doutaient encore, une révélation manifeste.

Pierre-Antoine Pontoizeau   

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