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Haavara : l’accord oublié entre sionistes et nazis
Publié le 25.5.2025 à 23h15 – Par Luca Giordano – Temps de lecture 5 mn
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Israël est une émanation de la Cabale, l’état d’Israël a été créé par les Rothschild pour ça, il est et a toujours été dirigé par eux, l’état d’Israël est artificiel, ils ont chassé et tué les juifs Sémites pour s’y implanter tout en se prétendant sémites eux-mêmes et victimes d’antisémitisme.
Les accords de Haavara entre les sionistes et Hitler pour peupler ce nouvel état fabriqué de toute pièce en témoigne :
RÉVÉLATIONS : L’accord Haavara de 1932, qui a préparé ceux de Balfour, entre Hitler et les autorités sionistes pour la colonisation de la Palestine. Les preuves que les nazis sont sionistes
Le mot « nazi » est une fusion de deux mots : NATIONAL ZIONISTS = NAZI ✅
Hitler n’arrivait pas à faire décoller son parti national-socialiste, alors il a forgé un partenariat avec les sionistes parce que leurs intérêts étaient alignés. L’accord de Haavara en est la preuve absolue.
Pourquoi ne nous enseigne-t-on pas cela dans nos livres d’histoire ?



En 1933, un accord surprenant est signé entre le mouvement sioniste et le régime nazi: l’accord Haavara. Ce pacte économique controversé permettait à des Juifs de quitter l’Allemagne pour rejoindre la Palestine… avec l’accord des nazis.
Pourquoi cet accord a-t-il été conclu ? Quels en étaient les enjeux pour les deux camps ? Pourquoi reste-t-il méconnu aujourd’hui ? Cette vidéo revient sur un épisode troublant de l’Histoire.
Hitler : Mythes, réalités et contradictions d’une figure historique
Adolf Hitler, souvent décrit comme le mal absolu par certains ou, de manière controversée, comme un défenseur de la race blanche par d’autres, reste une figure complexe dont l’histoire est entrelacée de mythes, de manipulations et de réalités troublantes. Voici une synthèse des principaux éléments qui entourent sa vie, ses motivations et les forces qui l’ont soutenu.
Origines obscures et débuts troubles
Plusieurs théories entourent les origines d’Hitler. Certaines sources, bien que difficiles à vérifier, suggèrent qu’il serait un bâtard de la famille Rothschild par la branche viennoise (Salomon). En revanche, il est établi qu’Hitler a servi comme agent du renseignement allemand pendant la Première Guerre mondiale. Après sa démobilisation, il a traîné à Munich et fréquenté des cercles homosexuels, où il aurait même pratiqué la prostitution.
Autre élément troublant : il est quasi certain qu’il n’a pas écrit Mein Kampf lui-même. Le livre, souvent confus et mal structuré, aurait été en grande partie rédigé par des collaborateurs, dont Rudolf Hess et des rédacteurs nazis.









Sexualité déviante et hypocrisie nazie
Hitler était un déviant sexuel, oscillant entre homosexualité, fétichisme et relations incestueuses. Sa relation obsessionnelle avec sa nièce Geli Raubal, qui s’est suicidée en 1931, en est un exemple marquant. Par ailleurs, malgré la persécution des homosexuels sous le IIIe Reich, le parti nazi était lui-même un repaire d’homosexuels, avec une hiérarchie distinguant les gays « virils » (comme Ernst Röhm) et les « féminins », ces derniers étant persécutés.
Le directeur de l’Institut de Recherche Sexuelle de Berlin, Magnus Hirschfeld, affirmait : « Il n’y avait pas 10% de gens avec une sexualité normale chez les cadres du parti nazi. » Ironiquement, le premier autodafé organisé par les nazis en 1933 visait les archives de cet institut, où de nombreux membres fondateurs du NSDAP figuraient comme patients (The Pink Swastika).
Un pantin de l’oligarchie mondialiste ?
Hitler n’aurait peut-être jamais pris le pouvoir sans le soutien de l’élite financière allemande et internationale. Le parti nazi a été financé par des industriels allemands (Krupp, IG Farben) mais aussi par des banquiers de Wall Street, dont Prescott Bush, grand-père des futurs présidents américains, agissant comme intermédiaire.
Pendant la guerre, certaines usines stratégiques allemandes, propriétés de ces oligarques, n’ont jamais été bombardées par les Alliés, un fait confirmé par des témoignages familiaux et historiques. Sur le plan monétaire, Hjalmar Schacht, le grand argentier du Reich, était un protégé de Montagu Norman, directeur de la Banque d’Angleterre, considéré comme une figure centrale de la finance mondialiste.
Pierre Hillard : Les influences et les relations entre les élites juives et les nazis.
Les objectifs cachés du nazisme
Les nazis et leurs soutiens avaient des multiples buts, souvent méconnus du grand public :
- Détruire l’Allemagne pour la soumettre : Le chaos de la guerre devait permettre une domination post-conflit par les élites financières.
- Justifier la création de l’ONU : Selon John Foster Dulles, futur secrétaire d’État américain, l’ONU était une « étape primitive du Nouvel Ordre Mondial ».
- Diaboliser le nationalisme : En associant toute forme de patriotisme au nazisme, les globalistes pouvaient promouvoir un supranationalisme.
- Profits de guerre : Des entreprises américaines ont continué à vendre du pétrole et des pièces détachées à l’Allemagne via des sociétés écrans.
- Détruire l’Europe chrétienne : Les nazis promouvaient un paganisme néo-germanique (Société Thulé) et l’occultisme.
- Favoriser la création d’Israël : L’accord de la Haavara (1933) organisait une coopération entre sionistes et nazis pour transférer des Juifs allemands en Palestine, tout en permettant à l’Allemagne de contourner le boycott international.
Conclusion : Un instrument du chaos
Hitler fut-il un monstre autonome ou un outil utilisé par des forces plus vastes ? La réalité semble se situer entre les deux. Son régime a servi des intérêts géopolitiques et économiques tout en semant une destruction qui a remodelé l’ordre mondial. L’accord de la Haavara, les financements transatlantiques et la persistance d’usines stratégiques épargnées suggèrent une manipulation à grande échelle.
Ce sujet, bien plus vaste, mériterait une analyse approfondie, notamment sur le rôle des Britanniques et des Soviétiques dans cette machination. Une chose est sûre : l’histoire officielle ne raconte qu’une partie de l’histoire.
Pour aller plus loin :
- The Pink Swastika (sur l’homosexualité dans le nazisme)
- Wall Street and the Rise of Hitler (Antony C. Sutton)
- The Transfer Agreement (Edwin Black, sur Haavara).
Source : Foreign Affair, Museum, Wikipedia, The Independent, Palestine Remenber,