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Dans une guerre civile ayant entraîné le déplacement de 11,3 millions de personnes depuis avril 2023, les deux provinces de l’ouest du pays deviennent le théâtre des pires exactions, selon un rapport de l’Organisation internationale pour les migrations publié le 6 juillet.
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Saïf est un omda, un chef de sa communauté. Le 15 juin, il a quitté le camp de déplacés d’Abou Shouk aux abords de la ville d’El-Fasher, dans la région du Darfour du Nord. Comme des milliers d’autres, c’est à pied qu’il a pris la route, poussé par les bombardements et les persécutions infligées par les belligérants du conflit soudanais à leur peuple. « Avec le siège de la ville, la famine s’est vite installée. Les gens se sont tournés vers la nourriture destinée au bétail, vers les fruits qu’ils trouvaient dans les arbres », écrit-il par messagerie instantanée depuis le camp de déplacés de Tawila, à 70 kilomètres à l’ouest d’El-Fasher. Il a déjà été arrêté pour s’être exprimé dans les médias étrangers.
Depuis avril 2023, la guerre civile soudanaise, qui a fait 150 000 morts en deux ans, voit s’affronter pour le pouvoir les forces armées soudanaises (FAS) dirigées par le général Al-Bourhane et les Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohammed Hamdan Daglo, dit « Hemetti ». Les deux provinces du Darfour sont devenues le théâtre des pires exactions dans un conflit ayant entraîné le déplacement de 11,3 millions de personnes, selon le rapport de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), publié le 6 juillet.
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