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Grève des taxis : opération escargot à Biarritz et blocage à Pau pour rester «mobilisés»

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Par Le Figaro avec AFP

Il y a 2 heures

Taxi dans le quartier de l’Opéra et des Grands Magasins du boulevard Haussmann.

Taxi dans le quartier de l’Opéra et des Grands Magasins du boulevard Haussmann. Francois BOUCHON / Le Figaro

Au lendemain de réunions avec le gouvernement jugées «pas satisfaisantes» mardi par les représentants syndicaux, des fédérations de taxis ont annoncé mercredi «continuer le mouvement» jusqu’à samedi à Paris et à Pau.

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Environ 100 taxis mobilisés contre une réforme du transport des patients ont mené jeudi une opération escargot à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) en attendant une «grosse» manifestation samedi à Pau, fief du Premier ministre François Bayrou, où une centaine d'autres chauffeurs ont maintenu leur blocage.

Une centaine de taxis, selon la préfecture et l'un des syndicats, ont défilé jeudi matin au ralenti dans le centre-ville de Biarritz avant de mettre en place tout l'après-midi un barrage filtrant des VTC devant l'aéroport de la ville balnéaire, très fréquentée en ce week-end prolongé de l'Ascension.

«Plusieurs verbalisations»

«C'est pour faire remonter l'information que nous continuons à être mobilisés. Peut-être que ce ne sont que des prémices. Tant qu'on n'aura pas eu d'autres réunions et d'autres avancées, il y aura des actions, c'est sûr», a expliqué à l'AFP Jean-Marie Tourré, président de la chambre syndicale des taxis des Pyrénées-Atlantiques. Devant l'aéroport, «on laissait les gens passer mais pour les VTC on demandait aux forces de l'ordre de vérifier que tout était en règle. Il y a eu plusieurs verbalisations», a-t-il assuré.

La préfecture a fait état de son côté de «quelques tensions avec les Uber mais aucune dégradation signalée». À Pau, ville dont François Bayrou est le maire, les services de l'État ont dénombré une centaine de chauffeurs toujours mobilisés jeudi. Les chauffeurs de taxis sont notamment remontés contre une convention qui modifie leur rémunération pour le transport de patients, qui représente pour certains une part significative de leur chiffre d'affaires, notamment en zone rurale.

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La nouvelle tarification, qui doit entrer en vigueur le 1er octobre, prévoit une prise en charge de 13 euros par l'Assurance maladie, puis un tarif kilométrique. Au lendemain de réunions avec le gouvernement jugées «pas satisfaisantes» mardi par les représentants syndicaux, des fédérations de taxis ont annoncé mercredi «continuer le mouvement» jusqu'à samedi à Paris et à Pau.

Dans la capitale, la mobilisation a été maintenue sur le boulevard Raspail, près des ministères, point de ralliement des chauffeurs qui enchaînent des nuits de mobilisation depuis dix jours. «Il y a toujours du monde boulevard Raspail, les taxis se relaient, ça tourne. Plus d'une centaine aujourd'hui. On va continuer dans les prochains jours», a déclaré à l'AFP Dominique Buisson, de la Fédération nationale du taxi (FNDT).

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