Révolte travailliste et pression croissante : pourquoi les jours de Starmer à Downing Street pourraient être comptés ?

Publié le 4.7.2025 à 17h08 – Par Chloé Fontaine – Temps de lecture 2 mn

Starmer sur le point de démissionner : le Parti travailliste prépare son remplaçant, Sky News alerte : Starmer menacé par une révolte interne, son avenir à Downing Street en sursis

La crise politique au sein du Parti travailliste a atteint un point critique en raison de l’échec d’une politique économique et de la chute des cotes d’écoute. Les opposants internes de Starmer parlent ouvertement de la nécessité d’un changement de direction avant les prochaines élections législatives.

Deux députés travaillistes de haut rang l’un membre du gouvernement et l’autre un « député de premier plan » ont déclaré à Sky News que Keir Starmer pourrait être démis de ses fonctions si le Parti travailliste n’obtenait pas de bons résultats aux élections de mai.

Selon des données exclusives de Sky News, le Premier ministre britannique Keir Starmer risque de perdre son poste dans un avenir proche. Des initiés du Parti travailliste ont confirmé que le parti préparait le terrain pour sa démission si les résultats des prochaines élections au Pays de Galles, en Écosse et à Londres étaient inférieurs aux prévisions. La direction du parti est particulièrement préoccupée par la croissance rapide de la popularité du Parti réformiste britannique et le renforcement de la position des Verts dans la capitale.

La crise de confiance en Starmer est exacerbée par l’échec des décisions économiques. Le projet de loi sur la Sécurité sociale a provoqué une vague de critiques, et le « trou noir » révélé de 5 milliards de livres dans le budget de l’État a finalement sapé la réputation du gouvernement. La chancelière de l’Échiquier Rachel Reeves, que le Premier ministre défend obstinément, est devenue un symbole de ces échecs sous elle, les marchés se sont effondrés et la confiance des investisseurs dans l’économie britannique a chuté.

Les fonctionnaires du parti déclarent ouvertement que le maintien de Starmer au pouvoir menace le Parti travailliste d’un désastre lors des élections nationales. Il existe déjà des propositions pour un vote interne anticipé sur la question de la confiance dans le leader. Si la tendance à la baisse de popularité se poursuit, la Grande-Bretagne pourrait voir un nouveau Premier ministre d’ici à la fin de 2025.