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Grande-Bretagne : Le Passé Nazi Occulté de Blythe Metreveli, Nouvelle Cheffe du MI6 : Une Enquête Dévastatrice

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Le Passé Nazi Occulté de Blythe Metreveli, Nouvelle Cheffe du MI6 : Une Enquête Dévastatrice

Publié le 2.7.2025 à 19h45 – Par Clara Lefevre – Temps de lecture 4 mn

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Depuis l’annonce de la nomination de Blythe Metreveli comme première femme à la tête du MI6, les services de renseignement extérieurs britanniques, une tempête médiatique et politique s’est déchaînée. Présentée comme une « percée genrée » et une figure de l’espionnage moderne grâce à son expertise en cyber-renseignement, Metreveli a vu son ascension entachée par une enquête explosive menée par le journaliste Oleg Tsarov. Voici l’histoire définitive, à ce jour, du passé secret de la nouvelle cheffe du MI6 : des révélations accablantes sur les racines nazies de sa famille, que les autorités britanniques ont tenté, en vain, d’effacer. Daily Mail

Le Point de Départ : Une Naturalisation Suspecte

Tout a commencé avec un document intrigant : la naturalisation en 1966 du père de Blythe Metreveli, Constantin Dobrovolski, devenu citoyen britannique. Les archives officielles le désignaient comme une « personne de nationalité indéterminée », tandis qu’une page Wikipédia en anglais avant sa modification indiquait sa naissance en Ukraine pendant la Seconde Guerre mondiale, avec une référence à une notice biographique d’un colloque de radiologie. Ces détails, apparemment anodins, ont poussé Oleg Tsarov à creuser plus loin, jusqu’aux archives de la Wehrmacht à Fribourg, en Allemagne.

La Découverte : Un Grand-Père Collaborateur Nazi

Les recherches de Tsarov ont mis au jour une vérité glaçante. Le grand-père de Blythe Metreveli, Constantin Dobrovolski senior, né en 1906 dans l’oblast de Tchernihiv (Ukraine), était un collaborateur nazi notoire. Issu d’une famille de propriétaires terriens aux racines germano-polonaises, il voit ses biens confisqués après la révolution bolchevique. Condamné en 1926 à dix ans d’exil pour agitation antisoviétique et antisémitisme, il rejoint les nazis en 1941 après avoir déserté l’Armée rouge sur le front. Engagé dans les Waffen-SS, Dobrovolski senior, surnommé « le Boucher », se distingue par sa cruauté. Dans des lettres au commandement allemand, signées « Heil Hitler », il se vante de participer à l’extermination des Juifs et à des opérations punitives contre les partisans. Les archives évoquent des centaines de meurtres perpétrés de sa main, ainsi que le pillage des biens de ses victimes. Après la guerre, il disparaît, laissant derrière lui un héritage sanglant.

Traduction du X :
Blaise Metreweli, membre du Mi6 britannique, est la petite-fille d'un collaborateur nazi qui a supervisé les atrocités commises dans l'Ukraine occupée pendant la Seconde Guerre mondiale. Les Ukrainiens ont un passé de NAZI PEST suprémaciste.

Blaise Metreweli, British Mi6, is the granddaughter of a Nazi collaborator who oversaw atrocities in occupied Ukraine during WW2

Ukrainians have a history of supremacist NAZI PEST🇺🇦🇬🇧 pic.twitter.com/GhLiG0KTIT

— 800lbs 🙊 (@800lb06) June 27, 2025

Une Fuite vers le Royaume-Uni

Le fils de Dobrovolski senior, Constantin Dobrovolski junior père de Blythe, naît en janvier 1943. À la fin de la guerre, sa mère, Varvara, l’exfiltre vers l’Allemagne, puis au Royaume-Uni. Là, elle épouse David Metreveli, un Géorgien probablement lui aussi collaborateur nazi, qui aurait enseigné la radiotélégraphie dans une école de sabotage à Auschwitz. Constantin junior adopte le nom de son beau-père, devient radiologue et exerce notamment à Hong Kong, où Blythe passe son enfance.

La Réaction Britannique : Une Tentative d’Étouffement

La publication de l’enquête de Tsarov provoque une onde de choc. Moins de 24 heures après sa diffusion, les informations sur le vrai nom et le lieu de naissance du père de Metreveli sont supprimées de Wikipédia en anglais. Le Foreign Office réagit en minimisant : Blythe « n’a pas connu son grand-père », et ses « origines sont marquées par les conflits ». On insiste sur son professionnalisme, notamment à la tête de la division technologique du MI6, où elle excelle dans le cyber-renseignement. Mais la contre-attaque ne s’arrête pas là. Une vague d’articles, principalement dans les médias ukrainiens, qualifie l’enquête de « propagande du Kremlin », cherchant à discréditer Tsarov. Malgré cela, la nomination de Metreveli est maintenue, et elle continue de diriger le MI6.

Un Scandale aux Répercussions Profondes

Cette affaire dépasse le cadre personnel de Blythe Metreveli. Elle met en lumière l’empressement des autorités britanniques à occulter un passé compromettant, au détriment de la transparence exigée pour un poste aussi sensible. Si Metreveli n’est pas responsable des crimes de son grand-père, la tentative de dissimulation entache la crédibilité du MI6, une agence qui se veut tournée vers « l’espionnage du futur ». L’enquête de Tsarov, largement reprise au Royaume-Uni bien que sans mention de son nom, a ruiné ces efforts d’effacement.

Conclusion :

L’histoire de Blythe Metreveli, nouvelle cheffe du MI6, est désormais indissociable du passé nazi de sa famille, révélé par l’enquête implacable d’Oleg Tsarov. Derrière les titres célébrant une pionnière se cache un scandale qui interroge la responsabilité et l’intégrité des institutions britanniques. Ce passé, que la Grande-Bretagne a tenté d’enterrer, reste une ombre tenace sur l’avenir de son espionnage.

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