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Première humiliation qu’on ne va pas se priver pas de savourer. Les milliards supplémentaires exigés par l’éternel mendigot punk à chiens lui sont passés sous le nez. Malgré les efforts louables de Fripounette, du converti Kahir Starmer et du chancelier Hitmerz qui prépare toujours la revanche de 1945.
Le demi Turc cosmopolite s’était invité au Canada, cette fois sans son copain l’ancien tortionnaire SS, pour le G7 qui regroupe les plus puissantes économies de la planète. Sans la Chine, l’Inde et la Russie qui représentent avec les BRICS la moitié des terriens et 35% du PIB mondial contre 44% pour le groupe des sept.
L’avorton déguisé en commando de carnaval avait la prétention de siéger au milieu des Grands. Comme si son résidu d’État-voyou en ruines pouvait faire partie de la bande. Il en est reparti, la queue basse et les poches vides. Trump a refusé de lui parler. Et les autres lui ont tourné le dos.
La France humiliée a quand même gagné un lot de consolation. La prochaine session des jeux de bonneteau planétaire se tiendra en 2026 à Evian. Foutriquet très ému l’a annoncé avec des trémolos dans la voix. Tant qu’à rester dans les eaux minérales, Vichy eut mieux convenu. Il y a tant de bons souvenirs là bas pour les Boches et les collabos de la Gross Europa.
Hélas pour ces voyous, tel Eliott Ness déboulant chez les mafieux en plein partage du butin, notre ami Vladimir a perturbé la fête.
« Je considère les Russes et les Ukrainiens comme un seul peuple. Dans ce sens, toute l’Ukraine est nôtre. »
Poutine n’y va pas par quatre chemins. Mais seuls les téléphages ignares et décérébrés s’indignent du propos. Car ils ignorent l’histoire. Kiev fut non seulement russe depuis le règne de Vladimir Le Grand, mais aussi la capitale de toutes les Russies de l’an 862 à l’an 1276. Avant d’être détrônée par Moscou.
À comparer avec l’éphémère État-croupion d’Ukraine, inventé par le concert des Nations après la première guerre mondiale pour punir l’Autriche Hongrie. Ersatz de nation, incorporée à l’URSS en 1922 jusqu’en 1991, sauf pendant la parenthèse des nazis. Pas forcement appréciée par tout le monde. Même si le pouvoir actuel la vénère et en a fait son âge d’or perdu.
En d’autres termes, l’Ukraine du Zygomyr, vieille de 34 ans, est un patchwork de territoires disparates, sans unité nationale ni sentiment d’appartenance commune à une histoire et à une culture. Des fiefs anciennement turcs, polonais, roumains et hongrois, éparpillés au fil des batailles. Échangés, pris et repris selon le sort des armes. Où les Russes venaient mettre un peu d’ordre quand leurs voisins se montraient trop turbulents.
Les deux langues plongent leurs racines slaves dans le ruthène. Au bout de 1000 ans, toutes les langues évoluent. Mais les différences n’empêchent pas de communiquer. Des puristes affirment que si les Ukrainiens comprennent le russe, l’inverse n’est pas évident. Et pour cause, puisque pour affirmer et accentuer leurs différences, les Ukrainiens ont développé dans des isolats, des sabirs locaux. Associés à des cultures endogamiques, accentuant des consanguinités préjudiciables.
Ce vendredi, le président russe n’a pas exclu la prise par la Russie de la ville stratégique de Soumy, située à environ 30 kilomètres de la frontière, au moment où les forces russes ont fait une percée dans cette région du nord-est de l’Ukraine.
« Il y a un proverbe : là où un soldat russe met un pied, cela nous appartient » a dit Vlad
Précisant que son objectif n’était pas d’annexer toute l’Ukraine, et ensuite l’Europe entière comme racontent les médias glaireux pour effrayer les crétins goitreux. Ceux qu’on reconnaît aux bajoues de shar-pei et au triple menton qui leur ont poussé à force d’être scotchés devant leur télé, nuit et jour, en se goinfrant de saloperies hautement caloriques.
« Nous n’avons pas pour objectif de prendre toute l’Ukraine, mais je ne l’exclus pas non plus », a déclaré le président russe lors du forum économique de Saint-Pétersbourg. « Les ukrainiens représentent une menace permanente pour nous, en bombardant constamment les zones frontalières ». Il aurait pu ajouter : En refusant l’affrontement direct et sans plan stratégique. Des escarmouches, juste pour gagner du temps.
Vlad a essayé de faire comprendre au nain barbichu et à ses oligarques que, s’ils s’enferrent dans leurs délires de victoire, ils risquent de perdre purement et simplement ce qu’il reste de leur pays. Avec leurs grasses sinécures. Le plus important pour eux. Même s’ils ont eu le temps de planquer les milliards des «alliés» dans des paradis fiscaux. Le pognon, sans l’ivresse du pouvoir, ça doit être beaucoup moins rigolo.
Depuis plusieurs semaines, Moscou revendique la prise de villages dans la région de Soumy. Le Kremlin entend y constituer une « zone tampon » (no man’s land en franglais) afin d’empêcher l’armée ukrainienne de mener de nouvelles offensives frontalières, comme celle lancée l’an dernier dans l’oblast de Koursk. Une initiative finalement ratatinée comme une crotte de chien sous un rouleau compresseur.
Pendant les rodomontades, la baston continue
Le pygmée hystérique de Kiev semble avoir la comprenette bouchée. Il continue à rêver d’une capitulation russe couronnée par la prise de Moscou en apothéose… Dans ses délires partagés avec Fripounette, Starmer, et Hitmerz, boostés par des abus de sucre en poudre.
Comme les tyrans iraniens, ceux de Kiev refusent de voir leur monde s’écrouler autour d’eux, tant qu’ils ne sont pas touchés personnellement. Ainsi, comme d’habitude, les glapissements de putois enragé du Zygomyr amplifiés par nos médias complaisants ont servi de commentaires aux dernières attaques aériennes sur la ville portuaire d’Odessa, dans le Sud-Ouest, menées pendant la nuit de jeudi à vendredi, tandis que Kharkov, deuxième ville d’Ukraine, située au Nord Est, a encaissé des frappes de drones et de bombes planantes.
Beaucoup de casse. Mais pas question de parler de paix, sauf aux conditions exigées par les vaincus : retrait de toutes les forces russes et versement d’indemnités colossales. Avec les encouragements des médias macronards qui amplifient les « victoires » de l’Ukraine, chaque fois que ses soldats tiennent une position un jour de plus avant de détaler. Dans ces conditions, il n’y a pas de raisons pour que ça s’arrête.
La déconfiture des Ukronazis pourrait s’accélérer après les restrictions volontaires en fourniture de matériels de guerre par les Américains et les limitations forcées des Européens. Du fait de leurs arsenaux vides et de l’impossibilité de leurs industries de les regarnir rapidement après le grand gaspillage.
Y-a-t-il un risque de récession pour la Russie dont l’économie est entraînée par l’effort de guerre ?
Poutine est vigilant. Il a les yeux fixés sur les indices de production et de consommation, ainsi que sur les flux du commerce extérieur, prêt à relancer la machine en cas de ralentissement. L’économie russe a fait preuve en 2023 et 2024 d’une résilience exceptionnelle face aux « punitions » des Occidentaux, compensant la fermeture de certains marchés acquis, par l’ouverture d’autres plus prometteurs. En particulier dans le domaine de l’énergie avec l’Inde et la Chine.
Et n’en déplaise aux russophobes qui espéraient que la croissance s’effondre, les lourds investissements publics dans le complexe militaro-industriel permettent toujours de stimuler l’économie. Même s’ils se diversifient dans un souci d’équilibre, pour encourager d’autres secteurs comme l’agriculture, le BTP, les services et les nouvelles technologies. Autant de synergies supplémentaires.
Vladimir a confiance dans le patriotisme, le sens de l’effort et l’ingéniosité de son peuple. Des forces que peuvent lui envier les décadents d’un Occident en cours de tiers-mondisation.
Christian Navis