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Frédéric Encel: «Aujourd’hui, plus des deux tiers des Israéliens s’opposent à Netanyahou»

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ENTRETIEN - Alors que la coalition de Benyamin Netanyahou a échappé de peu à la dissolution de la Knesset voulue par l’opposition, le géopolitologue analyse les lignes de fracture qui traversent la société israélienne.

Frédéric Encel est docteur en géopolitique et enseignant à Sciences Po Paris. Il a récemment publié « La Guerre mondiale n’aura pas lieu. Les raisons géopolitiques d’espérer » (Odile Jacob, 2025).


LE FIGARO. - Dans la nuit du 11 au 12 juin, le gouvernement Netanyahou a échappé de peu à une dissolution du Parlement qui visait à renverser sa coalition. Qu’est-ce qui l’a fragilisé ?

FRÉDÉRIC ENCEL. - On oublie en France que le clivage fondamental en Israël oppose moins la droite et la gauche que - et surtout en temps de guerre - les opposants à la conscription des haredim et la majorité du pays. Il ne s’agit pas des sionistes-religieux, comme Smotrich (actuel ministre extrémiste de la Défense, NDLR), ni des combattants des unités d’élite qui portent la kippa, mais bien des juifs ultraorthodoxes. En 1948, à la création de l’État d’Israël, seules quelques centaines de jeunes hommes étaient à ce titre exemptés de service militaire ; aujourd’hui, ils sont des dizaines de milliers. En temps…

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Le Figaro

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