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La décision prise par Donald Trump de frapper les trois principaux sites nucléaires militaires iraniens a été bien davantage qu’une simple décision de frappe.
Elle a signifié la mort du programme nucléaire militaire iranien : Trump avait dit que l’Iran n’aurait pas l’arme nucléaire et l’Iran n’aura pas l’arme nucléaire. Il a fallu des années pour construire les sites de Natanz, Fordow et Ispahan, et pour y installer des centrifugeuses. Cela a coûté des milliards de dollars. Il n’en reste rien, tout au moins rien d’utilisable.
La décision prise par Donald Trump signifie aussi l’agonie du régime des mollahs. Celui-ci peut frapper encore, et il le fait, hélas, mais il ne peut plus en quoi que ce soit paraître puissant et invulnérable. Il ne peut plus prétendre atteindre son objectif obsessionnel depuis 46 ans, détruire Israël. Il n’a quasiment plus rien : il a perdu presque totalement ses proxies. Le Hamas agonise dans les décombres de la bande de Gaza, le Hezbollah est détruit à hauteur de 80 pour cent et a refusé de soutenir l’Iran, de peur d’être détruit à 100 pour cent. Les milices Houthies au Yémen font encore preuve d’arrogance, mais sont, elles aussi, largement détruites, et si elles agissent encore seront, elles aussi, détruites à hauteur de 100 pour cent. Le régime des mollahs a aussi perdu les installations nucléaires qui étaient censées lui permettre de se sanctuariser. Il lui reste des missiles, en quantité de plus en plus faible car les lanceurs de missiles sont détruits par l’armée israélienne les uns après les autres, et les sites de fabrication de missiles sont eux aussi détruits les uns après les autres par l’armée israélienne. Ce qui subsiste pour l’heure est un régime complètement diminué et profondément humilié, presque impuissant.
La décision prise par Donald Trump change l’histoire du Proche-Orient et celle du monde. Le Proche-Orient ne vivra plus sous l’ombre portée de la menace iranienne. Israël est touché encore, mais les frappes diminuent et s’éteindront. Les pays du monde arabe sunnite n’auront plus à craindre les frappes et les actions de déstabilisation du régime des mollahs, et les accords d’Abraham élargis et approfondis vont pouvoir peu à peu prendre forme. Le djihadisme aura perdu son principal financier. La « question palestinienne » pourra avancer vers sa résolution aux conditions d’Israël et de l’administration Trump, qui est désormais de manière absolument incontestable le « cheval fort » de la région. À l’échelle du monde, la Russie aura perdu son principal allié au Proche-Orient, et la Chine aura elle-même perdu son allié stratégique au Proche-Orient. Elle aura vu de surcroît de quoi Trump est capable et hésitera sans aucun doute longuement avant de se risquer à attaquer Taïwan.
Trump, en fait, réécrit l’histoire du Proche-Orient et réaffirme tout à la fois la puissance américaine et les valeurs américaines. Comme il l’a dit, aucune armée au monde n’aurait pu faire ce que l’armée américaine a fait (14 bombes bunker buster ont été larguées par sept bombardiers furtifs B 2, 12 pour Fordow, 2 pour Natanz, se sont ajoutés 61 missiles de précision Tomahawk, 125 avions militaires américains ont agi), et l’armée américaine est plus que jamais la première armée au monde, au service de la première puissance du monde. Comme il l’a dit aussi, la puissance américaine est prête à écraser le mal et à le mettre hors d’état de nuire. Trump, dans ses propos, a remercié Dieu et rappelé que les Etats-Unis sont une puissance judéo-chrétienne, la seule puissance judéo-chrétienne sur la surface de la terre, et très logiquement les alliés indéfectibles de l’État juif, Israël. Quand les Etats-Unis sont dirigés par des gens indignes d’être américains qui piétinent les valeurs américaines (Obama, Biden méritent d’être appelés un-American traitors), ils piétinent ce qu’ils sont depuis leur naissance, quand ils ont un président digne des valeurs américaines, ils retrouvent l’esprit américain.
Trump n’a pas renié ses engagements. Il n’a pas lancé les Etats-Unis dans une guerre qui risquerait de se prolonger. Il n’a pas déclaré de guerre. Il a mené des frappes ciblées et décisives, comme il l’avait fait dans le passé en détruisant les installations chimiques de la Syrie, en annihilant l’État Islamique ou en éliminant le général Soleimani. Il respecte parfaitement la War Power Resolution de 1973 qui donne au président la possibilité de mener des opérations militaires sans déclarer de guerre et sans l’approbation du Congres. Il a, comme la War Power Resolution de 1973 l’exige, informe le Congres des opérations dans un délai de 48 heures et l’action menée n’a pas duré 60 jours, mais quelques heures. Tous les faux débats lancés par les démocrates et les isolationnistes pro-iraniens et souvent antisémites façon Tucker Carlson aux Etats-Unis sur la constitutionnalité de l’action de Trump sont sans aucun fondement.
Trump a réaffirmé son alliance fraternelle avec Netanyahou, et ceux qui ont voulu voir des divergences entre eux ont également tenu des discours sans fondements, et il a souligné les extraordinaires accomplissements de l’armée israélienne. Israël et l’administration Trump agissent en synergie, ce que je n’ai cessé de dire. Netanyahu s’est rendu au Kotel, à Jérusalem, dimanche matin pour lire une prière de bénédiction et de remerciements à Donald Trump.
Trump a dit clairement que si nécessaire, des frappes américaines ultérieures étaient très envisageables et auraient lieu si le régime des mollahs n’obéit pas. Trump a exigé la paix dans son discours. Il avait défini auparavant quelle paix il attendait : une reddition inconditionnelle. Faute d’obtenir vite la paix qu’il attend, Trump peut frapper encore.
Le régime iranien est un régime islamiste fanatique. Ses porte-paroles continuent à tenir des discours bellicistes ignobles et délirants. S’ils continuent dans cette voie, Trump frappera. S’ils continuent à frapper Israël, s’ils s’en prennent à des bases américaines, s’ils s’en prennent à des navires pétroliers non chinois ou à des vaisseaux de guerre américains, s’ils cherchent à bloquer le détroit d’Ormuz (ce qui serait un acte désespéré, contraire aux intérêts chinois), a fortiori s’ils envisagent d’utiliser une bombe chargée de matières radioactives (de l’uranium enrichi a pu être transporté hors de Fordow, Natanz et Ispahan), Trump frappera. Les dirigeants militaires du régime et les dirigeants des Gardiens de la Révolution ont tous été éliminés. Khamenei est terré dans un bunker. Il serait insensé que le régime continue, mais avec des fanatiques, il faut s’attendre à tout, et être prêt à agir.
Trump n’a pas parlé de changement de régime. Il sait que la politique néo-conservatrice de changement de régime dans un pays musulman est une impasse, mais il n’a strictement rien contre un effondrement du régime iranien, et le régime iranien est tout au bord de l’effondrement. Si le régime iranien accepte une reddition inconditionnelle, les dirigeants du régime survivront peut-être encore un peu, mais un régime des mollahs acceptant une reddition inconditionnelle trahirait tout ce qui a fait le régime des mollahs depuis 46 ans, et c’est très difficilement imaginable. Le régime iranien est à l’agonie. Israël parle de l’élimination de Khamenei, et Trump cette fois donne son feu vert. Il n’y a pas besoin d’une vieille ordure aux buts génocidaires antisémites pour prononcer une reddition inconditionnelle. Le peuple iranien ne s’est pas encore soulevé, c’est logique : le régime est prêt à une répression féroce, comme tous les régimes fanatiques aux abois.
Le secret sur l’enclenchement des opérations israéliennes avait été remarquablement bien gardé, et seule l’administration Trump avait été informée. L’effet de surprise était important. Il a joué pleinement. Le secret sur les frappes américaines en Iran a été lui aussi remarquablement bien gardé, seul le gouvernement israélien avait été informé. L’effet de surprise a encore joue pleinement. En parlant d’un délai de deux semaines, Trump a délibérément semé le flou. Créer la surprise fait partie de la guerre. L’administration Trump et le gouvernement Netanyahou sont admirablement disciplinés, aucune fuite n’a eu lieu.
Il s’est confirmé que l’Europe est en train de sortir de l’histoire. Trois ministres européens (France, Allemagne, Royaume-Uni) et Kaja Kallas, au nom de l’Union européenne ont rencontré vendredi à Genève le ministre iranien des affaires étrangères et parlé de retour à des négociations et a des solutions pacifiques. Ils m’ont fait penser à Daladier et Chamberlain se rendant à Munich en 1938, peu de temps avant la criminelle Nuit de cristal. Décidément, l’Europe ne change pas. Et les pitreries de Macron sont de plus en plus indignes et pitoyables. Avoir caché les exposants israéliens au salon du Bourget derrière une tenture noire n’était, cela dit, pas une pitrerie, mais un geste anti-israélien et anti-juif sordide. Que dans les médias français on continue à appeler Khamenei « guide suprême » est absolument lamentable. Comment se dit « guide suprême » en allemand déjà ? Oberster Führer. Qu’on diffuse in extenso en France un discours du ministre des Affaires étrangères d’un régime ignoble est également lamentable. Sur Radio Paris en 1940, on appelait Adolf Führer et on diffusait les discours d’Adolf traduits en français, je sais.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.