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CHRONIQUE - Le chef de l’État retrouvera lundi le droit de dissolution que lui accorde la Constitution. Mais quel usage en fera-t-il alors que l’opinion lui a enlevé tout crédit ?
Lundi prochain, nous serons le 7 juillet. Cette date figure dans l’agenda personnel du président de la République. Elle n’intéresse que lui. Parce qu’il aura retrouvé, conformément au dernier alinéa de l’article 12 de notre Constitution, la liberté de dissoudre l’Assemblée nationale élue il y a un an, le 7 juillet 2024. Utilisera-t-il ce pouvoir ? Il aura surtout recouvré cette liberté. Parallèlement à une autre, dont il peut user à tout moment quand le Parlement est en session : celle qui, à l’article 11, lui donne le pouvoir de soumettre « au référendum tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale de la nation »…
À la vérité, on en parlerait moins si lui-même n’avait pas évoqué le sujet, il y a six mois, lors des vœux qu’il avait présentés, le 31 décembre, aux Français. Pourquoi avait-il décidé la dissolution de l’Assemblée au mois de juin 2024 ? « Pour éviter l’immobilisme…