Suicide ou grand ménage ? Olivier Marleix, Alstom et les étranges disparitions sous Macron

Publié le 6.7.2025 à 22h43 – Par Sophie Martin – Temps de lecture 6 mn

Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député LR et critique acharné d’Emmanuel Macron, est retrouvé mort chez lui, à Anet, en Eure-et-Loir.

Verdict officiel : suicide. Quelques semaines plus tôt, le 11 juin, Eric Denécé, ex-renseignement et autre pourfendeur du pouvoir, s’est, lui aussi, « suicidé ». Deux hommes qui dénonçaient les magouilles de Macron, notamment la vente d’Alstom, deux « suicides » en un mois sur la même affaire ? Ça commence à faire beaucoup, non ? Surtout quand on sait que Marleix, selon Le Parisien, bossait sur un livre au titre évocateur, Dissolution française, prévu pour cet automne chez Robèrt Lafont. Un « texte de combat pour l’avenir », qu’il disait. Alors quoi, écrire pour sauver la France et se pendre juste avant un rendez-vous en mairie ? Ironique, pour un combattant, vous ne trouvez pas ?

Même Vincent Boloré l’explique lui-même :

Le Mozart des finances et ses ventes au rabais

Reprenons les faits. Marleix et Denécé avaient un point commun : ils pointaient du doigt la grande braderie des fleurons français sous Macron. Alstom, par exemple. En 2014, Macron, alors ministre de l’Économie, valide la vente d’Alstom Énergie à General Electric pour 12,7 milliards d’euros. Sauf que, selon les critiques relayées sur TikTok, X et ailleurs, on aurait vendu des bouts d’Alstom à 600 millions pour les voir rachetés 1,2 milliard plus tard. Pas mal pour le « Mozart des finances », non ? Alcatel-Lucent, Technip… la liste des bijoux de famille bradés s’allonge, et à chaque fois, Macron est dans le décor. Pendant ce temps, lui, super salaire, appart de fonction, chauffeur, vit comme un roi. Et Marleix, avec une situation confortable, se serait donné la mort ? Bizarre, quand des Français sans rien tiennent le coup le 5 du mois avec trois fois rien.

Des dossiers secrets et des peurs bien réelles

Mais ça va plus loin. Marleix avait confié à sa famille qu’il craignait pour sa vie. Pourquoi ? Parce qu’il aurait mis la main sur des « dossiers secrets » montrant que « la France est en danger ». Il préparait même une plainte contre Macron pour trahison. Et là, surprise : le jour de sa mort, il était attendu en mairie. Comment passe-t-on d’un rendez-vous pro à une corde autour du cou en si peu de temps ? Le timing est aussi crédible qu’un discours de campagne de Macron sur la souveraineté.

Une série de « coïncidences » qui sent le roussi

Et il n’est pas le seul à avoir tiré sa révérence. Eric Denécé, en juin 2025, avait, lui aussi, dénoncé Alstom comme une trahison nationale. Avant lui, en mai, le général Jean-Louis Georgelin, expert des randonnées, fait une chute mortelle d’une falaise. En janvier, deux agents de la DGSI se « suicident ». Puis un chirurgien, et trois autres agents dans des circonstances floues. Depuis le quinquennat de Macron, ça s’accélère à vitesse grand V. Georgelin en mai, Denécé en juin, Marleix en juillet… Une épidémie de suicides chez les gêneurs, ou un grand ménage bien orchestré ?

Alstom, le fil rouge de la discorde

Revenons à Alstom, parce que c’est le nœud de l’affaire. Marleix, à la tête d’une commission d’enquête en 2019, avait saisi la justice, soupçonnant un « pacte de corruption » : la vente aurait financé la campagne de Macron via des dons douteux. Denécé, lui, parlait d’un sacrifice des intérêts français aux Américains. Et que fait la justice ? Rien. Ou plutôt, elle traîne des pieds, bien au chaud, sous les ordres d’un président aux pleins pouvoirs, si l’on en croit les sceptiques. Pendant ce temps, les témoins et les critiques disparaissent. Coïncidence, encore ?

Opposition contrôlée et deal morbide

Jean-Philippe Tanguy, député RN, a lâché une bombe après la mort de Marleix : et si tout ça n’était qu’une mascarade ? Une « opposition contrôlée » où Macron et Marine Le Pen se seraient arrangés. Le scénario ? Macron laisse un pays en ruine au RN en 2027, puis revient en 2032 pour les « funérailles de la France » et l’avènement de son Europe chérie. Nation kaput, rideau. Les Français votent Bardella en pensant changer la donne, mais le jeu serait déjà plié. Cynique ? Peut-être. Mais avec autant de cadavres dans le placard, on peut se poser la question.

Alors, suicide ou liquidation ?

Résumons : un député critique, un livre explosif, des dossiers secrets, une plainte en préparation, et un « suicide » pile avant un rendez-vous. Ajoutez Denécé, Georgelin, des agents de la DGSI,etc.. et un parfum de dictature où les opposants tombent comme des mouches. La version officielle tient à peine debout. Pourquoi un homme prêt à se battre pour la France choisirait-il de mourir maintenant ? Et pourquoi tant de morts suspectes gravitent autour d’Alstom et de Macron ? La justice, aux abonnés absents, ne rassure personne. Alors, on fait quoi ? On avale la pilule du suicide en série, ou on exige des réponses ? Parce que là, ça commence à puer le grand nettoyage. Et dans une soi-disant démocratie, ça ne passe pas.

Et pour terminer voici une autre victime avec une nouvelle affaire Palmade ?

Un écrivain, Laurent Kupferman, essayiste et chroniqueur retrouvé mort à Fontainebleau après avoir consommé des substances illicites… et voilà que ressurgit l’ombre d’un scandale à la Palmade ! Coïncidence troublante ou symptôme d’un milieu rongé par les mêmes démons ? Pourquoi ces figures publiques, souvent proches des cercles du pouvoir et de l’influence, se retrouvent-elles piégées dans des spirales aussi sordides ? Et que cache réellement cette mention énigmatique de « Franc Mac » ? Simple indice ou élément d’un réseau plus opaque ?

Cette nouvelle affaire, aussi louche qu’elle paraît, soulève des questions brûlantes : jusqu’où va l’emprise des milieux initiatiques sur certaines élites ? Faut-il y voir un simple fait divers tragique… ou les prémices d’un nouveau scandale d’État ? L’histoire se répète-t-elle, ou sommes-nous face à une machination bien plus complexe ?

Plongée dans les zones d’ombre d’une mort suspecte, aux allures de scénario trop bien rodé. ChemSex – Mort du franc-maçon Laurent Kupferman après une nuit de débauche marquée par l’usage de drogues