Pourquoi la France ?

Racket officiel d’état : La Grande Saignée des Seniors, ou comment l’État transforme vos rêves de retraite en cauchemar fiscal

Publié le 5.7.2025 à 11h04 – Par Luca Giordano – Temps de lecture 5 mn

Quand nos chers dirigeants, bien au chaud dans leurs privilèges, décident que c’est encore à vous, brave contribuable, de payer pour leur gestion calamiteuse.

L’État, ce Robin des Bois à l’envers

Ah, la France, ce pays où l’on récompense le travail et l’épargne… en les plumant sans vergogne ! Alors que nos élites dorlotées (logées, surpayées, retraitées avant l’âge) s’épanouissent dans un confort indécent, voilà qu’elles dégainent leur nouveau plan : saigner les retraités et leurs héritiers pour financer leur gabegie.

Suppression de l’abattement de 10% ? Bien vu ! Après tout, pourquoi faciliter la vie des petits retraités qui ont trimé 40 ans, quand on peut leur infliger une augmentation relative de 11% sur leurs maigres revenus ? Les gros patrimoines, eux, ne sentiront qu’une pichenette (+4,5%). C’est ça, la justice sociale façon Macronie : toujours taper sur les mêmes.

Taxe héritage : le hold-up légalisé

Vous avez cru pouvoir transmettre le fruit de votre labeur à vos enfants ? Naïf ! L’État, lui, voit là une manne à saisir. La succession, déjà un racket en bande organisée, va devenir encore plus vorace. Bientôt, on vous proposera peut-être de léguer directement votre maison à Bercy, pour leur éviter la paperasse.

Les boomers, boucs émissaires préférés

Ah, les boomers… Ces affreux responsables de tous les maux de la société ! Ils osent vieillir, toucher leur retraite et pire : vouloir laisser quelque chose à leurs enfants. Scandale ! Il était temps de les prendre pour cible :

• Retraites ? On les ponctionne.
• Héritage ? On le confisque.
• Permis de conduire ? On leur impose des visites médicales humiliantes (alors que les jeunes font trois fois plus d’accidents, mais chut…).
• Fin de vie ? On légifère à tour de bras, histoire de leur rappeler qu’ils encombrent.

L’État, cette machine à gaspiller

La solution pour redresser les comptes ? Réduire les dépenses ? Mais vous n’y pensez pas ! Nos gouvernants préfèrent augmenter les impôts dans le pays déjà le plus taxé de l’OCDE.

• 1/3 de la dette française sous Macron ? Peu importe, il suffit de faire payer les générations futures.
• Des strates administratives ubuesques (communes, intercos, départements, régions…) qui coûtent une blinde ? Touche pas à mon mille-feuille !
• L’euro et les traités européens qui étranglent la France ? Silence, on détourne le regard.

« Demain on rase gratis » : la promesse éternelle

Ils sont là depuis des années. Ils n’ont rien réglé, rien amélioré, mais ils vous assurent que cette fois, c’est la bonne. « On va réformer ! » (Traduction : on va vous taxer encore plus.)

Pendant ce temps, eux :

• Cumulent retraites dorées et avantages indécents.
• Se gavent sur le dos des contribuables.
• Vous expliquent doctement qu’il « fait des efforts ».

Retraités d’aujourd’hui, pigeons de toujours : la grande arnaque intergénérationnelle

Ah, la Belle Époque où l’on nous serinait : « Travaillez, cotisez, vous serez récompensés ! » Sauf que… 40 ans plus tard, on nous explique que non, en fait, c’était une blague. Les retraités d’aujourd’hui ont été les dindons de la farce d’hier, et les actifs d’aujourd’hui seront les pigeons de demain.

« Vous aurez une retraite… ou pas » – La menace permanente

Déjà dans les années 80, on nous prédisait l’apocalypse des retraites. « Vous n’aurez rien, le système va s’effondrer ! » Résultat ? On a cotisé quand même, et aujourd’hui, on nous accuse d’être des profiteurs. C’est beau, la reconnaissance.

Les jeunes, qui croient être épargnés, feraient bien de réfléchir : dans 30 ans, ce sera leur tour de se faire dépouiller. On leur souhaite bien du plaisir quand l’État, après avoir liquidé les boomers, viendra leur expliquer que « les caisses sont vides, désolé ».

« Réformez les retraites… mais surtout pas les nôtres ! »

Nos chers politiques, toujours prompts à moraliser les autres, se gardent bien de toucher à leurs propres avantages. Retraites à 50 ans, cumuls indécents, logements de fonction… Tout ça, c’est sacré. Par contre, le petit retraité à 1 200 € par mois ? Lui, on peut lui serrer la vis.

Le calcul des pensions a tellement « évolué » (traduction : dégringolé) qu’aujourd’hui, un retraité sur cinq vits sous le seuil de pauvreté. Mais chut ! Il ne faut pas se plaindre, sinon on vous traite de « privilégié ».

« Faites des vagues… mais pas trop »

Pendant 40 ans, on nous a matraqué un seul message : « Ne protestez pas, sinon ça sera pire. » Résultat ? Les générations se divisent, les salariés se méfient des retraités, et pendant ce temps… l’État continue tranquillement à dilapider l’argent.

La seule solution ? Arrêter de tout gober. Que les jeunes, les vieux, les actifs et les retraités se réveillent et comprennent qu’on les mène en bateau depuis des décennies. Parce qu’au final, le vrai problème, ce ne sont pas les boomers…

…Ce sont ceux qui les exploitent pour mieux vous exploiter demain.

La France gangrenée : jusqu’à quand ?

Entre racket fiscal, dette explosive et mépris de classe, on atteint des sommets. La prochaine étape ? Un soulèvement populaire ? Peut-être. En attendant, nos dirigeants continuent leur petit jeu : pressurer les citoyens jusqu’à la moelle, puis s’étonner que la colère gronde.

Notre conseil (ironique) :

• Donnez vite votre bien en usufruit avant que l’État ne vous le confisque.
• Ne votez plus pour ceux qui vous spolient (oui, on sait, c’est un vœu pieux).
• Préparez-vous à la curée finale, quand l’État, au bord du gouffre, viendra vous réclamer votre dernier centime.

Conclusion : La France sombre, mais rassurez-vous, nos élites auront toujours leurs hôtels particuliers et leurs retraites douillettes. Vous, par contre, vous pouvez toujours crever la gueule ouverte.

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