Macron, Pannier-Runacher et le Nucléaire : La Danse de la Girouette

Publié le 3.7.2025 à 20h03 – Par Isabelle Moreau – Temps de lecture 6 mn

Ah, le nucléaire ! Tantôt c’est bien, tantôt c’est mal, selon le sens du vent électoral, et de la fourniture énergétique pour la France avec ses guerres, entre Russie, Moyen-Orient, et États-Unis, son cœur balance, de trop en ce moment et vacille… Le vent ça souffle et l’eau sa mouille…

Emmanuel Macron, notre cher président, semble avoir une relation amour-haine avec cette source d’énergie. Mais ne vous y trompez pas, derrière cette valse-hésitation se cache une réalité bien plus cynique : celle d’un opportuniste prêt à tout pour caresser dans le sens du poil les écolos et l’UE, quitte à sacrifier la souveraineté énergétique de la France. Accrochez-vous, ça va souffler dans les éoliennes, peut-être ou pas en même temps ?

Le Nucléaire : Un Yo-Yo Politique

Il fut un temps où le nucléaire, c’était bien. Puis c’est devenu mal, très mal même, sous la pression des Verts et de leur dogme anti-atome. Ensuite, c’était un peu bien, mais pas trop, histoire de ne froisser personne. Et maintenant ? Oh, miracle, c’est carrément bien ! Macron et sa clique, dont la très girouettante Agnès Pannier-Runacher, nous expliquent aujourd’hui que le nucléaire est indispensable. Étonnant, non, pour des gens qui ont passé huit ans à nous seriner que c’était le diable ? C’est un peu comme si un pyromane se reconvertissait en pompier après avoir incendié la maison. Bravo, les artistes, c’est Poutine et l’Ukraine, Chibrite ou le Moyen-Orient qui les inquiètes pour l’énergie de la France ?

Fessenheim : Le Chef d’Œuvre de l’Absurde

Prenons Fessenheim, par exemple. Une centrale arrêtée en 2020 après avoir englouti des millions en améliorations de sûreté. Un peu comme si vous rénoviez votre maison pour la démolir ensuite. Brillant, non ? Tout ça pour faire plaisir à une minorité écologiste qui préfère les éoliennes aux réacteurs, même si ces moulins à vent coûtent un bras et ne produisent que quand ils en ont envie. Mais bon, l’important, c’est de suivre le sens du souffle électoral, pas de faire des choix rationnels.

Soumission à l’UE : Le Chien et son Maître

Et que dire de cette soumission à l’UE ? Macron parle de souveraineté à longueur de discours, mais passe son temps à courber l’échine devant Bruxelles (entre notre énergie payée et quasi gratuite et propre, sans CO2 pour la France et les français ?). Un peu comme un chien qui attend la caresse de son maître. Pathétique. Pendant ce temps, nos impôts partent en fumée pour financer des lubies vertes imposées par des bureaucrates non élus. Merci, Dominique Voynet, d’avoir torpillé l’héritage de De Gaulle en matière d’autonomie stratégique. Un vrai coup de maître pour des gens qui se prétendent “souverainistes” le lundi et “européistes” le mardi.

Doublement du prix de l’électricité, d’où ça vient : « On est revenus hilares de Londres » : comment Voynet, l’« héroïne de Davos » et la gauche mondialiste ont tué le nucléaire français.

Dans une archive, l’ex-ministre écologiste de Lionel Jospin, Dominique Voynet, explique comment elle s’est entendue avec son homologue anglais pour saboter l’énergie nucléaire.

Mais Voynet n’a pas été seule dans sa tâche : le prophète de malheur Yves Cochet, Ségolène Royal… et récemment Elisabeth Borne ont bien travaillé.

En novembre-décembre 1998, Worldlink, le journal du World Economic Forum, qui regroupe chaque année à Davos les défenseurs politico-financiers de la « pensée globale », place la responsable écologiste aux côtés de Dominique Strauss-Kahn dans un « Dream Cabinet » dont le Premier ministre aurait été Tony Blair.

La « sobriété heureuse » de Macron que les Français acceptent sans moufter parce que « c’est bon pour la planète et les ours blancs » ?

Un agenda de prise de contrôle des « externalités positives » et de démantèlement du secteur public ; eau, routes, transports, « bus Macron », énergie, santé… et même l’air (taxe carbone).

La Girouette Énergétique : Une Énergie Renouvelable ?

Ah, et parlons de la “neutralité technologique”, ce concept fumeux qui permet de ne surtout pas trancher. En gros, on fixe un objectif baisser les émissions de CO2, mais on laisse les autres se débrouiller pour y arriver. Traduction : on ne décide rien, on suit le vent. D’où l’expression “girouette énergétique”, une source d’énergie inépuisable chez nos politiques. Macron et Pannier-Runacher en sont les champions toutes catégories, capables de dire tout et son contraire sans sourciller. Un jour, le nucléaire pollue ; le lendemain, c’est la solution miracle. Et vous, braves citoyens, vous êtes priés de suivre sans poser de questions.

Mais qu’est-ce qu’ils racontent ? Il ne se comprend pas lui-même, et elle le cerveau qui fait de la chaise longue… on n’aura jamais mieux, le sommet est atteint.

Au Qatar pendant ce temps eux pas de soucis : Climatiseurs à l’extérieur ?! Bienvenue au Qatar ! Au Qatar, les climatiseurs sont à l’extérieur pour refroidir les clients à 40 ° dans le café. Pendant que nous éteignons les lumières en France et séparons les ordures pour sauver le climat, et Runacher qui nous fait un discours sur le réchauffement, bien vos amis M. Macron et Mme Runacher s’en donne à cœur joie, n’est-ce pas ? Oui, quelque chose ne va pas là-bas, n’est-ce pas ? Ou c’est plutôt chez nous ? ou c’est comme le nuage de Tchernobyl, ça ne sort pas du Qatar ?

Mensonges et Tartufferie : La Marque de Fabrique

Mais le plus beau, c’est l’audace avec laquelle ils nous mentent. Pannier-Runacher, reine de l’éolienne et de la contre-vérité, ose nous dire qu’elle a toujours soutenu le nucléaire. Ah bon ? Et Fessenheim, c’était un mirage ? Et les discours anti-atome pendant des années, une hallucination collective ? Il faut croire que la mémoire d’Internet est moins courte que celle des politiques. Heureusement, les archives sont là pour rappeler à ces tartuffes leurs errements. Mais bon, chez eux, le mensonge est une seconde nature. Après tout, comme le dit le sénateur australien Malcolm Roberts, tout cela est délibéré : “Le changement climatique sert de prétexte pour désindustrialiser la civilisation occidentale, permettant ainsi à des bureaucraties non élues comme l’ONU d’établir un gouvernement mondial socialiste.” Et Macron, dans tout ça ? Il joue sa partition, girouette en main, prêt à danser au rythme des vents électoraux et de ses maitres.

Conclusion : Le Grand Barnum Nucléaire

Alors, le nucléaire, c’est mal ou c’est bien ? Chez Macron, ça dépend du jour et de l’auditoire et des lobbys qui le téléguide. Un coup à gauche pour les écolos, un coup à droite pour l’industrie et au milieu, des Français qui paient la facture de cette valse-hésitation. Mais rassurez-vous, tout cela est pour votre bien. Ou plutôt pour le leur. Car pendant que vous vous demandez si vous allez pouvoir chauffer votre maison cet hiver, eux engrangent les voix et surtout les subventions. Chapeau, les artistes corrompus !