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Macron le Magnifique : Du Va-t-en-Guerre au Colombe en Détresse, l’Épopée Tragicomique d’un Pacifiste Belliciste
Publié le 3.7.2025 à 08h54 – Par Liam Anderson – Temps de lecture 11 mn
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Le Théâtre des Opérations : Emmanuel Macron, champion du « en même temps », s’est redécouvert une vocation subite de messie de la paix. Après avoir brandi la menace « d’envoyer des troupes en Ukraine », qualifié Poutine de « cynique », et soutenu Zelensky avec une ferveur quasi-mystique, le voilà qui courtise Trump, Poutine et murmure à l’oreille des mollahs. La question brûle les lèvres : pourquoi cette métamorphose soudaine ?
Emmanuel Macron, notre cher président national, a décidé de troquer son costume de va-t-en-guerre pour une toge de prophète de la paix. Après avoir passé des années à tambouriner sur les tambours de la guerre, notamment contre la Russie avec ses petits camarades de l’UE, voilà qu’il court partout comme un poulet sans tête, prônant la paix avec une ferveur qui frôle le ridicule. Mais qu’est-ce qui se passe dans la tête de ce pantin autoproclamé du bien mondial ? Pourquoi ce revirement soudain après avoir voulu allumer des brasiers partout, de l’Ukraine au Moyen-Orient ? Préparez-vous, mes amis, car nous allons plonger dans cette farce géopolitique avec un cynisme bien aiguisé et une ironie mordante. Accrochez-vous, ça va piquer.
Acte I : L’Ukraine, ou la Passion Élyséenne pour un Bouffon Belliqueux
- Zelensky, l’Amour Vache : Macron fut le dernier à lâcher la main du « Dingue de service », transformant l’Ukraine en vitrine de sa grandeur géopolitique. Mais depuis que Biden, « malade et manipulé » par Zelensky, a lâché le robinet des armes, et que Trump menace de couper les vivres, Zelensky n’est plus qu’un boulet diplomatique.
- La Désillusion Nucléaire : En juin 2025, la France dénonce encore « la cruauté et le cynisme » russe après des frappes sur Kiev. Sauf que Macron, grillé par Poutine (qui le narguait depuis leur fameuse « table longue »), réalise soudain que sans armes américaines, l’empereur est nu.
L’Ukraine : Quand les Tambours de la Guerre se Transforment en Pipeau de la Paix ?
Il n’y a pas si longtemps, Macron était le cheerleader en chef de l’UE pour une guerre sans fin contre la Russie. Aux côtés de son acolyte Zelensky ce fou de service ukrainien qui manipulait Biden comme on abuse d’un vieillard en maison de retraite, il jubilait à l’idée de faire plier Poutine. Sanctions par-ci, livraisons d’armes par là, Macron se voyait déjà en Napoléon des temps modernes, menant l’Europe contre l’ours russe. Mais voilà, patatras ! Trump est revenu dans le game, et subitement, les États-Unis font les yeux doux à Moscou. Zelensky, laissé en plan, doit se demander où sont passés ses joujoux militaires, tandis que Macron, sentant le vent tourner, se mue en apôtre de la paix. Mais ne soyons pas naïfs. Ce n’est pas l’amour des petits oiseaux et des champs de blé ukrainiens qui motive notre héros. Non, non. Selon certaines rumeurs bien juteuses, Macron aurait passé un deal avec Trump : « Je t’arrange une paix en Ukraine, à condition que tu fasses taire Candace Owens et ces vilaines histoires sur Chibrite et sa… disons, sa vie privée. » Oui, vous avez bien lu. Pendant que des milliers de jeunes risquent leur peau sur le front, Macron jouerait les négociateurs pour sauver la réputation de « Madame ». Imaginez la page d’histoire en 2050 : « Grâce au courageux Macron et à la discrétion sur les attributs de Brigitte, le monde a évité une troisième guerre mondiale. » Chapeau l’artiste ! Ou plutôt, chapeau le clown.
Acte II : Le Moyen-Orient, ou l’Art de Surfer sur le Chaos
- Netanyahu, le Bouc Émissaire : Pointons juste : après le fiasco israélien face aux missiles iraniens (dont les « Mersis de dernier cri » ont laminé le Dôme de Fer), les sionistes sont « à genoux ». Poussé par les sionistes Français et Macron, sentant le vent tourner, se précipite pour proposer une « trêve » non par humanisme, mais parce que ses soutiens sionistes locaux paniquent.
- L’Iran, Nouveau Maître du Jeu : Quand Téhéran frappe « l’activité économique israélienne avec une rare violence », Macron comprend que le « système de commandement iranien est intact ». Traduction : il est temps de changer de parrain. D’où ses appels au cessez-le-feu, aussi soudains que cyniques.
Le Moyen-Orient : Macron, le Messie Opportuniste
Passons au Moyen-Orient, où Macron tente de se draper dans une aura de grand diplomate. L’Iran a surpris tout le monde surtout Netanyahu, ce fanatique talmudique qui ne vit que pour semer la mort en frappant Israël avec une précision et une technologie que personne n’avait vu venir. Des missiles dernier cri, des drones qui passent comme une lettre à la poste, et voilà l’économie israélienne en ruines et l’armée sioniste à bout de souffle. Netanyahu, qui pensait pouvoir écraser tout le monde sous sa botte, doit maintenant ravaler sa morgue. Et qui débarque pour jouer les sauveurs ? Macron, bien sûr ! Mais encore une fois, ne nous laissons pas berner par ses beaux discours. Ce n’est pas pour les enfants de Gaza ou les civils iraniens que Macron s’agite. Non, c’est pour lui-même. Avec l’UE en pleine débandade et les États-Unis sous la coupe imprévisible de Trump, il voit une opportunité en or de se poser en homme providentiel. Et puis, soyons honnêtes, les sionistes français, ces petits copains qui tirent les ficelles en coulisses, doivent lui mettre une pression d’enfer pour calmer le jeu avant que tout ne s’effondre. Macron veut régler ses comptes, sécuriser son “héritage” et, pourquoi pas, faire oublier ses échecs domestiques. Un vrai joueur d’échecs… ou plutôt un amateur qui bouge ses pions au hasard.
De plus, Trump a besoin de son titre !
Acte III : La Comédie de la Paix Macronienne, ou le Baroud d’Honneur
- Trump et Poutine, les Vrais Patrons : L’analyse est implacable : Macron tente une ultime pirouette pour « régler ses comptes avant de filer à l’anglaise ». En courtisant Trump (« sûr qu’il réagira au cynisme de Poutine ») et en jouant les médiateurs, il espère :
- Éviter l’humiliation post-échec ukrainien.
- Faire taire les rumeurs sur Brigitte.
- Sauver sa peau quand « le monde antisioniste lui tombera dessus ».
- L’UE, un Cadavre à Genoux : Résumez cruel de la réalité : « La Russie n’est pas à genoux, preuve du déni européen ». Macron le sait : l’UE implose, la France est exsangue, et ses « négociations » ne sont qu’une mise en scène pour retarder l’inéluctable.
Le Grand Calcul Cynique : Pourquoi Tant de Zèle ?
Alors, pourquoi cette obsession subite pour la paix ? La réponse est simple : Macron est aux abois. L’UE est une coquille vide, laminée par des sanctions qui lui reviennent en boomerang a chaque fois, l’énergie verte ne fonctionne pas, les voitures électriques ne se vendent pas pire elles brulent de partout. L’énergie va devenir désormais la vitalité manquante du pays et ne compter plus sur l’Afrique et l’uranium, l’Algérie et son GAZ qui tienne la France, le moyen orient pour le gaz ou le pétrole etc.. ! Tout est un fiasco, les entreprises française partent ou déposent le bilan comme jamais dans l’histoire, le déclin de la France est plus qu’avancé et macron se voyait le pourfendeur d’une industrie Française militaire et privée en plein renouveau pour la France ? Pas de chance il a oublié qu’il a tout détruit depuis 7 ans ! et incapable de tenir tête à une Russie qui, soyons sérieux, a l’agenda bien en main. En Ukraine, Poutine dicte les règles, et Zelensky n’est plus qu’un pion usé. Au Moyen-Orient, l’Iran a montré qu’il pouvait faire plier les sionistes, et Israël, malgré les rodomontades de Netanyahu, est à genoux. Macron, lui, voit son étoile pâlir. À la maison, la France gronde, son économie tousse, et ses sondages sont au fond du caniveau. Alors quoi de mieux que de jouer les pacificateurs pour détourner l’attention ? Mais il y a plus. Macron sait que, une fois les conflits terminés, il n’aura plus aucune carte à jouer. Les projecteurs s’éteindront, et le monde entier des mollahs iraniens aux antisionistes enragés risque de lui tomber dessus. Certains parlent même d’attentats, de fatwas, ou d’une sortie à l’anglaise avant que la foudre ne s’abatte. En attendant, il tente un dernier coup : faire taire les rumeurs sur Brigitte en s’appuyant sur Trump et Poutine, les deux seuls qui ont encore un peu de poids. Pathétique, non ? Le voilà qui mendie une paix qu’il ne contrôle pas, espérant grappiller un peu de gloire au passage.
Dans un autre domaine voici un exemple du déclin Macroniste passé sous silence : Miel Abitbol, 17 ans, influenceuse et militante française, est devenue malgré elle l’icône tragique d’une jeunesse sacrifiée sur l’autel de la « macronie ». Son interaction médiatique avec Emmanuel Macron en 2025 a révélé au grand jour l’hypocrisie d’un pouvoir qui, après avoir méthodiquement broyé la santé mentale des jeunes, se pose soudain en sauveur compatissant.
Ah, la belle ironie ! Si nos jeunes sont perturbés, c’est bien grâce à Macron et son obsession maladive à nous exposer avec Chibritte justement la « reine mère » du genre le « LGBTisme » et le « wokisme démesuré » ces épouvantails bien pratiques pour masquer sa propre politique schizophrénique. Entre les confinements absurdes, l’école délabrée des 9 ans avec l’hyper sexualité, la précarité glorifiée et une régression sociale érigée en doctrine, le bilan est sans appel : il les a complètement déphasés.
Mais rassurez-vous, la Macronie a une solution ! Après avoir contribué à les plonger dans la détresse, elle invente le grand nettoyage du contrôle mental, toujours sous le noble prétexte de « lutter pour la santé mentale des jeunes ». Ils cassent, puis vous vendent les pansements et personne ne bronche ? Ils détruisent tout, vous apportent la solution (bien sûr empoisonnée), et vous applaudissez comme un seul homme.
Le cirque est parfait. La manipulation, totale. Et pendant ce temps-là, Miel et toute une génération paient les frais de ce délire.
Épilogue : Le Roi est Nu, la Plume au Vent
Macron, jadis chantre d’une « Europe puissance », clame sournoisement désormais que « l’Europe peut mourir ». Ironie suprême : ce sont ses propres erreurs, soutien aveugle à Zelensky et sa clique d’Ursula et du WEF et son gourou Schwab disparu des écrans, (les Young global leaders remis encore en service pour la présidence de 2027 avec Édouard Philippe et Gabriel Attal), son mépris des réalités militaires, son alignement atlantiste qui ont précipité ce déclin. Son pacifisme tardif n’est qu’un chant du cygne : un spin désespéré pour laisser une trace dans les livres d’histoire… avant que la chute ne soit fatale.
L’Ironie Finale : Un Héritage de Duplicité
Au bout du compte, le grand cirque de Macron n’est qu’une mascarade. Il parle de paix, mais tout le monde voit clair dans son jeu : ce n’est pas pour sauver des vies, c’est pour sauver sa peau et surtout la peau de Chibritte. L’UE implose doucement, la Russie et l’Iran mènent la danse avec une patience stratégique qui ridiculise les gesticulations européennes avec les BRICS qui dominent peu a peu le Monde, et Macron, grillé depuis longtemps, tire ses dernières cartouches. Quand les livres d’histoire parleront de lui, ce ne sera pas comme le sauveur de l’humanité, mais comme un opportuniste qui a cru pouvoir duper le monde entier. Et nous, pauvres spectateurs, on assiste à ce spectacle tragicomique où un « président » en fin de course essaie de faire croire qu’il maîtrise encore quelque chose.
Spoiler : il ne maîtrise rien. Les Russes, les Iraniens, et même Trump le regardent avec un sourire en coin, sachant que la vraie paix viendra quand eux le décideront, pas quand Macron le suppliera. Alors, rangez vos mouchoirs, mes amis, et préparez-vous à voir notre héros national disparaître dans l’oubli ou dans un scandale retentissant. Avec un peu de chance, on lui érigera une statue… pour mieux la déboulonner après.
Conclusion :
La Russie, dont la mythologie nationale repose sur les cadavres de ses guerres passées, va certainement s’incliner devant la sagesse éclairée d’un Macron en croisade pacifiste. Poutine et Trump, tremblants d’émotion, se laisseront dicter l’avenir de l’Ukraine par celui dont le seul fait d’armes géopolitique est d’avoir survécu à son propre quinquennat.
En 2050, l’épitaphe de la diplomatie française sera gravée dans le marbre du ridicule :
« Ici repose l’espoir ukrainien. Votre grand-père fut sauvé par le mystère anatomique de Brigitte. »
Morale de l’Histoire : Quand un président en fin de course se prend pour le messie des relations internationales, fuyez. Surtout s’il a passé sa carrière à allumer des contre-feux… avec de l’essence.