Macron : Le Boulet qui danse en mode « Cigale, ayant chanté tout l’Été », pendant que le Monde S’effondre en Chaos

Publié le 22.6.2025 à 13h30 – Par Alexandre Rousseau – Temps de lecture 6 mn

Macron : Le Bouffon Insouciant qui Danse avec Grâce au Milieu des Flammes, pendant que le Monde S’effondre en Chaos et que Trump, Tel un Vautour, pilote s’empare Triomphalement de la Scène Mondiale

Le Roi du Monde est en OFF… Normal, il a dansé toute la nuit, « La Cigale, ayant chanté tout l’Été, se trouva fort dépourvue, quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau de mouche ou de vermisseau, elle alla crier famine chez la Fourmi, sa voisine… », pendant que la cigale Macron dansait et dormait, les États-Unis sont entrés dans la danse aux côtés de l’État d’Israël… L’échec d’Emmanuel Macron et de ses sbires aux pourparlers de Genève était prévisible, le dialogue s’annonce à sens unique, comme toujours avec eux.

Bonne fête de la musique ! pic.twitter.com/i05s3HbHmO

Explications :

Alors que le monde vacille sous le poids d’une crise internationale qui fait trembler les chancelleries, un spectacle pathétique se joue à l’ombre des dorures de l’Élysée. Pendant que Benjamin Netanyahu, les nerfs à vif, voit son pays s’effondrer sous les bombardements iraniens, pendant que Donald Trump, ce clown mégalomane, savoure le supplice de l’Israélien en le faisant mariner comme un vulgaire poisson, Emmanuel Macron, lui, fidèle à sa légende de parasite planétaire, trouve le moyen de transformer une tragédie mondiale en une farce grotesque dont il est, comme toujours, le triste héros.

Reprenons le fil de cette comédie dramatique. Netanyahu, au bord de la crise de nerfs, attend désespérément un signe de Trump, son sauveur autoproclamé. Les missiles iraniens pleuvent sur Israël, les immeubles s’écroulent, et le Premier ministre israélien, trempé de sueur et d’angoisse, supplie presque à genoux pour une intervention américaine.

Trump, lui, jubile. On l’imagine ricanner dans son bunker doré, jouant avec les espoirs de Netanyahu comme un chat avec une souris blessée. « Quinze jours, Bibi, attends quinze jours, » susurre-t-il, laissant l’Israélien se noyer dans son désespoir. Mais voilà, Trump, cet ego sur pattes, ne peut résister à l’appel des projecteurs. Contre toute attente, oubliant ses propres promesses de suspense, il dégaine une décision aussi brutale qu’inattendue : bombarder les sites nucléaires iraniens dans la nuit. Boum ! La planète entière retient son souffle, Netanyahu change sa couche trempée de soulagement, et Trump, triomphant, vole la vedette à tous, se gargarisant de cette lumière qu’il aime tant.

Et pendant ce temps-là, que fait l’Union européenne, ce monstre bureaucratique englué dans sa propre impuissance ? Elle bredouille des appels au calme, des « il faut dialoguer » qui sonnent comme des pleurnicheries d’enfant perdu. La diplomatie française, elle, se précipite à Genève, brandissant des dossiers inutiles et des discours creux, espérant faire croire qu’elle a encore un rôle à jouer face aux Iraniens. Pathétique. Mais le clou du spectacle, le véritable coup de théâtre, nous vient, comme toujours, de celui qu’on ne veut plus voir ni entendre, celui qui squatte les photos de famille internationale comme un oncle gênant : Emmanuel Macron.

Oui, pendant que le monde brûle, que Trump se pavane et que Netanyahu ramasse les débris de son pays, Macron, lui, danse. Vous avez bien lu : il danse ! À l’Élysée, entre deux petits fours et trois coupes de champagne, notre président transforme le palais en piste de bal alors que Russie, États-Unis, Pakistan et Iran jonglent entre diplomatie et guerre. On l’imagine, léger comme une plume, virevoltant avec l’élégance d’un homme qui n’a jamais eu à porter le poids d’une vraie crise. Les Thénardier de la politique française, Macron et sa cour, dansent pendant que le monde cherche des solutions, guerrières ou pacifiques, à un chaos qui les dépasse totalement. C’est presque poétique, cette insouciance, cette capacité à faire la fête quand tout s’écroule. Si, si nous avons les preuves, les voici…

Mais attendez, l’histoire ne s’arrête pas là, car avec Macron, une ânerie n’arrive jamais seule. Ce matin, après avoir sans doute cuvé son champagne et allumé la télé pour voir Trump briller, que décide-t-il ? « Bombardements américains en Iran : Emmanuel Macron réunira un conseil de défense ce soir », et ensuite, il s’invitera au 20h ! Oui, il squattera nos écrans pour nous servir son baratin habituel, un mélange de vide intersidéral et de postures inutiles. « Hier, je dansais, aujourd’hui, je suis sérieux, » dira-t-il sans doute, le regard grave, comme s’il avait subitement découvert l’existence du monde en guerre mode ultra-rapide en zappant sur BFMTV. Il va nous expliquer ce qu’il ne comprend même pas, brasser de l’air pour voler à Trump cette lumière qu’il ne supporte pas de voir briller ailleurs que sur lui. Quelle audace, quelle constance dans le ridicule !

Son seul boulot dans la journée afin de faire sa BA (Bonne Action) et dire au monde qu’il bosse, c’est ce tweet ci-dessous :

Et nous, pauvres Français, coincés avec ce boulet à la tête de l’État, que nous reste-t-il ? Le regarder s’agiter, danser, pérorer, pendant que les vrais joueurs, pour le meilleur ou pour le pire, façonnent le destin du monde. Macron, c’est ce figurant qui s’incruste dans le film d’action, celui qu’on finit par couper au montage tellement il gâche la scène. Alors que Trump bombe le torse, que Netanyahu tremble et que l’Iran défie l’Occident, lui, il twiste à l’Élysée et squatte le JT. Un seul mot résume ce fiasco : « Le Boulet ». Et malheureusement, c’est le nôtre.

Le comptable Macron annonce que la France accorde 2 milliards d'€ de soutien à l'Ukraine. Les contribuables assommés d'impôts sont heureux d'apprendre que le coût de l'organisation de la #FetedelaMusique est à l'origine d'un joli moment de complicité entre Brigitte et Rachida ! pic.twitter.com/Faf3K6hj6a

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