Macron en roue libre : le ‘Trump de pacotille’ et sa comédie du ‘Choose France’ face à l’effondrement réel

Publié le 21.5.2025 à 07h52 – Par Daniel Foster – Temps de lecture 3 mn

Macron, le mini-Trump sans résultats : entre dettes abyssales et grande braderie nationale

Alors que Donald Trump enchaîne les coups d’éclat au Moyen-Orient avec des contrats à 2000 milliards, les frais de douanes, les entreprises dont des françaises qui court s’installer aux États-Unis, car les charges, impôts, et taxes seront de presque zéro, les négociations historiques avec l’Iran, le bras de fer contre Netanyahu et le Deep State américain, la paix en Ukraine, notre « Jupiter national » secoue encore de l’arrière-train et se contente de jouer les figurants dans un mauvais remake avec 20 milliards d’investissements annoncés en grande pompe partout sur les médias corrompus ? Faisant croire au peuple Français qu’il est dans la lignée de Trump. Mais c’est une misère face aux 3500 milliards de dettes qui écrasent la France… dont 1500 milliards accumulés simplement sous son règne.

Choose France ? Plutôt « Sell France » !

La Macronie adore se gargariser de ses « records » d’investissements étrangers, mais quand Marc Fiorentino, banquier d’affaires, s’énerve en direct sur BFMBusiness « J’en ai marre de Choose France, ça suffit ! », on comprend enfin l’arnaque.

CHOOSE FRANCE : LA GRANDE BRADERIE avant changement de PROPRIÉTAIRE.

Quand BFMBusiness invite Marc Fiorentino, spécialiste des marchés financiers, banquier d’affaires, pour parler de ChooseFrance dont la Macronie se gargarise sur l’ensemble des autres médias, voilà ce que cela donne… Du succulent…

• Des annonces en carton : des promesses sans garantie, des usines qui n’arrivent pas, des emplois fantômes.
• Une France délocalisée : pendant que Montebourg dénonce en commission sénatoriale l’abandon de la production nationale, Macron continue de vendre le pays par appartements aux multinationales.
• Un bilan industriel désastreux : fermetures d’usines, dépendance énergétique, chômage structurel… mais chut, on a le « Made in France » en communication !

À voir, la récente commission d’information sénatoriale sur « produire français » avec A Montebourg.

Macron-Trump : la comparaison qui tue

Trump agit, négocie, bouscule l’establishment. Macron, lui, parle, emprunte, et se prend pour un géant alors qu’il n’est qu’un nain politique.

• Trump fait la paix ? Macron s’agite en Ukraine sans aucun résultat, juste celui de déclencher la guerre avec la Russie.
• Trump signe des méga-contrats ? Macron se félicite de miettes avant que Bercy ne révèle les subventions publiques cachées derrière.
• Trump défie Netanyahu sur Gaza ? Macron pond une déclaration creuse avant de retourner sa veste 48h plus tard.

La Macronie, usine à gaz (et à dettes)

La vérité est crue : le macronisme est un échec économique monumental.

• 3500 milliards de dettes (merci Bruno Le Maire et ses « ça passe »).
• Un pays en liquidation : autoroutes, aéroports, barrages… tout part à l’étranger.
• Un président qui croit briller alors qu’il n’est qu’un perroquet répétant les mantras du globalisme.

Le 8e sommet Choose France a battu un record avec 20 milliards de nouveaux investissements. Pas de quoi enthousiasmer Marc Fiorentino, énervé par cet exercice de communication présidentiel.

Et de comprendre que le Macronisme est incompatible avec le redressement industriel de la France.

Conclusion :

Macron n’est pas un Trump. Il en est la version low-cost, sans envergure, sans courage, sans résultats. Un acteur de seconde zone, payé pour réciter un script écrit par ses maîtres bruxellois et financiers. La France mérite mieux qu’un gestionnaire de déclin qui se prend pour un sauveur, comme toujours.

#MacronDemission avant que la cage à perroquet ne devienne son dernier décor.

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