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La liste des échecs cuisants de Thierry Breton : Le « génie » des plateaux qui a tout raté
Publié le 17.5.2025 à 19h36 – Par Alexandre Rousseau – Temps de lecture 3 mn
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Thierry Breton, ce nom résonne comme une blague dans les couloirs de l’économie française. Un homme dont le CV ressemble à une liste de catastrophes industrielles, mais qui, contre toute logique, se pavane encore sur les plateaux télé pour donner des leçons. Voici le vrai bilan de ce « visionnaire »… si on peut l’appeler ainsi.
Ce n’est même plus un CV, c’est un casier judiciaire.
1993-1997 : Bull – Le début de la légende (de l’échec)
Breton débarque chez Bull, et comme par magie, le groupe s’effondre. Résultat : l’État doit injecter 100 millions d’euros pour éviter la faillite. Un coup de maître !
1997-2002 : Thomson – Le magicien de la déroute
Quelques mois après son départ, Thomson est au bord du gouffre. Trois ans plus tard, la marque est vendue à un repreneur chinois pour une bouchée de pain. Bravo l’artiste !
2003-2005 : France Télécom – Le bourreau des employés
Breton refuse d’investir dans le premier lecteur MP3 au monde (trois ans avant l’iPod, quelle clairvoyance !). À la place, il impose une politique managériale brutale, déclenchant 19 suicides et 12 tentatives en moins d’un an. Un record macabre.
2005-2007 : Ministre de l’Économie – Le pillage en règle
Il brade les joyaux de l’État (Alstom, ADP, GDF) à prix cassés, tout en faisant exploser la dette publique (passée de 1 147 à 1 211 milliards). La Cour des comptes l’étrille, mais Breton, imperturbable, continue sa sale besogne.
2008-2019 : Atos – Le chef-d’œuvre de l’incompétence
Endettement frénétique, acquisitions surévaluées pour gonfler artificiellement l’action… Puis, sentant le naufrage venir, il vend ses parts et s’enfuit à la Commission européenne, laissant Atos dans un gouffre. L’action, qui valait 68 € en 2019, culmine aujourd’hui à 36.40€. Une performance digne du Livre des records !

Cela a été idem pour Édouard Philippe chez Atos : un pantouflage classique post-Matignon.
Monsieur 80 km/h administrateur chez ATOS

Après son départ de Matignon en 2020, Édouard Philippe rejoint le conseil d’administration d’Atos en tant qu’administrateur indépendant, un poste lui rapportant entre 40 000 et 50 000 euros annuels. Cette nomination, validée par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), soulève des questions de conflits d’intérêts : Thierry Breton, ancien PDG d’Atos, avait été nommé commissaire européen en 2019 par le gouvernement Philippe, et le groupe était déjà impliqué dans des marchés publics controversés (radars automatiques, bracelets électroniques).
Critiqué pour ce pantouflage rapide, Philippe quitte Atos en 2023, alors que l’entreprise sombre dans une crise financière (dette de 4,8 milliards d’euros). Son passage illustre la porosité entre sphère politique et privée, typique des élites françaises, où les retours dans le privé s’accompagnent souvent de juteuses rémunérations sans réelle justification stratégique.
Et pourtant… Breton, on l’invite encore à la télé !
Malgré ce parcours désastreux, Breton est partout : expert géopolitique, donneur de leçons sur l’Ukraine… Comme si on demandait à un pyromane de diriger les pompiers.
Conclusion : Si l’échec était un sport, Thierry Breton serait champion du monde. Et pourtant, il continue de pérorer. La question reste : pourquoi diable lui donne-t-on encore la parole ?
Sources : enquêtes d’Amélie Ismaïli, rapports de la Cour des comptes, archives économiques.
Note : Cet article est satirique et s’appuie sur des faits publics controversés. À consommer avec humour (et méfiance). 😉