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La France contre ses protecteurs : un gendarme en GAV pour avoir fait son travail, Macron et la justice complices du chaos
Publié le 28.6.2025 à 08h53 – Par Luca Giordano – Temps de lecture 3 mn
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Sud Ouest nous rapportent : Quand l’État préfère les criminels aux héros
Encore une fois, la machine judiciaire française, pilotée par des magistrats hors-sol et un gouvernement lâche, s’acharne contre ceux qui la défendent. Un gendarme, en permission, a osé sauver des vies en neutralisant un individu armé d’un couteau et prêt à commettre un massacre. Sa récompense ? La garde à vue, comme un vulgaire délinquant.

L’absurdité criminelle de l’État
Les faits sont pourtant clairs : un homme de 40 ans, visiblement instable et violent, brandissait une arme blanche après des soupçons de violences conjugales. Le gendarme, hors service, mais pas hors humanité, a tenté de désamorcer la situation avant d’être confronté à une menace mortelle. Une balle en l’air, puis une seconde pour survivre. Résultat : un criminel neutralisé, des vies sauvées… et un héros traîné au commissariat.
La procédure, nous serine-t-on, doit être respectée. Bien sûr. Mais depuis quand place-t-on les forces de l’ordre en garde à vue comme des suspects, alors qu’elles risquent leur peau chaque jour pour un pays qui les méprise ? La réponse est simple : depuis que Macron et sa clique de technocrates complices ont capitulé devant les idéologues anti-police, ceux qui préfèrent pleurer les délinquants plutôt que saluer ceux qui les abattent.
La justice, complice du désordre
Pendant ce temps, la justice française, toujours prompte à libérer des multirécidivistes pour « manque de place en prison » ou « trouble psychiatrique », trouve le temps de persécuter un gendarme qui a fait son devoir. Les magistrats, bien au chaud dans leurs prétoires, jouent les vierges effarouchées dès qu’un policier ose se défendre.
Et après, on s’étonne que les rangs des forces de l’ordre se vident ? Qui voudrait encore risquer sa vie pour un pays où l’on vous jette en prison pour avoir survécu à une agression ? La réponse est dans les démissions en masse : personne.
Le message de l’État aux criminels : « Foncez, on vous protège »
La conclusion est limpide : en France, il vaut mieux être un délinquant qu’un gendarme. Les violeurs bénéficient de remises de peine, les dealers de peines symboliques, et les terroristes de la clémence des juges. Mais un policier qui tire pour ne pas mourir ? Directement au cachot, histoire de bien montrer que, dans ce pays, la lâcheté est une vertu gouvernementale.
Aux forces de l’ordre, il ne reste qu’un conseil : lâchez prise. Laissez ce pays sombrer. Laissez ces élites pleurnicher quand les racailles qu’elles chérissent viendront frapper à leur porte. Tant que les Français voteront pour des pantins qui méprisent leurs défenseurs, rien ne changera.
La France mérite-t-elle encore d’être sauvée ? À en juger par la façon dont elle traite ses protecteurs, la réponse est non.