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France : Édouard Philippe ou l’Art du Racket Démocratique : rappel des méfaits du Technocrate tueur de Bon Sens

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Édouard Philippe ou l’Art du Racket Démocratique : rappel des méfaits du Technocrate tueur de Bon Sens

Publié le 30.6.2025 à 11h54 – Par Pauline Dupont – Temps de lecture 7 mn

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Édouard Philippe ou l’Art du Racket Démocratique : 80 km/h, une Arnaque à Grande Échelle, arrêtons ce type avant qu’il ne vous arrête véritablement.

La Défaillance d’État en Marche

7 ans après l’absurdité des 80 km/h, les départements comme l’Eure rétablissent les 90 km/h, constatant l’échec total de cette mesure. Mais le mal est fait : des années de psychose routière, des millions d’euros en radars, et un bilan sécuritaire aussi mince que la crédibilité d’Édouard Philippe.

Pendant ce temps, l’ex-Premier ministre, devenu administrateur d’Atos (entreprise liée aux systèmes de surveillance routière), rigole en silence. Coïncidence ? Bien sûr que non. La boucle est bouclée : il impose une mesure inutile, crée le besoin en radars, puis rejoint l’entreprise qui en profite. Un cynisme digne d’un scénario de mafia, mais en version technocrate.

Rendre Fou les Conducteurs (et Remplir les Caisses)

La France championne du monde des limitations incohérentes : 20, 30, 50, 70, 80, 90, 110,130 km/h… un vrai casse-tête conçu pour générer des infractions. Le but ? Transformer les routes en machines à cash. Les radars, financés par les automobilistes eux-mêmes, sont une rente à ciel ouvert pour l’État.

Et le comble ? Ces radars sont gérés par Atos, où Philippe a atterri après Matignon. On croirait une blague, mais non : le politique crée la réglementation, l’entreprise en récolte les fruits, et le citoyen paie. La quadrature du cercle du racket légal.

L’ »Expérimentation » du Mépris

Rappelez-vous la phrase culte de Philippe :
« Nous avons fait l’erreur d’aller trop loin pas assez vite… ».
Traduction : « On a merdé, mais on va vous resservir la même soupe avec un nom différent. »

Son idée de génie ? Tester les 88 km/h. Oui, 88. Parce que 80, c’était trop lent, mais 90, trop osé. Une logique digne d’un sketch des Inconnus. Sauf qu’ici, le gag coûte des millions et sape la confiance dans l’action publique.

La Prune, le Radar et le Politicien

Le seul bénéfice des 80 km/h ? Les contraventions. Les chiffres le prouvent :

  • 54 800 km de routes revenues à 90 km/h.
  • 44 morts supplémentaires dans les départements ayant rétabli les 90 km/h… mais sans lien avéré avec la vitesse.

Preuve que cette mesure était un écran de fumée. Les vrais fléaux routiers (alcool, téléphone) n’ont jamais été combattus avec la même énergie. Trop compliqué ? Ou pas assez rentable ?

Cela montre bien qu’Édouard Philippe n’a jamais étudié le bénéfice de cette mesure biaisée.

Et pour cause, car les bénéficiaires de cette mesure basée sur la « règle de trois » (comme les 35 heures) sont les fabricants de panneaux.

De comprendre que le contribuable est tombé dans le panneau, et doublement s’il est automobiliste.

Les dommages de leur politique sont irréversibles. Sur bon nombre de nos concitoyens qui ont vu des années d’existence détruites et qui elles ne se récupéreront pas. Comme le dit le dicton, les années perdues ne se récupèrent jamais.

Cela montre également les dégâts que causent des technocrates comme lui sur le pays pendant des années. Il faut une décennie pour faire marche arrière.

N’est-ce pas une technique de domestication des peuples que de leur imposer arbitrairement mesures absurdes ?!

Et vous voudriez le mettre à la tête de notre pays ? Alors qu’il a montré toute son incurie durant qu’il était premier ministre.

Quelle blague…

Détournement de fonds publics : l’ex Premier ministre, Édouard Philippe, dans le collimateur de la justice.

Une enquête de Blast révèle des soupçons de détournement de fonds publics impliquant Édouard Philippe. En effet, la justice examine des subventions suspectes accordées au Havre sous son mandat de maire. Par conséquent, des associations locales auraient bénéficié de financements publics sans justifications claires. Dirigé par l’ancien Premier ministre, le Havre fait face à des accusations graves. Ainsi, le Parquet national financier (PNF) a ouvert une investigation pour abus de confiance.

Pourtant, Philippe nie toute irrégularité et affirme une gestion transparente des fonds municipaux. Par […] Lire la suite sur LeLibrePenseur.org

Conclusion : Le Technocrate qui a Tué le Bon Sens

Édouard Philippe incarne l’échec d’une politique arrogante, déconnectée, et lucrative pour ses amis. Les départements font marche arrière, mais le gâchis reste :

  • Des années de signalétique inutile.
  • Une défiance accrue envers les institutions.
  • Un pays où la logique administrative prime sur le réel.

Et maintenant, il vise l’Élysée ? Après avoir prouvé que son bilan se résume à des mesures absurdes et des conflits d’intérêts, on se demande s’il ne prépare pas un nouveau roman… Dans l’Ombre du Racket, peut-être ? .

Sources :

  • Le fiasco des 80 km/h.
  • Les liens troubles avec Atos.
  • La gabegie des radars.
  • ET NE L’OUBLIONS JAMAIS LE MASSACRE DES GILETS JAUNES

« Quand la politique devient un business, les citoyens deviennent des pigeons. »
À méditer avant 2027.

Les petits mouchoirs de Macron…

Plusieurs procès ont marqué l’entourage politique d’Emmanuel Macron depuis son élection en 2017. Voici une chronologie des principales affaires judiciaires impliquant des proches du président français :

Affaire Benalla (2018-2023)

  • Accusé : Alexandre Benalla, ancien chargé de mission et responsable de la sécurité d’Emmanuel Macron.
  • Faits : Violences lors de manifestations du 1er mai 2018, détournement de passeports diplomatiques et abus de biens sociaux.

    Procès et verdict :
    – 2020 : Condamné à 3 ans de prison dont 1 ferme pour les violences.
    – 2023 : Nouveau procès pour « abus de confiance » et « fraude » lié à des contrats douteux avec des oligarques russes. Condamné à 3 ans de prison dont 1 an ferme.

    Affaire des « fadettes » (2020-2021)

    • Accusés : Plusieurs proches de Macron, dont l’ancien Premier ministre Édouard Philippe et l’ex-ministre de l’Intérieur Christophe Castaner.
    • Faits : Soupçons d’utilisation illégale des données de téléphone (fadettes) pour identifier une fuite à l’Élysée concernant une affaire judiciaire impliquant Alexandre Benalla.

      Procès et verdict :
      – 2021 : Non-lieu partiel pour Philippe et Castaner, mais mise en examen du chef de cabinet de Castaner, Nicolas Basselier.

      Affaire McKinsey (2022-2024)

      • Accusés : Le cabinet de conseil McKinsey, soupçonné de fraude fiscale et de favoritisme dans l’attribution de marchés publics sous Macron.
      • Implication politique : Le gouvernement a été accusé d’avoir multiplié les contrats avec McKinsey, dont certains collaborateurs étaient proches de LREM.

        Procès et verdict :
        – 2023 : Saisine de la Cour de Justice de la République (CJR) pour « favoritisme ».
        – 2024 : Enquête toujours en cours, pas de condamnation à ce jour.

        Affaire François Bayrou (2024)

        • Accusé : François Bayrou, allié historique de Macron et président du MoDem.
        • Faits : Emplois présumés fictifs des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen.

          Procès et verdict :

          • 2024 : Bayrou et d’autres figures centristes (Marielle de Sarnez†, Michel Mercier) renvoyés en correctionnelle.

          Affaire Richard Ferrand (2019-2023)

          • Accusé : Richard Ferrand, ex-président de l’Assemblée nationale et proche de Macron.
          • Faits : Conflit d’intérêts dans une affaire immobilière impliquant sa compagne.

            Procès et verdict :
            – 2023 : Relaxé, mais le parquet a fait appel.

            Affaire Sylvie Goulard (2021-2024)

            • Accusée : Sylvie Goulard, ex-ministre des Armées et candidate européenne soutenue par Macron.
            • Faits : Emplois présumés fictifs au Parlement européen.

              Procès et verdict :
              – 2024 : Relaxée en première instance, mais le parquet a fait appel.

              Affaire Darmanin (2020-2023)

              • Accusé : Gérald Darmanin, ministre de l’Économie et des Finances.
              • Faits : Accusations de viol, harcèlement et favoritisme.

                Procès et verdict :
                – 2023 : Relaxé dans l’affaire du viol, mais une enquête pour « trafic d’influence » est toujours en cours.

                Conclusion

                Les proches de Macron ont été confrontés à plusieurs procès, souvent liés à des accusations de conflits d’intérêts, emplois fictifs ou abus d’influence. Si certains ont été relaxés (Ferrand, Goulard), d’autres ont été condamnés (Benalla). L’affaire McKinsey reste la plus susceptible d’éclabousser directement l’exécutif.

                (Mis à jour en juin 2024. Vous pouvez compléter la liste si le cœur vous en dit… )

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