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Vous ne voyez pas le rapport, alors ouvrez bien les yeux, parce que Macron, lui, le voit très bien. Tout ce qui lui reste pour exister encore un peu dans sa tête pleine de courants d’air, c’est d’être un grand chef de guerre qui va écraser la Russie qui est terrorisée par lui, comme vous par un chaton nouveau-né…
Et pour tout ça, il faut du pognon… !

La « fin de vie » ce sont souvent des soins palliatifs extrêmement onéreux pour la Sécu et l’État, et ce dernier réagit en prescrivant un plan d’assistance au décès « volontaire » (euthanasie) ouvert, non critiquable et non contestable, pour la fin de vie assistée ou accompagnée mais définitive.
On sent que le seul but est de faire de grosses économies pour renflouer les caisses afin d’écraser la Russie et de faire disparaître des millions de Français… !

D’abord, ce n’est pas au gouvernement de décider de notre naissance, de notre vie et de notre mort, mais c’est à nous, le peuple, sans intermédiaire foireux comme le Parlement, nos députés et nos sénateurs tous corrompus et puant la mort, d’en débattre sur la place publique, sans aucun politicien de caniveau comme ils le sont tous et sans grand moralisateur de plateaux télé qui vivent eux-mêmes tous à l’inverse de ce qu’ils prescrivent pour les autres avec des trémolos dans la voix.

Ce sujet a toujours été un sujet brûlant et polémique objet de tous les délires malfaisants alors que ce doit être un sujet partagé et débattu publiquement et largement diffusé, dans le calme et la sérénité par des personnes sensées, honnêtes et érudites, ce qui est rare, et donc pas par des politiques, ni des francs-maçons tous impliqués dans les drames de notre temps que je connais très bien, ni des professionnels du discours girouette.

Mais le plus important c’est d’assurer que tout homme ou femme qui le souhaite puisse mourir librement, selon son choix, à son heure, dans la dignité, sans avoir à se justifier ni à subir des interrogatoires interminables par des fonctionnaires islamo-gauchistes crétins et incultes au QI de palourde qui croient que la terre est plate.
Ma naissance, je la dois à mes parents. Ma vie, je la dois à ma famille et à moi-même et ma mort, je suis le seul à pouvoir en décider quand je le veux, et j’emmerde les empêcheurs de mourir en rond.

C’est étrange, mais tous ceux qui veulent que la mort accompagnée soit interdite sont les mêmes que tous ceux qui veulent qu’Israël et le peuple juif ainsi que la Russie et le peuple russe disparaissent. Mais rien à voir avec la mort…
De même que tous les gauchistes ont voté pour l’abolition de la peine de mort (mais elle reviendra) par trouille d’en faire eux-mêmes les frais tant ils sont malhonnêtes, corrompus et criminels de sang. En un peu plus d’un siècle, le socialo-communisme (nazisme et marxisme-stalinisme inclus) ont tué au moins 150 millions d’humains sur toute la planète, et ça continue.
Mais pas de souci, ce sont les gentils, le camp du bien et de la bien-pensance… Quelle chance !

Ce matin j’avais posté un commentaire sur Facebook sur ce sujet et ce commentaire développé devient maintenant un article :

Mon idée, même si vous ne la partagez pas, c’est que les lois naturelles veulent qu’un être humain naisse et vive sans entrave mais qu’aussi il puisse mourir toujours sans entrave si telle est sa décision.

Tous les débats et les délires politiques qui veulent nous imposer tel ou tel avis ne sont que de la dialectique stérile qui ne prend jamais en compte le vrai cœur du sujet : le droit de chacun de décider de son propre sort.

Lorsqu’un homme ou une femme veut mettre un terme à sa vie, quelle qu’en soit la raison, personne n’a le droit de l’en empêcher.

Personne n’est au-dessus de lui et n’a une quelconque autorité morale pour le lui interdire.
Chacun est libre de choisir le moment et le moyen de sa mort.

Ses raisons sont les siennes et personne n’a le droit de les juger. Ce sont le plus souvent des raisons de souffrance mentale ou physique qui président à sa décision. Parfois, c’est la seule issue.

Un de mes frères avait un cancer en phase terminale qui le faisait souffrir terriblement. On ne pouvait plus le soigner. Il a préféré rester dans sa maison et un matin il a écrit une lettre à sa femme et à son fils pour leur dire adieu, a pris une arme à feu, est sorti dans le jardin pour ne pas salir la maison et s’est tiré une balle dans la tête par la bouche. C’est terrible et traumatisant pour les vivants, mais c’était son droit.
De même un membre âgé de ma famille également atteint d’un cancer inopérable a choisi d’aller en Suisse se faire accompagner dans la mort qu’il avait choisie, dans de très bonnes conditions et bien entouré.
C’est un exemple différent, moins brutal et plus serein.

Le droit à mourir, c’est trop souvent un suicide sordide et difficile et, de toute façon, celui qui a perdu tout espoir trouvera toujours le moyen de mettre un terme à sa vie, mais cela loin de la douceur et de l’apaisement d’être entouré par ses proches.

Certains se jettent d’un pont, d’une falaise ou sous un train, d’autres se pendent ou se tuent avec du poison ou autre chose.

Les grands moralistes de plateaux télé trouvent toujours des raisons pour interdire aux autres de se donner la mort.
Mais ils n’ont aucune autorité pour ça.

Heureusement, il existe en Belgique et en Suisse et dans d’autres pays des endroits pour ça, pour être accueilli par des équipes compatissantes et accompagné dans sa mort dans une certaine douceur. C’est l’accompagnement, l’aide ou l’assistance au décès.

Mais cela ne concerne pas la médecine ni les médecins !

Le serment d’Hippocrate et la déontologie médicale commandent au médecin de soigner celui qui est malade ou qui souffre, mais jamais en aucune façon de le tuer.
En médecine le mot « patient » du latin « patientus » signifie la personne qu’il faut soigner et guérir, si possible, à laquelle donner de l’attention et des soins adaptés à son état.

On ne peut pas demander à un médecin de tuer une personne, ce qui contreviendrait moralement à son engagement et à son serment (d’Hippocrate, même si celui-ci est aujourd’hui un peu tombé en désuétude).

Même si parfois certains le font discrètement, sur la demande du patient, en douceur, par compassion, par empathie et par amour humain et parce qu’il ne reste plus rien d’autre à faire. Et je sais que souvent ils sont tristes et pleurent ensuite d’avoir dû accomplir ce geste tellement définitif et désespérant par rapport à un malade, un patient ou un simple être humain avec lequel s’était peu à peu établi un lien de sympathie, d’attachement, d’amitié ou d’affection.
Il est donc hors de propos d’évoquer une quelconque « aide médicale » à mourir comme dans cet article :
« L’aide médicale à mourir signe la fin de la fonction soignante des médecins » https://www.francesoir.fr/societe-sante/l-aide-medicale-mourir-signe-la-fin-de-la-fonction-soignante-des-medecins

La question pour chacun et tout le monde est de pouvoir se procurer et disposer librement d’un moyen de se donner la mort à soi-même de la façon la plus douce et sans la moindre souffrance.

Si je dois être un jour gravement malade ou handicapé, mais lucide, et devenir un boulet pour mes proches, j’ai déjà prévu le moyen de les délivrer de cette contrainte douloureuse et déprimante.
Je donne toujours aux médecins que je vois une feuille de papier reprenant mon historique médical et précisant ma volonté de ne pas être maintenu en vie, et sans aucun acharnement thérapeutique si mon état ne me permet plus de vivre normalement. Dans ce cas, je demande une sédation profonde aboutissant à un arrêt du cœur.

La question de la place de l’euthanasie ou du suicide assisté dans la législation des différents pays est source de débats. La plupart des pays les interdisent, avec des exceptions notables telles que la Belgique, le Canada, la Colombie, la Suisse, les Pays-Bas, le Luxembourg et certains États des États-Unis : Oregon, Washington, Vermont, Maine, New-Jersey, Hawaï, Colorado et Californie. Il est dépénalisé dans le Montana. Des pays comme la Suisse ou l’Italie le tolèrent sous conditions, sans qu’une loi ne le légalise officiellement.
D’autres pays ont interdit l’euthanasie active, mais ont légalisé l’arrêt des traitements à la demande du patient, interdit l’acharnement thérapeutique et institué des initiatives possibles d’accompagnement des patients en fin de vie. https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9gislation_sur_l%27euthanasie_et_le_suicide_assist%C3%A9_par_pays

Pour ma part, je préfère les termes accompagnement en fin de vie, aide au décès ou mort assistée plutôt que le terme euthanasie qui est assez imprécis et ne correspond pas forcément à des idées de compassion, d’accompagnement, de main tenue ou d’entourer la personne jusqu’au bout.
Plus que jamais, la mort volontaire accompagnée doit devenir synonyme d’amour, d’amitié, de tendresse et de présence des proches.

L’avis de notre amie Christine Tasin :
« Bande de salauds ! Pourquoi devrais-je avoir l’autorisation de 5 personnes pour pouvoir mourir ? »
https://resistancerepublicaine.com/2025/05/24/bande-de-salauds-pourquoi-devrais-je-avoir-lautorisation-de-5-personnes-pour-pouvoir-mourir/
Article cité : https://resistancerepublicaine.com/2023/03/22/bouleversante-mireille-dumas-plaide-pour-le-droit-a-leuthanasie-merci-a-elle/

Dans cet article, je traite de la mort volontaire, accompagnée, de l’aide ou assistance au décès ou au suicide pour échapper à la souffrance sous toutes ses formes, tout en étant à l’écoute des candidats et en tentant, si besoin est, de leur proposer des alternatives auxquelles ils n’auraient pas pensé.

Dans cet article de notre ami Jean Saunier, celui-ci évoque et s’oppose avec raison à un autre aspect beaucoup plus macabre et inhumain de l’utilisation de la mort donnée à des fins politiques et économiques : l’euthanasie.
Beaucoup de dirigeants du monde aimeraient en effet pouvoir se débarrasser facilement de tous ceux qui leur déplaisent pour toutes sortes de raisons.
Je vous en recommande la lecture :
« L’euthanasie projet totalitaire de déshumanisation et de mort »

https://ripostelaique.com/leuthanasie-projet-totalitaire-de-deshumanisation-et-de-mort.html

Laurent DROIT