NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
Publié le 15 mai 2025 à 00:15. / Modifié le 15 mai 2025 à 00:18. 1 min. de lecture
«URSS, 1937, à l’époque de la terreur stalinienne.» Pour son retour à la fiction après plusieurs documentaires, dont L’Invasion (2024), qui laissait la guerre hors champ pour montrer le quotidien du peuple ukrainien, Sergei Loznitsa indique dès la première image de Deux procureurs dans quel contexte se situe son film, comme pour nous inciter à observer ensuite la manière dont hélas l’Histoire et les exactions se répètent. Sept ans après Donbass, qui d’une certaine manière anticipait l’invasion de son pays par la Russie, le réalisateur ukrainien suit dans sa quatrième fiction, adaptée d’un récit de Georgy Demidov, qui passa une partie de sa vie au goulag, un jeune idéaliste en quête de justice.
Grâce à un message écrit en lettres de sang sur un bout de carton miraculeusement sauvé des flammes dans lesquelles sont détruites toutes les lettres de détenus clamant leur innocence à l’époque des grandes purges, Alexander Kornev, procureur nouvellement nommé d’un district de province, parvient à rencontrer dans sa cellule un «élément socialement nuisible». Un certain Stepniak, qui va lui expliquer qu’il a comme tant d’autres été torturés par des membres du NKVD (Commissariat du peuple aux affaires intérieures). Porté par la conviction que les crimes de la police secrète doivent être dénoncés, Kornev décide d’aller rencontrer, à Moscou, le procureur général…
La suite de l'article vous intéresse?
Tout comprendre, mieux s’informer: accédez au meilleur du journalisme suisse avec notre offre combinée Le Temps & Heidi.news.
Abonnez-vous en quelques clics et payez facilement avec Twint.
Vous avez déjà un compte ? Se connecter