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Une majorité de députés (305 voix sur les 504 exprimées) a donc voté en faveur de la loi hypocritement présentée sous le nom de « loi sur la fin de vie », et qui ne propose rien d’autre que de légaliser le suicide et le meurtre, pour certains cas limités, dans un premier temps (car on sait bien que c’est un premier pas).
Le texte a des côtés flous, dans lesquels s’engouffreront les partisans de la culture de mort (si le Sénat vote le texte), avant d’exiger d’élargir le cadre de la loi, comme cela s’est passé pour les infanticides in utero (avec la loi Veil de 1975, qui était à l’époque plus restrictive que ce que l’on voit aujourd’hui).
La peine de mort pour les pires criminels a été interdite par les mêmes « progressistes », et reste toujours honnie : quelle incohérence…
Dans une société normale, lorsqu’un individu annonce son intention de mettre fin à ses jours, l’élan premier – instinctif, vital – est de l’en empêcher. On le prend dans ses bras, on l’écoute, on l’entoure. On l’emmène chez un psychologue, on lui tend des mains et des mots. Car la douleur qui pousse au suicide est souvent passagère, parfois guérissable, soluble dans le lien humain. Sans parler du sens chrétien de la souffrance (voir encadré en bas).
Sauver une vie est un devoir moral. Mais cette société apostate marche sur la tête. Comme l’écrivait Chesterton : « Otez le surnaturel, il ne reste plus que ce qui n’est pas naturel. »
Ci-dessous la « liste de la honte » des députés RN qui ont voté en faveur du texte (quelle dégringolade depuis l’époque du Front national, qui défendait clairement et vigoureusement la vie et la civilisation!) :
Mais il est vrai que leur patronne leur avait laissé le choix.