Ursula von der Leyen, la Reine de l’Omerta : 35 milliards d’euros envolés, des SMS fantômes et une impunité à toute épreuve

Publié le 15.5.2025 à 11h24 – Par Isabella Torres – Temps de lecture 5 mn

35 milliards d’euros.
Des SMS « disparus » comme par magie.
Un contrat Pfizer opaque négocié entre quatre yeux.
Et maintenant ? Le silence assourdissant de la machine Bruxelloise.

Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, celle-là même qui devait incarner la transparence et l’État de droit, s’est offert un petit passe-droit digne des meilleurs thrillers politiques. La Cour de justice de l’UE elle-même l’a confirmé : oui, elle a violé les règles. Oui, elle a négocié en secret avec Pfizer. Oui, elle a « oublié » de garder trace des discussions.

Mais chut… Il ne faudrait pas froisser la Dame de fer du lobbying pharmaceutique.

Le Scandale qui n’intéresse (curieusement) personne

Pendant que les citoyens européens se serraient la ceinture, von der Leyen signait un contrat à 35 milliards d’euros avec Pfizer, sans consultation, sans transparence, et surtout… sans preuves. Les SMS ? Évanouis. Les détails du deal ? Classés « secret industriel ». La justification ? Aucune.

Et la réaction de Bruxelles ? Un haussement d’épaules. Pas de sanctions, pas de procès, pas même un semblant d’enquête sérieuse. Juste le ronronnement complice d’une bureaucratie qui sait protéger les siens.

Seul D. Trump regarde Ursula von der Leyen s’effondrer dans le scandale de 35 milliards d’euros de Pfizer – Un tribunal de l’UE ordonne la publication de textes secrets sur les vaccins ! BOOM !

EXPOSÉ : L’État profond médical détricote : Ursula von der Leyen prise dans un accord secret de 35 milliards d’euros avec Pfizer. Trump est en état d’alerte alors que la Cour de justice de l’UE force la publication de textes cachés. Corruption, conflit d’intérêts et effondrement total.

URSULA VON DER LEYEN DÉMASQUÉE !

LE JOUR OÙ LA DISSIMULATION EST MORTE. Après quatre ans de silence, de manipulation, d’obstruction et de grenades fumigènes légales, la vérité est maintenant en train d’éclater entre les mailles de l’élite corrompue de l’Union européenne. La Cour de justice de l’Union européenne a rendu une ordonnance accablante : la Commission européenne doit immédiatement publier les SMS privés échangés entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla.

Ce ne sont pas des échanges polis. Il s’agit des empreintes digitales d’une opération criminelle qui a remis 35 milliards d’euros de l’argent des contribuables entre les mains d’un cartel pharmaceutique – le tout en secret, sans transparence, sans contrôle public et sans aucune responsabilité.

Ce n’est pas un scandale. Il s’agit d’un crime organisé au plus haut niveau du pouvoir européen.

L’Hypocrisie à l’Européenne

Pendant des années, l’UE a sermonné les États membres sur la « bonne gouvernance ». Mais quand sa propre présidente piétine allègrement les règles, plus un mot. Double standard ? Non, juste la routine.

Christine Anderson (AfD) a résumé l’affaire avec la subtilité qu’elle mérite :
👉 « L’heure des comptes est venue. »

Et pourtant… rien ne vient. Von der Leyen continue de jouer les vierges effarouchées, l’establishment européen détourne les yeux, et les médias mainstream minimisent l’affaire. Tout va bien, circulez.

À L’INTÉRIEUR DE L’ÉTAT PROFOND MÉDICAL : Le rôle d’Ursula dans un bio-cartel mondial

Ce n’était pas seulement un sale contrat. Il s’agissait d’une opération secrète coordonnée par l’État profond médical – une alliance de bureaucrates non élus, d’oligarques pharmaceutiques et de technocrates mondialistes qui ont détourné la science, armé la peur et profité de l’obéissance de masse.

Ursula von der Leyen n’agissait pas seule. Elle a agi comme un facilitateur clé au sein de ce syndicat, poussant la politique, contournant les contrôles démocratiques et canalisant des milliards entre les mains de seigneurs du monde des affaires comme Pfizer – tout cela sous le couvert de la « santé publique ».

Brisons la chaîne :

• Pfizer a dicté ses conditions.
• Bourla a sauté le témoignage.
• Ursula envoya des textos secrets.
• L’entreprise de son mari en profite.
• Et des millions de personnes ont été contraintes de s’y conformer – réduites au silence, contraintes, vaccinées, suivies.

Conclusion : L’Europe à Deux Vitesses

Celle des citoyens, qui doivent justifier chaque centime dépensé.
Et celle des élites, qui peuvent dilapider 35 milliards en catimini, sans jamais rendre de comptes.

Ursula von der Leyen incarne cette Europe-là : opaque, arrogante, et surtout… totalement impunie.

Mais ne vous inquiétez pas, ce n’est pas du « complotisme ». C’est juste la réalité. Et elle est encore plus choquante que la fiction.

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