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Depuis quelque temps, en réalité depuis qu’un juge, après m’avoir condamné en première instance à une peine contre laquelle je m’insurgeais à l’époque, s’est vu menacé de mort – pas par moi, cela a été prouvé par les flics eux-mêmes –, je reçois régulièrement, dans les commentaires de Riposte laïque, des attaques qui ne peuvent, à mon humble avis, être le fait de simple quidams.

Dans un premier temps, accusé d’être un « surineur », un meurtrier en puissance, un psychopathe, j’ai réagi avec émotion et, désormais que je réponds à ces bassesses de lâches et de collabos dans l’âme avec recul mais aussi à l’aide d’un vocabulaire très fleuri – digne d’un jardin luxuriant, je l’avoue ! –, les commentaires ont pris une tout autre tournure et me menacent nommément. Pas des menaces de mort ou d’agression, non : des menaces insidieuses qui révèlent à quel point le système est aux abois et qu’il n’a pas supporté l’écrasant soutien que j’ai reçu après que Riposte laïque, Résistance républicaine, Radio Courtoisie et Sud Radio – il paraîtrait même que ces détritus non recyclables montent un dossier contre moi auprès d’André Bercoff –  m’ont offert une tribune pour exhiber le vrai visage d’une justice malhonnête. Et la justice déteste être exposée, elle qui, tels les vampires, craint la lumière du jour.

Certains pourraient penser que je suis devenu paranoïaque et que tout ceci n’est que le fait de charognards isolés trouvant là la seule jouissance sexuelle de leur existence. Mais pour avoir bien lu ces commentaires, je reste convaincu qu’ils émanent de services de l’État, identiques moralement à ceux qui m’ont traité comme un sous-citoyen, ne respectant même pas mes droits fondamentaux lorsqu’ils m’ont mis en garde à vue au SRPJ de Versailles, où l’une des enquêtrices m’ayant interrogé m’a fait la promotion de l’islam, tout en m’interdisant de défendre le policier Florian M., ayant accidentellement tué Nahel Merzouk. Et ça, je suis prêt à le répéter devant un tribunal s’il le faut. S’agissant des commentaires, ce ne sont effectivement que des convictions intimes puisque le commentateur en service commandé n’a pas cet élémentaire courage de parler à visage découvert et change souvent d’adresse mail, dont voici la dernière en date :  [email protected]

Car le courage n’étouffe pas ces gens-là, effrayés face à l’effondrement de leur système un peu partout en Occident. Pour eux, nous, patriotes, sommes effectivement le pire danger car nous appelons de nos vœux l’abolition de ce régime de détestation de la France, de lâcheté imposée par la soumission judiciaire, d’apologie de l’Autre et de haine de l’autochtone, et j’en passe.

Ces parasites gourmands s’en prennent à toute forme d’écart de conduite vivre-ensembliste. Non contents de tenir entre leurs serres avides la culture (ce qu’il en reste !), l’éducation (moribonde), les médias (à peu près tous inféodés au système ou alors très peu rebelles), ils ont contaminé tous les services de l’État. Les seuls qui leur résistent c’est nous, les « désinformateurs » comme ils nous appellent parfois, c’est-à-dire les hommes et les femmes qui leur résistent avec les moyens du bord. Et quelques spécimens de ces Marcel Déat du XXI^e siècle ont trouvé en moi le nouveau Joseph Bouvier – tueur en série très déséquilibré, lui, du XIX^e siècle, magistralement interprété par Michel Galabru dans le film de Bertrand Tavernier : Le Juge et l’Assassin. Pourquoi donc ? Parce que j’ai empêché un enragé multirécidiviste de s’en prendre à une femme âgée et occasionnellement à moi. Voyez où se niche la veulerie de ces saletés qui auraient montré leur cul et leurs bonnes manières – dixit Jacques Brel – à l’Occupant en 1940…

En attendant, ce « Membre de l’armée des trolls » qui croit me déstabiliser avec ses analyses psychologiques à deux balles – dignes d’un petit fonctionnaire de la police politique et pas très érudites en la matière si je me réfère aux enseignements de quelques psychiatres de renom que j’ai pu rencontrer – n’est qu’une preuve de plus de la pourriture du système vicié. Ce fruit pourri ne va pas tarder à tomber et, ce jour-là, nous présenterons la facture que nous tenons rigoureusement à jour depuis des années.

Quoi qu’il en soit, je vous soumets, chers lecteurs, les captures d’écran de commentaires recueillis par mes soins, hier. À vous de vous faire votre propre idée, en gardant bien à l’esprit qu’on laisse comparaître libre l’assassin d’une gendarme et qu’on va chercher un Pierre Cassen ou un tout autre patriote chez eux, avec une kyrielle de policiers, des fois qu’ils seraient aussi dangereux que des terroristes !

Pendant ce temps, le pays est à feu et à sang, mais de cela, les petits collabos n’ont cure et préfèrent venir déféquer leurs commentaires insanes sur Riposte laïque…

Charles Demassieux

(PS : je voulais au départ porter plainte contre ce démembré de l’armée des lâches mais comme la plainte tomberait entre les mains de ses copains, je préfère renoncer et attendre notre heure à tous, ce jour où la France se réappropriera son peuple et son identité. D’ailleurs, le commentateur me l’a très nettement fait comprendre dans un commentaire et assumant dans un autre d’être effectivement un       « fonctionnaire » !)