Pourquoi donne-t-on la parole à Mathieu Kassovitz ? Par quelle aberration a-t-on le droit de recevoir deux fois la palme d’or à Cannes (au Goncourt, c’est impossible, sauf si on s’appelle Romain Gary) ? Qui va publier chez nous le tome II des mémoires de Bob Evans, le producteur du Parrain ? Le cinéma français se porte-t-il si bien qu’il puisse se passer d’un talent comme Nicolas Bedos ? Se souvient-on qu’à l’époque Le Chagrin et la Pitié n’était sorti que dans une salle à Paris, le Saint-Séverin (qui n’existe plus) ?

Mais qui a tué Harry ?

Saviez-vous que la devise de Pascal Jardin était « Jamais d’eau dans mon vin » et que Régine Deforges avait hérité de ses manuscrits ? Comment se fait-il qu’il n’y ait aucun cinéaste à l’Académie française ? Dutronc avait-il vraiment failli tourner dans Les Aventuriers de l’arche perdue ? De qui est la formule : « Godard ne fait pas de cinéma, il joue avec » ?

La Grèce a-t-elle eu raison d’imprimer des timbres à l’effigie de