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Entre Tanger et Carcassonne : un rendez-vous photographique "Face à la mer", face aux autres et face à soi-même

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Dans les rues de Carcassonne où se déroule la première édition (française) des rencontres photographiques « Face à la mer  ».
Dans les rues de Carcassonne où se déroule la première édition (française) des rencontres photographiques « Face à la mer  ».
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Festival

Par Étienne Archambault

Publié le 22/05/2025 à 15:00

Jusqu’au 31 mai, les premières rencontres photographiques de Carcassonne « Face à la mer hors les murs » invitent les spectateurs à un voyage franco-marocain par-delà les rives de la Méditerranée, le temps, et les consciences. Partagé sur sept sites de la ville, le travail de grands noms de la photographie comme Yan Morvan ou encore Céline Croze, y côtoie les clichés de jeunes photographes marocains débutants ou confirmés.

« Il y a trois sortes d’hommes », disait Aristote : « les vivants, les morts et ceux qui prennent la mer ». Jusqu’au 31 mai, la sentence du philosophe grec, qui a respiré toute sa vie les embruns de la grande bleue, résonne particulièrement dans les rues de Carcassonne où se déroule la première édition (française) des rencontres photographiques « Face à la mer ».

« Au départ, ce festival né il y a sept ans à Tanger n’avait pas pour vocation de s’élargir, rappelle la directrice de l’événement, Mina Mostefa, qui avec son compagnon, Wilfrid Estève, directeur de l’agence photo Hans Lucas, vit entre les deux villes. Mais au vu du succès de ce festival, je me suis dit qu’il serait utile de transposer l’expérience ici à Carcassonne. Nous avons donc décidé de traverser la Méditerranée pour réunir ce qui est épars. À l’heure où, en France, les tensions communautaires sont exacerbées, il est bon de rappeler que d’une rive à l’autre, la mer reste notre mère nourricière, notre paysage, notre patrimoine commun, et que nous nous baignons dans les mêmes eaux. Je voulais qu’il y ait cet effet miroir qui rappelle cette chose si simple… Et par chance, la mairie de Carcassonne a bien voulu nous suivre dans l’aventure. »

  • Étienne Archambault

    Par Étienne Archambault

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