Le peloton est toujours très groupé alors que l’on vient de dépasser les quatre heures de course dans cette deuxième étape.

Jonathan Milan s’en est pris à Biniam Girmay juste après le sprint en lui faisant de grands gestes.

L’Italien l’a finalement remporté de justesse devant l’Érythréen et Tim Merlier. La photo finish est impressionnante.

Yevgeniy Fedorov a battu le Norvégien Leknessund au sprint de l’échappée, quelques instants avant d’être repris par le peloton.

Le peloton est revenu sur Armirail et ses compères, en tête depuis 160 km. Il en reste encore 50.

Le peloton continue de remonter dans la descente. Les quatre hommes de tête n’ont plus que 35 secondes d’avance.

Les quatre hommes de tête conservent leur avance d’une minute trente à 65 km de la fin de l’étape.

D’ici une vingtaine de kilomètres, les difficultés vont réellement commencer pour les coureurs. Les hommes de tête maintiennent l’écart à 1 minute 33.

Le classement provisoire du meilleur grimpeur est toujours dominé par Benjamin Thomas mais Andreas Leknessund pourrait bien lui subtiliser d’ici la fin de l’étape.

Les deux rivaux sont dans le même groupe, tous les deux à l’avant du peloton avec leurs équipiers respectifs. Le Danois se place devant, il va avoir à cœur d’attaquer le premier, lui qui a subi la loi du Slovène au Dauphiné.

Tudor, l’équipe du double champion du monde français, a donné des nouvelles du Français après une première étape contrastée.

Benjamin Thomas a expliqué souffrir depuis sa chute de la veille. Le Français ne sera probablement pas en capacité de garder son maillot à pois de meilleur grimpeur.

Plusieurs Français sont impliqués dont Valentin Paret-Peintre. Le Belge Van Eetvelt, de l’équipe Lotto, a été bien amoché au niveau de la cuisse droite. Il a semblé sonné. Tous les coureurs ont fini par repartir.

Alexis Renard est tombé assez violemment alors qu’il était à l’arrière du peloton. Le tricolore a probablement heurté la roue d’une de ses concurrents avant de chuter en bord de route.

Le Norvégien a de bonnes jambes. Il a empoché le point pour être arrivé en tête en haut de la côte de Cavron-Saint-Martin en dépassant Van Moer sur le fil.

L’étape est très calme, les 50 derniers kilomètres devraient être bien différents avec plusieurs côtes qui pourraient complètement rebattre les cartes dans le peloton. 2 minutes 25 d’avance pour le groupe de tête alors que la première ascension approche.

Le Belge a évoqué la fin de parcours de cette deuxième étape au micro de France Télévisions et il ne cache pas ses ambitions :

«Les 10 derniers kilomètres seront très intéressants avec une pente très raide. J’espère y être, j’espère que Mathieu (van der Poel) y sera aussi».

Van Aert a également rappelé que les meilleurs coureurs sont très complets de nos jours et formeront également une menace certaine, en référence à Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard notamment.

Onze vélos de la formation Cofidis ont été volés hier dans la nuit. La porte du camion atelier a été forcée. Très mauvaise nouvelle pour l’équipe de Bryan Coquard.

Les coureurs ont monté la côte proche de Monchy-Cayeux et sont en train de redescendre vers Blangy-sur-Ternoise. Quelques kilomètres de plat avant d’attaquer l’ascension de la côte de Cavron-Saint-Martin. La pluie a complètement cessé.

Lenny Martinez remonte dans le peloton. Le Français tente probablement de rattraper son gros retard pris hier à la suite de sa contre-performance qualifiée de «jour sans» par le principal intéressé.

Armirail, Fedorov, Van Moer et Leknessund sont toujours les seuls dans l’échappée. Le peloton a encore gratté un petit peu de temps. Il se situe à 2 minutes 20 des hommes de tête.

Plus que 30 kilomètres avant qu’une première difficulté se présente aux coureurs : la côte de Cavron-Saint-Martin.

13 ans plus tard, le Tour de France retourne à Boulogne-sur-Mer. Souvenez-vous, en 2012 Peter Sagan avait remporté l’étape, signant sa deuxième victoire et que dire de cette célébration...

Les 182 coureurs ont roulé sur les pavés d’Arras tout à l’heure, sans qu’aucune chute ne soit à déplorer. Encore 149 kilomètres

Il aura fallu attendre plus de 50 kilomètres et 1h10 de course pour enfin apercevoir le soleil. À noter que Brent Van Moer mène virtuellement ce Tour de France grâce à son avance sur le peloton.

Les 4 hommes de l’échappée se sont retrouvés. Ils ont une confortable avance de 2 minutes et 45 secondes sur le peloton.

Les deux coureurs ont chuté il y a quelques minutes et sont repartis sans problème particulier à signaler. Ils tentent de retrouver leurs deux compagnons d’échappée : Bruno Armirail et Brent Van Moer.

Deux des quatre coureurs qui s’étaient échappés, Fedorov et Leknessund, ont chuté à l’entrée d’un virage serré. Bruno Armirail a lui aussi failli partir à la faute. C’est très glissant, le peloton va passer par cet endroit dans quelques instants.

L’Érythréen a brièvement pris les commandes du peloton avant de laisser sa place. Peu de mouvement à signaler. Plus que 170 km

Bruno Armirail, Yevgeniy Fedorov, Brent Van Moer et Andreas Leknessund ont accentué encore un peu l’écart qui les sépare du peloton. Ils comptent maintenant 2 minutes 38 d’avance.

Le même groupe de quatre coureurs continue de rouler sur un très gros rythme tout en se relayant. Ils prennent une belle avance d’1 minute 50 sur le peloton.

Le Français fait partie des quatre coureurs qui ont tenté une échappée, à l’image d’hier. Il est accompagné de Yevgeniy Fedorov, Brent Van Moer et Andreas Leknessund. Déjà 50 secondes d’avance sur le peloton.

Le départ réel vient d’être lancé, il pleut toujours. Attention aux virages serrés qui pourraient faire des dégâts dans le peloton.

LA QUESTION DU JOUR - Le coureur de Cofidis a bouclé la 1re étape avec le maillot à pois rouges après avoir provoqué une chute spectaculaire sur un sprint.

Des pavés indigestes. L’image a vite tourné en boucle sur les réseaux sociaux. À la lutte dans le deuxième sprint du grand prix de la montagne (à 78 km de l’arrivée à Lille) attribuant un point pour le classement du maillot à pois...

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Les 182 coureurs restants, Gana et Bissegger ont abandonné hier, se préparent pour l’étape la plus longue de cette Grande Boucle : 209 kilomètres de Lauwin-Planque à Boulogne-sur-Mer.

Le Français est revenu sur sa difficile première étape au micro d’Eurosport.

Anthony Turgis a été le meilleur sprinter de cette première étape lilloise. Le tricolore parviendra-t-il à conserver son bien aujourd’hui ?

Le bob qui avait fait sensation lors de la présentation des équipes n’est pas disponible dans les boutiques du Tour de France. Une déception pour le public.

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Encore 9 km à parcourir à petite vitesse en saluant la foule de Lauwin-Planque avant de réellement partir pour cette deuxième étape.

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L’étape d’ouverture de la 112e édition de la Grande Boucle, une boucle autour de Lille, a été suivie par une foule enthousiaste.

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Le départ réel devrait lui être lancé une vingtaine de minutes plus tard, aux alentours de 12h50. L’arrivée est prévue à 18h04 avec une moyenne de 40 km/h.

En raison des très mauvaises conditions météo à Lauwin-Planque provoquant des embouteillages et bloquant les bus des équipes, le départ de la deuxième étape a été retardé de quinze minutes.

Vous pouvez lire la suite de l’article de notre envoyé spécial sur place Gilles Festor en cliquant ici. 

Tout ce qu’il faut savoir sur la course et ses à-côtés avec la deuxième étape du Tour de France partant de Lauwin-Planque et arrivant à Boulogne-sur-Mer.

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