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EN DIRECT - Israël affirme avoir tué un commandant iranien en charge de la coordination avec le Hamas

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Israël a estimé samedi avoir "retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique. Tsahal a également a annoncé samedi avoir lancé de nouvelles frappes aériennes "contre les infrastructures de stockage et de lancement de missiles dans le centre de l'Iran". Suivez l'évolution de la situation en direct.

Israël a estimé samedi avoir "retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique, Téhéran refusant toute reprise des négociations nucléaires avec les Etats-Unis tant que les frappes israéliennes contre son territoire se poursuivent. Suivez l'évolution de la situation en direct. 

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Les principales informations à retenir : 

  • L'armée israélienne a annoncé samedi avoir lancé de nouvelles frappes aériennes
  • Israël estime qu'il a retardé d'au moins deux ans la possibilité pour Téhéran d'avoir la bombe nucléaire
  • Une source militaire israélienne affirme qu'une frappe a été lancée contre le site nucléaire d'Ispahan
  • La Turquie accuse Israël d'entraîner la région vers un "désastre total"

Les Européens vont "accélérer les négociations" avec l'Iran, affirme Macron

Emmanuel Macron a affirmé samedi que les Européens allaient "accélérer les négociations" avec l'Iran pour "sortir de la guerre et éviter de plus graves dangers", après un appel avec le président iranien Masoud Pezeshkian. Le chef de l'Etat a prévenu son homologue de sa "profonde inquiétude concernant le programme nucléaire iranien", a-t-il affirmé sur le réseau social X plus d'une semaine après le début de la guerre entre l'Iran et Israël, assurant que "l'Iran ne (devait) jamais avoir l'arme nucléaire" et devra "donner toute garantie que ses intentions sont pacifiques"

Tsahal assure avoir mené une frappe contre le site nucléaire d'Ispahan en Iran

Une source militaire israélienne a affirmé samedi que l'armée avait à nouveau frappé "le site nucléaire d'Ispahan", dans le centre de l'Iran, au cours de la nuit, plus d'une semaine après le début de la guerre entre l'Iran et Israël.

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"Au cours de la nuit, nous avons pris pour cible deux sites de production de centrifugeuses dans cette zone" d'Ispahan, a déclaré cette source militaire, qui estime qu'Israël a "porté un coup sévère aux capacités de production de centrifugeuses de l'Iran". L'armée avait déjà annoncé des frappes dans ce secteur au premier jour de la guerre.

Au moins trois commandants iraniens tués ce samedi

Israël a affirmé avoir tué trois commandants des Gardiens de la Révolution et visé un site nucléaire à Ispahan lors de frappes samedi en Iran, au neuvième jour de la guerre entre les deux pays ennemis.

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Samedi, l'armée israélienne a annoncé avoir tué dans une frappe nocturne Saïd Izadi, un commandant des Gardiens de la Révolution, en charge de la coordination avec "l'organisation terroriste Hamas", contre laquelle Israël est aussi en guerre à Gaza.

Elle a aussi affirmé avoir tué deux autres commandants des Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique d'Iran: Aminpour Joudaki, présenté comme un commandant ayant dirigé "des centaines" d'attaques de drones sur Israël, et Behnam Shahriyari, un commandant de la Force al-Qods.

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Des frappes israéliennes ont ciblé aussi des "infrastructures de stockage et de lancement de missiles dans le centre de l'Iran", selon l'armée.

La Turquie accuse Israël d'entraîner la région vers un "désastre total"

Le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a accusé samedi Israël d'entraîner la région vers un "désastre total", au 9e jour de la guerre avec l'Iran. "Israël entraîne désormais la région au bord d'un désastre total en attaquant l'Iran, notre voisin", a déclaré le chef de la diplomatie turque lors d'un sommet de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) à Istanbul.

"Il n'y a pas un problème palestinien, libanais, syrien, yéménite ou iranien, mais il y a clairement un problème israélien", a lancé M. Fidan, appelant à stopper l'"agression sans limites" contre l'Iran.

De nouvelles frappes

L'armée israélienne a annoncé samedi avoir lancé de nouvelles frappes aériennes "contre les infrastructures de stockage et de lancement de missiles dans le centre de l'Iran". L'agence iranienne Fars a indiqué qu'une explosion avait été signalée à Ispahan, grande ville du centre du pays déjà bombardée vendredi.

Depuis l'offensive massive lancée le 13 juin, "selon l'évaluation qu'on nous fait, nous avons déjà retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité pour (l'Iran) d'avoir une bombe nucléaire", affirme le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, dans un entretien au journal allemand Bild. "Le fait que nous ayons éliminé ces personnes qui dirigeaient et poussaient la mise au point d'armes dans le cadre du programme nucléaire est extrêmement important", dit M. Saar.

"Nous ne nous arrêterons pas tant que nous n'aurons pas fait tout ce que nous pouvons faire afin d'éliminer cette menace", assure encore le ministre. Le président américain Donald Trump, qui s'est donné "deux semaines" pour décider d'une éventuelle intervention militaire aux côtés d'Israël, a souligné vendredi que ce délai était un "maximum" et qu'il pourrait prendre sa décision plus tôt.

"Opérations combinées"

Les gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ont affirmé samedi dans un communiqué relayé par l'agence officielle Irna avoir lancé "dans la nuit plusieurs escadrilles de drones Shahed 136" et de missiles, annonçant la poursuite des "opérations combinées de drones et de missiles". Les services de secours israéliens ont pour leur part rapporté un incendie sur le toit d'un immeuble dans le centre d'Israël, qui n'a pas fait de victimes. Selon les médias, citant les pompiers, le feu s'est déclaré après la chute de débris d'un missile iranien intercepté par la défense anti-aérienne.

Israël a frappé des centaines de sites militaires et nucléaires sur le territoire iranien qui ont fait au moins 657 morts et 2.000 blessés, selon l'ONG Human Rights Activists News Agency (HRANA) basée aux Etats-Unis. Téhéran, qui a riposté avec des tirs de missiles et de drones vers Israël qui ont fait au moins 25 morts, dément vouloir fabriquer l'arme atomique mais défend son droit à développer un programme nucléaire civil.

"Ils veulent nous parler"

"L'Iran est prêt à envisager à nouveau la diplomatie une fois que l'agression aura cessé", a dit vendredi le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi après une rencontre à Genève avec des ministres des Affaires étrangères allemand, français et britannique. Ils ont exhorté l'Iran à poursuivre la voie diplomatique "sans attendre la fin du conflit" et reprendre les discussions lancées en avril avec Washington pour trouver un accord sur son programme nucléaire et suspendues après le début de la guerre.

"Le résultat positif aujourd'hui est que nous quittons la salle avec le sentiment que l'Iran est fondamentalement prêt à continuer à discuter de toutes les questions importantes pour nous, Européens", a déclaré le ministre allemand Johann Wadephul. Le président français Emmanuel Macron avait affirmé que les Européens allaient faire "une offre de négociation complète" à l'Iran incluant le nucléaire et les "activités balistiques" du pays.

Mais Donald Trump a rejeté l'idée que les Européens puissent être utiles pour résoudre la crise. "L'Iran ne veut pas parler à l'Europe. Ils veulent nous parler à nous. L'Europe ne va pas pouvoir aider sur ce sujet", a dit M. Trump. Après Genève, M. Araghchi est arrivé samedi à Istanbul où il doit participer à une réunion de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) sur le conflit avec Israël, selon l'agence Tasnim.

Affirmant que l'Iran était sur le point de se doter de la bombe atomique, considérée comme une menace existentielle pour le pays, Israël a lancé le 13 juin une attaque aérienne massive contre son ennemi juré, frappant des infrastructures militaires et nucléaires et tuant les plus hauts gradés du pays ainsi que des scientifiques associés au programme nucléaire.

L'armée israélienne a annoncé samedi la mort dans une frappe d'Aminpour Joudaki, présenté comme un commandant des Gardiens de la Révolution ayant dirigé "des centaines" d'attaques de drones sur Israël depuis le sud-ouest du pays.

"Une campagne prolongée"

Le chef d'état-major israélien, le lieutenant-général Eyal Zamir, a mis en garde la population sur un conflit au long cours. "Nous avons lancé la campagne la plus complexe de notre histoire (...) Nous devons être prêts à une campagne prolongée", a-t-il dit dans un message vidéo aux Israéliens. "Malgré des avancées significatives, des jours difficiles nous attendent. Nous nous préparons à de nombreuses éventualités."

Vendredi, l'Iran a tiré une salve de missiles contre Israël qui a fait 19 blessés selon un hôpital de Haïfa (nord) où au moins un bâtiment a été touché. Une attaque iranienne a aussi visé Beersheva (sud), faisant des dégâts. Les Gardiens de la Révolution ont affirmé dans un communiqué avoir ciblé en Israël des "centres militaires, des industries de défense, des centres de commandement et de contrôle" ainsi que des bases militaires.

L'armée israélienne a de son côté annoncé avoir frappé des lanceurs de missiles dans le sud-ouest de l'Iran, après avoir bombardé des cibles à Téhéran, Ispahan et dans l'Ouest. A Téhéran, des milliers de personnes sont descendues dans la rue en scandant des slogans de soutien à leurs dirigeants et contre Israël et les Etats-Unis. Ils ont brûlé et piétiné des drapeaux israélien et américain.

"Je sacrifierai ma vie pour mon guide", proclamait une banderole, en référence au guide suprême, Ali Khamenei, menacé par Israël et son allié américain. Vendredi, jour de repos en Iran, la plupart des commerces sont restés fermés à Téhéran, à l'exception des boulangeries et de quelques magasins d'alimentation. Dans les quartiers nord, le bazar de Tajrish, habituellement noir de monde le vendredi, était quasi fantôme et l'immense majorité des magasins fermés.

"Je n'ai pas peur de la guerre, je reste ouvert mais les affaires sont vraiment mauvaises", déclare à l'AFP un vendeur qui préfère taire son nom. Devant le Conseil de sécurité de l'ONU vendredi, le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a assuré pouvoir "garantir, par l'intermédiaire d'un système d'inspections incontestables, que des armes nucléaires ne seront pas développées en Iran". Israël, qui maintient l'ambiguïté sur sa propre possession de l'arme atomique, détient 90 ogives nucléaires, selon l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri). 

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