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Ces nouvelles sanctions ciblent de nouveaux navires pétroliers « fantômes » utilisés pour contourner les sanctions déjà existantes contre les exportations de pétrole russe, a annoncé la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas.

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Le chef de la diplomatie américaine assure qu’aucune concession n’a été faite à la Russie
Vladimir Poutine « n’a pas obtenu la moindre concession » de la part des Etats-Unis, a assuré, mardi, le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, devant la commission des affaires étrangères du Sénat, au lendemain de l’entretien téléphonique entre le président russe et Donald Trump.
L’armée ukrainienne ouvre une enquête sur la brigade « Anne de Kiev » formée en France
L’armée ukrainienne a annoncé mardi le lancement d’une inspection de la brigade « Anne de Kiev », formée et équipée par la France, qui se trouve depuis des mois au coeur de scandales de malversations et de désertions.
La 155e brigade mécanisée, son nom officiel, était destinée à être une force de combat performante et un symbole de la coopération militaire entre Kiev et Paris, mais, depuis son déploiement sur le front, les controverses la concernant se multiplient. L’Ukraïnska Pravda a révélé lundi que le colonel Tarass Maksimov, l’un de ses commandants, était impliqué dans une affaire de paiements fictifs et d’extorsion de fonds.
Selon le journal, 1 200 abandons de poste y ont été dénombrés, alors qu’elle compte moins de 5 000 soldats, dont la moitié a été formée en France. « Après la publication de l’article de l’Ukraïnska Pravda, j’ai ordonné une inspection officielle supplémentaire des faits révélés par les journalistes », a annoncé le commandant des forces terrestres, Mykhaïlo Drapaty, cité par le quotidien.
Un porte-parole des forces terrestres a confirmé mardi l’information à l’Agence France-Presse, mais a refusé de donner plus de détails. En janvier, un autre commandant de la brigade avait été arrêté pour des accusations d’abus de pouvoir et de désertion.
Près de 45 000 hommes ont quitté illégalement l’Ukraine depuis 2022, selon une députée
Près de 45 000 Ukrainiens ont quitté illégalement leur pays depuis 2022 pour échapper à la mobilisation et 30 000 autres ont été arrêtés alors qu’ils tentaient de le faire, a rapporté mardi la députée Ioulia Iatchik, citant les chiffres des gardes-frontières à l’issue d’une réunion de la commission d’enquête parlementaire sur le sujet.
Les moyens les plus courants sont, selon elle, l’utilisation de faux certificats de radiation des registres militaires, d’inaptitude, de statut de père de famille nombreuse ou d’étudiant et de passeports de ressortissants étrangers, ainsi que le franchissement clandestin des frontières.
D’autres Ukrainiens qui se sont rendus légalement à l’étranger n’ont pas regagné leur pays dans les délais impartis, mais les autorités ne disposent pas de données précises les concernant, a-t-elle ajouté.
Le président ukrainien salue l’adoption de nouvelles sanctions européennes
« C’est un pas dans la bonne direction », se félicite Volodymyr Zelensky sur les réseaux sociaux, après l’adoption d’un dix-septième train de sanctions européennes contre la Russie.
« Il est important de restreindre sévèrement la flotte de pétroliers russes, qui sert à financer les meurtres, ainsi que tous les stratagèmes que la Russie utilise pour développer son industrie militaire. Plus la pression sur la Russie sera forte, plus Moscou aura de raisons de s’orienter vers une paix réelle », poursuit le président ukrainien, qui dit avoir déjà évoqué avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le dix-huitième train de sanctions auquel travaillent les Vingt-Sept.
« Le pétrole russe, les infrastructures de commerce de l’énergie, les banques et les systèmes financiers sont ce qui est le plus douloureux pour la Russie et, par conséquent, le plus bénéfique pour la paix. Merci à tous ceux qui plaident pour la nécessité de renforcer les sanctions et prennent des décisions fortes », souligne-t-il, insistant par ailleurs sur l’implication de l’Union européenne dans le processus diplomatique.
Le point sur la situation, mardi 20 mai à 14 heures
- « La Russie et l’Ukraine vont commencer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu et, plus important encore, de la fin de la guerre », a annoncé Donald Trump, hier soir, après son entretien téléphonique avec le président russe. Le Vatican est, selon lui, prêt à accueillir ces discussions.
- Volodymyr Zelensky a déclaré que l’Ukraine est prête à prendre « de vraies décisions lors des négociations », quelques heures après cet appel. Il a également affirmé que son pays ne renoncera à aucun territoire.
- Le président ukrainien a affirmé, ce matin, que la Russie cherche à « gagner du temps » en faisant traîner les discussions en vue d’un cessez-le-feu. Le seul objectif du Kremlin est, selon lui, de « poursuivre » son invasion de l’Ukraine.
- L’Union européenne a adopté un dix-septième paquet de sanctions contre la Russie, qui cible de nouveaux navires pétroliers « fantômes ». De son côté, le Royaume-Uni a également annoncé avoir décidé d’une nouvelle série de sanctions.
- L’état-major des forces armées ukrainiennes a annoncé avoir recensé 177 affrontements au cours de la journée de lundi. Selon les Ukrainiens, les Russes ont notamment mené 72 attaques dans la région de Pokrovsk.
- La Norvège a choisi la ville de Bodo, au-dessus du cercle polaire arctique, pour accueillir de manière permanente un centre de commandement et de contrôle des opérations aériennes de l’OTAN.
Sur Le Monde aujourd’hui
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Dix-septième train de sanctions de l’Union européenne contre la Russie
L’Union européenne a imposé mardi un dix-septième train de sanctions à la Russie, qui concerne de nouveaux pétroliers « fantômes » utilisés pour contourner les mesures de rétorsion antérieures contre les exportations de pétrole russe, a annoncé la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas.
« L’UE a approuvé son dix-septième paquet de sanctions contre la Russie, qui vise près de 200 navires de sa flotte fantôme », a-t-elle écrit sur le réseau social X, en marge d’une réunion des ministres de la défense de l’Union européenne à Bruxelles. « D’autres sanctions à l’encontre de la Russie sont en préparation. Plus la Russie mènera la guerre, plus notre réponse sera sévère », a-t-elle ajouté.
Ce nouvel ensemble, en discussions depuis plusieurs semaines, concerne précisément 189 nouveaux navires fantômes et une trentaine d’entités soupçonnées d’aider la Russie à contourner les sanctions déjà mises en œuvre. Au total, 342 navires sont désormais concernés, selon un communiqué des Vingt-Sept. Le ministre de la défense estonien, Hanno Pevkur, a estimé mardi à 500 le nombre de ces navires, ajoutant que l’UE pouvait encore élargir ses sanctions. Un dix-huitième ensemble de mesures est déjà en négociation. Ces nouvelles mesures sont distinctes de celles envisagées dans le cas où Moscou refuserait le cessez-le-feu de trente jours accepté par l’Ukraine et réclamé par ses alliés occidentaux.
L’UE a également adopté mardi, pour la première fois, des sanctions en réponse aux attaques dites « hybrides » imputées à la Russie. Vingt et un individus et six entités sont concernés par ces mesures, qui prévoient un gel des avoirs et une interdiction d’entrer dans l’Union.
Le Royaume-Uni annonce de nouvelles sanctions contre la Russie
Le Royaume-Uni a annoncé avoir décidé d’une nouvelle série de sanctions contre la Russie, visant notamment les secteurs de la défense, l’énergie et la finance, après une attaque record de drones lancée dans la nuit de samedi à dimanche sur de nombreuses régions en Ukraine.
« Les dernières frappes de Poutine montrent une fois de plus son visage belliqueux », a commenté le ministre des affaires étrangères britannique, David Lammy. « Nous l’exhortons à accepter immédiatement un cessez-le-feu total et inconditionnel, afin que des pourparlers puissent être engagés en vue d’une paix juste et durable », a-t-il ajouté dans un communiqué.
Les cent nouvelles sanctions britanniques visent notamment dix-huit navires de la « flotte fantôme », utilisée par la Russie pour exporter ses hydrocarbures en contournant les sanctions déjà existantes. Les sanctions ciblent aussi une série d’institutions financières russes, des individus accusés de « propager la désinformation russe », ainsi que les « chaînes d’approvisionnement des systèmes d’armes létales russes, notamment les missiles Iskander », a ajouté le Foreign Office.
Le Royaume-Uni précise, par ailleurs, travailler avec « ses partenaires à renforcer le plafond du prix du pétrole, afin de restreindre davantage les revenus issus du pétrole alimentant la machine de guerre » de Vladimir Poutine. Et assure que les sanctions occidentales « ont des graves conséquences sur l’économie russe ».
En Ukraine, la population ne croit plus en une trêve alors que les combats gagnent en intensité
Par Thomas d’Istria
Tandis que la perspective d’une trêve s’éloigne, l’Ukraine observe une intensification des bombardements et des assauts russes le long de la ligne de front. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, n’a eu d’autres choix, dans la soirée du lundi 19 mai, à la suite de l’appel entre le président russe, Vladimir Poutine, et son homologue américain, Donald Trump, que d’accepter la promesse vague d’un mémorandum concernant un possible traité de paix, le plus important à ses yeux étant que le processus de négociations continue d’impliquer « à la fois des représentants américains et européens au niveau approprié ».
Volodymyr Zelensky accuse la Russie d’« essayer de gagner du temps » pour « poursuivre » son invasion
Pour Volodymyr Zelensky, la Russie cherche à « gagner du temps » en faisant traîner les discussions en vue d’un cessez-le-feu. Le seul objectif du Kremlin est, selon lui, de « poursuivre » son invasion de l’Ukraine.
« Il est évident que la Russie tente de gagner du temps afin de poursuivre sa guerre et son occupation », a écrit le président ukrainien sur Telegram, dénonçant les « conditions irréalistes » de la Russie, au lendemain d’un appel entre Vladimir Poutine et Donald Trump sans résultats tangibles. « L’Ukraine est prête à accepter tout format de négociation qui donne des résultats », a-t-il poursuivi.
Depuis le début de la reprise de contact entre les deux parties, la Russie reste sur ses positions maximalistes, selon les Ukrainiens, et demande notamment le retrait des troupes ukrainiennes de territoires sous leur contrôle. « Si la Russie continue de poser des conditions irréalistes et de saper les progrès, les conséquences doivent être sévères », a insisté le président ukrainien.
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Un nouveau centre de commandement aérien de l’OTAN dans l’Arctique norvégien
La Norvège a choisi la ville de Bodo (📍), au-dessus du cercle polaire arctique, pour accueillir de manière permanente un centre de commandement et de contrôle des opérations aériennes (CAOC) de l’OTAN, a annoncé le gouvernement norvégien.
Lors d’une réunion ministérielle en février, les pays de l’OTAN étaient convenus d’implanter en Norvège le troisième centre de commandement aérien de l’Alliance atlantique en Europe, à charge pour Oslo de décider de son emplacement. Le choix s’est fait entre Bodo, qui abrite déjà dans les entrailles d’une montagne le centre de planification et de conduite des opérations de l’armée norvégienne, et Rygge (📍), dans le sud-est du pays. « La principale raison pour laquelle on a choisi [Bodo] est d’ordre géopolitique : nous souhaitons que l’OTAN ait un ancrage dans le Nord », a expliqué le premier ministre norvégien, Jonas Gahr Store, au micro de la chaîne TV2.
Le futur CAOC, dont la date d’ouverture n’a pas été annoncée, sera chargé de la coordination de la surveillance aérienne ainsi que de la planification et l’exécution des opérations militaires aériennes de l’OTAN dans la région. L’Alliance atlantique dispose déjà de deux centres similaires en Europe, l’un en Allemagne, l’autre en Espagne.
Cette annonce survient alors que la Russie voisine cherche à conforter sa puissance dans l’Arctique en y ouvrant ou modernisant de nouvelles bases militaires.
Près de 180 affrontements entre Russes et Ukrainiens hier, annonce l’armée ukrainienne
L’état-major des forces armées ukrainiennes a annoncé avoir recensé 177 affrontements, au cours de la journée de lundi. Selon les Ukrainiens, les Russes ont notamment mené 72 attaques dans la région de Pokrovsk (📍), dans l’oblast de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, et une vingtaine d’assauts dans la direction de Novopavlivka (📍), au sud-ouest.
L’armée ukrainienne fait également état d’offensives russes, toujours dans l’est du pays, dans les directions de Lyman (📍), Toretsk (📍), Siviersk (📍), Kramatorsk (📍), Kharkiv (📍) et Koupiansk (📍). Plus au sud, ils font également état de quatre attaques dans la direction d’Orikhiv (📍), dans l’oblast de Zaporijia.
L’armée ukrainienne rapporte également 59 frappes aériennes russes au cours de la journée d’hier, mais aussi le largage de 117 bombes aériennes, « l’engagement » de 2 882 drones kamikazes et plus de 5 300 tirs d’artillerie.
La cheffe de la diplomatie européenne espère une « réaction forte » des Américains si la Russie refuse un cessez-le-feu
L’Union européenne espère une « réaction forte » de la part des Etats-Unis si la Russie continue à refuser un cessez-le-feu en Ukraine, a affirmé la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas. « Les Etats-Unis ont déclaré que si la Russie n’acceptait pas un cessez-le-feu inconditionnel, il y aurait des conséquences. Nous voulons donc voir ces conséquences », a-t-elle fait savoir peu avant le début d’une réunion des ministres de la défense de l’Union européenne à Bruxelles.
La Chine dit soutenir un dialogue direct entre Moscou et Kiev
La Chine a apporté son soutien à un « dialogue direct » entre la Russie et l’Ukraine, après l’annonce par Donald Trump du démarrage « immédiat » de négociations entre ces deux pays en vue d’un cessez-le-feu et d’une fin de la guerre, dans la foulée de son échange téléphonique avec Vladimir Poutine, hier.
« La Chine soutient tous les efforts visant à rétablir la paix », a réagi Mao Ning, une porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois, lors d’un point presse régulier. « Nous soutenons le dialogue direct et les négociations entre la Russie et l’Ukraine, ainsi qu’une solution politique à la crise », a-t-elle souligné. « Nous espérons que les parties concernées continueront de chercher un accord de paix juste, durable et contraignant, acceptable par toutes les parties, par le dialogue et la négociation », a-t-elle également dit.
La République populaire appelle régulièrement à des pourparlers de paix et au respect de l’intégrité territoriale de tous les pays, sous-entendu Ukraine comprise. Mais elle n’a jamais condamné la Russie et a renforcé ses relations économiques, diplomatiques et militaires avec Moscou depuis le début de l’invasion de grande ampleur russe en février 2022.
La Chine est notamment accusée d’aider son voisin russe à contourner les sanctions occidentales, en lui permettant d’acquérir les composants technologiques nécessaires à sa production d’armements pour la guerre.
Les défenses antiaériennes ukrainiennes disent avoir neutralisé 93 des 108 drones russes envoyés au cours de la nuit
Les troupes russes ont attaqué l’Ukraine avec 108 drones d’attaque de type Shahed et divers types de drones leurres au cours de la nuit, rapporte l’armée de l’air ukrainienne. La défense antiaérienne annonce avoir abattu 35 drones, tandis que 58 autres ont disparu des radars, grâce aux systèmes de guerre électronique. Les Ukrainiens ne précisent cependant pas ce que sont devenus les quinze drones restants.
L’attaque russe a touché les oblasts de Donetsk, Dnipropetrovsk, Soumy et Jytomyr, dans l’est et le centre du pays.
Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine échappe à toute menace de Donald Trump, après un appel sans résultats tangibles
Par Benjamin Quénelle, Piotr Smolar
Deux heures d’entretien et aucun résultat concret. Pourtant, à Washington et à Moscou, la nouvelle conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, lundi 19 mai, a été présentée sous un jour favorable, servant un récit différent. Aucun des deux dirigeants ne veut acter une rupture et un échec dans leur rapprochement, alors que le président américain cherche en vain à obtenir un cessez-le-feu prolongé en Ukraine, voire un règlement du conflit. « De gros egos sont impliqués, mais je pense qu’il va se passer quelque chose, expliquait Donald Trump dans la soirée, comme s’il s’agissait juste d’une question de caractères. Et si cela n’arrive pas, je me retire tout simplement et ils vont devoir continuer. Encore une fois, c’était une affaire européenne et ça aurait dû rester une affaire européenne. »
Volodymyr Zelensky : « Nous devons tous travailler dur avec les Etats-Unis afin qu’ils imposent des sanctions appropriées »
De nouvelles sanctions américaines imposées à la Russie « seraient déterminantes » sur sa capacité à poursuivre son invasion de l’Ukraine, a également affirmé lundi soir Volodymyr Zelensky, soulignant qu’il fallait toutefois « travailler dur » pour convaincre Washington, au moment où Donald Trump souhaite normaliser les relations américano-russes.
« Des sanctions bancaires et énergétiques américaines seraient en grande partie déterminantes et l’on verrait si [Vladimir] Poutine et l’armée russe continuent à tirer profit de cette guerre, ou s’ils sont confrontés à de graves difficultés économiques », a précisé M. Zelensky lors d’une conférence de presse. « Nous devons tous travailler dur avec les Etats-Unis afin qu’à un moment donné, lorsqu’ils en seront capables, ils imposent des sanctions appropriées », a-t-il ajouté.
L’Ukraine ne renoncera à aucun territoire, répète Volodymyr Zelensky
« Personne ne renoncera à notre terre, à nos territoires, à nos gens », a promis le président ukrainien lors d’une conférence de presse. « Si la Russie pose des conditions pour le retrait de nos troupes de notre territoire, cela signifie qu’elle ne souhaite pas de cessez-le-feu et ne veut pas que la guerre prenne fin », a-t-il ajouté.
L’Ukraine est prête à prendre « de vraies décisions lors des négociations », assure Volodymyr Zelensky
Le président ukrainien dit avoir réaffirmé à Donald Trump « que l’Ukraine [était] prête à négocier directement avec la Russie dans n’importe quel format susceptible de produire des résultats ».
« Turquie, Vatican, Suisse – nous envisageons tous les lieux possibles. L’Ukraine n’a pas besoin d’en être convaincue et nos représentants sont prêts à prendre de vraies décisions lors des négociations. Il est nécessaire de veiller à ce que la Russie soit prête à mener des négociations aussi productives », écrit-il sur Telegram.
« Si la Russie ne cesse pas les massacres, si elle ne libère pas les prisonniers et les otages, si [Vladimir] Poutine pose des conditions irréalistes, cela signifiera que la Russie continue de faire durer la guerre et mérite que l’Europe, l’Amérique et le monde entier se comportent en conséquence, y compris en répondant par des sanctions supplémentaires », réaffirme-t-il.
Le président ukrainien n’a pas connaissance du « mémorandum » évoqué par Moscou, mais se dit prêt à étudier l’offre
Volodymyr Zelensky a dit ne rien savoir pour l’instant du « mémorandum » évoqué par Vladimir Poutine après son entretien avec Donald Trump. « Une fois que nous aurons reçu le mémorandum ou les propositions des Russes, nous serons en mesure de formuler notre vision en conséquence, telle que nous la concevons », a-t-il ajouté.
Les négociateurs ukrainien et russe se sont appelés pour parler de l’échange de prisonniers convenu à Istanbul
Selon Volodymyr Zelensky, les principaux négociateurs ukrainien et russe se sont appelés lundi pour évoquer l’échange de prisonniers convenu lors des pourparlers qui ont eu lieu la semaine dernière en Turquie.
Le président ukrainien, qui s’adressait à la presse, a dit espérer « un résultat dans les jours ou les semaines à venir ». Moscou et Kiev ont annoncé vendredi s’être mis d’accord sur l’échange de 1 000 prisonniers russes contre autant d’Ukrainiens.
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