Cette délégation sera menée par le conseiller présidentiel Vladimir Medinsky. Figurent notamment dans la liste le vice-ministre des affaires étrangères, Mikhaïl Galouzine, et le vice-ministre de la défense, Alexandre Fomine.

Des Ukrainiens devant des véhicules militaires russes détruits, exposés sur la place Saint-Michel, à Kiev, le 14 mai 2025. - ROMAN PILIPEY / AFP Des Ukrainiens devant des véhicules militaires russes détruits, exposés sur la place Saint-Michel, à Kiev, le 14 mai 2025. ROMAN PILIPEY / AFP

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Le Kremlin dévoile sa délégation pour les pourparlers avec l’Ukraine à Istanbul, sans Vladimir Poutine

Le Kremlin a dévoilé mercredi les noms des membres de la délégation qui se rendront à Istanbul jeudi pour des pourparlers directs avec les Ukrainiens, sans mention du nom de Vladimir Poutine qui avait été invité à s’y rendre par son homologue Volodymyr Zelensky.

Cette délégation, dont la composition a été approuvée par Vladimir Poutine sous forme de décret, sera menée par le conseiller présidentiel Vladimir Medinsky. Figurent aussi dans la liste le vice-ministre des affaires étrangères, Mikhaïl Galouzine, le vice-ministre de la défense, Alexandre Fomine, et le chef de la direction principale de l’état-major général, le vice-amiral Igor Kostioukov, selon le Kremlin.

En revanche, ni le ministère des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, ni Iouri Ouchakov, le conseiller du Kremlin pour la politique étrangère, ne figurent dans la délégation.

Le point sur la situation mercredi 14 mai à 22 heures

  • Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’est dit prêt à « toute forme de négociations » pour mettre fin à la guerre avec la Russie et affirmé qu’il décidera des « mesures à prendre » lorsqu’il saura qui représentera Moscou aux pourparlers prévus à Istanbul jeudi.
  • De son côté, le Kremlin entretient le mystère sur la composition de la délégation qui se rendra à Istanbul. La composition de la délégation russe sera annoncée lorsque Vladimir Poutine en donnera l’ordre, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
  • Trois personnes sont mortes à la suite d’une frappe de missile russe sur la ville de Soumy, a annoncé le chef de l’administration militaire de la ville, Oleh Hryhorov.
  • Le chancelier allemand a exhorté, mercredi, Européens et Américains à refuser une « paix dictée » par la Russie à l’Ukraine, qui ne doit pas, selon lui être, soumise « contre sa volonté » à des concessions territoriales.
  • Les ambassadeurs des Vingt-Sept ont approuvé mercredi un 17paquet de sanctions contre la Russie, qui cible les « pétroliers fantômes », utilisés pour contourner les sanctions existantes destinées à limiter les exportations de pétrole russe, a-t-on appris de sources diplomatiques.
  • Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a appelé, lors d’une conversation téléphonique, son homologue russe, Vladimir Poutine, à se rendre en Turquie pour des discussions sur le conflit en Ukraine avec Volodymyr Zelensky, a annoncé la présidence brésilienne.
  • En France, le Sénat a adopté mercredi un texte pour améliorer le dispositif de « protection temporaire » accordé aux réfugiés fuyant les conflits, une mesure visant en particulier les Ukrainiens qui se tournent de plus en plus vers des demandes d’asile, plus protectrices.

Le président brésilien a appelé Vladimir Poutine à se rendre à Istanbul pour négocier avec Volodymyr Zelensky

Conformément à ce qu’il avait annoncé lors d’une conférence de presse à Pékin, le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a appelé son homologue russe, Vladimir Poutine, à se rendre en Turquie pour des discussions sur le conflit en Ukraine avec Volodymyr Zelensky, lors d’une conversation téléphonique mercredi, a rapporté la présidence brésilienne.

Le bilan de l’attaque russe à Soumy s’élève à trois morts, selon les autorités locales

Trois personnes sont mortes en raison d’une frappe de missile russe sur un site industriel de Soumy (🚩), a annoncé le chef de l’administration militaire de la ville, Oleh Hryhorov, dans un nouveau bilan publié sur Facebook. Plus tôt dans la journée, Oleksandr Lyssenko, le maire de la ville, avait fait état de deux morts et six blessés.

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Le Sénat adopte un texte visant à améliorer la « protection temporaire » accordée aux réfugiés ukrainiens

Le Sénat a adopté mercredi un texte pour améliorer le dispositif de « protection temporaire » accordé aux réfugiés fuyant les conflits, une mesure visant en particulier les Ukrainiens qui se tournent de plus en plus vers des demandes d’asile, plus protectrices.

« Arrachés brutalement à leur patrie, les Ukrainiens souhaitent dans leur grande majorité, y retourner. Il faut absolument que cette possibilité leur soit toujours offerte », a lancé la sénatrice centriste Nadia Sollogoub, auteure de la proposition de loi adoptée à l’unanimité en première lecture avec l’appui du gouvernement.

Celle qui est aussi présidente du groupe d’amitié France-Ukraine au Sénat a identifié des carences dans le dispositif dont bénéficient depuis 2022 les Ukrainiens fuyant la guerre. Ce statut temporaire, régi par une directive européenne qui n’avait jamais été activée jusqu’alors, octroie à ces réfugiés un statut leur permettant de séjourner, de travailler et d’accéder à des aides dans l’Union européenne.

Mais plus de trois ans après sa mise en œuvre, il semble « inadapté aux besoins qu’exprime aujourd’hui cette population » en matière d’accès à l’emploi et aux aides sociales notamment, a reconnu François-Noël Buffet, ministre auprès du ministre de l’intérieur.

Le Sénat a donc proposé d’ouvrir à ces bénéficiaires de la protection temporaire l’accès à de nouvelles aides sociales : allocation personnalisée d’autonomie (APA), allocations aux personnes âgées, allocation aux adultes handicapés (AAH). Ces bénéficiaires seront aussi éligibles à un dispositif dérogatoire d’accès aux épreuves de vérification des connaissances (EVC) organisé pour les professionnels de santé diplômés hors de l’UE.

Le chef de l’OTAN estime qu’une « fenêtre » s’ouvre ces deux prochaines semaines pour « améliorer la situation en Ukraine »

« Cette semaine, et dans les dix prochains jours, ou deux semaines, je pense que s’ouvre une fenêtre pour améliorer la situation en Ukraine », a déclaré mercredi le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, cité par l’agence de presse turque Anadolu.

Cette évolution pourrait se faire « sous la direction, bien sûr, du président Zelensky, mais aussi sous l’influence importante du gouvernement américain », a-t-il ajouté, précisant que « la Turquie joue un rôle important ici ».

En réponse à l’attaque de la centrale de Tchernobyl par un drone russe en février, la France donne 10 millions d’euros pour les réparations d’urgence

Le 14 février, une attaque de drone russe avait percé la coque en acier recouvrant l’ancien réacteur de la centrale de Tchernobyl et provoqué un incendie de la membrane protectrice. Enregistrées par des caméras de surveillance, les images ont été montrées, mercredi 14 mai, lors de l’assemblée générale de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), qui se tient à Londres.

Lors de cet événement, la France a annoncé un don de 10 millions d’euros destiné à financer de premiers travaux urgents, alors que les eaux de pluie s’infiltrent. « Les dommages risquent de s’accentuer si on ne fait pas des réparations d’urgence », s’inquiète Olga Zykova, vice-ministre des finances ukrainienne.

L’Ukraine est prête à « toute forme de négociations » pour mettre fin à la guerre, assure Volodymyr Zelensky

Le président ukrainien a déclaré lors de son adresse quotidienne être en train de préparer les pourparlers avec la Russie qui doivent se tenir jeudi à Istanbul. « J’attends de voir qui arrivera de Russie. Ensuite, je déciderai des mesures à prendre par l’Ukraine », a déclaré Volodymyr Zelensky, estimant que « les signaux qui ressortent des médias ne sont pas convaincants ».

M. Zelensky a répété que, pour lui, la venue de Donald Trump pourrait être « le meilleur argument » pour convaincre Vladimir Poutine de se joindre aux discussions. « L’Ukraine est prête à toutes les formes de négociations, et nous n’avons pas peur des réunions », a-t-il ajouté.

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Le chef de l’ONU estime qu’un cessez-le-feu « immédiat » en Ukraine « ouvrirait la voie à une paix juste »

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé mercredi à un cessez-le-feu « immédiat » en Ukraine, qui « ouvrirait la voie à une paix juste (…) fondée sur la Charte des Nations unies et le droit international, notamment le respect de l’intégrité territoriale de l’Ukraine », lors d’une conférence de presse à Berlin aux côtés du chancelier allemand, Friedrich Merz.

L’UE s’engage à « continuer d’augmenter la pression sur la Russie tant qu’elle ne met pas fin à cette agression », assure le chef de la diplomatie néerlandaise

Le chef de la diplomatie néerlandaise, Caspar Veldkamp, a salué mercredi le 17paquet de sanctions contre la Russie approuvé par les Vingt-Sept, qui cible les « pétroliers fantômes », regrettant que Moscou « continue de choisir l’agression ». « La Russie peut mettre fin à sa guerre contre l’Ukraine dès aujourd’hui en renvoyant ses soldats chez elle », a-t-il insisté sur le réseau social X.

« Nous nous engageons à continuer d’augmenter la pression sur la Russie tant qu’elle ne met pas fin à cette agression », a-t-il ajouté.

Bonjour Gaëtan,

Mercredi après-midi, l’Ukraine n’avait « toujours pas reçu de réponse de [Vladimir] Poutine », a expliqué un responsable ukrainien à l’Agence France-Presse, soulignant que « le président [Volodymyr] Zelensky avait fait dès dimanche cette proposition pour une réunion jeudi ».

Pour l’heure, le Kremlin entretient le mystère sur la composition de la délégation qui se rendra à Istanbul. Dmitri Peskov, le porte-parole de la présidence russe, a assuré dans son point quotidien mercredi matin que celle-ci sera annoncée lorsque Vladimir Poutine en donnera l’ordre.

 La Russie « ne prendra aucune décision à laquelle elle n’est pas contrainte » en vue de résoudre le conflit, estime Mykhaïlo Podoliak

Mykhaïlo Podoliak, le conseiller du chef du cabinet du président ukrainien, a réitéré sur la chaîne Youtube de RBC-Ukraine que Volodymyr Zelensky ne négocierait directement qu’avec Vladimir Poutine à Istanbul. Si le président russe ne se rendait pas en Turquie, M. Zelensky choisirait si la délégation ukrainienne doit quand même « discuter de quelque chose » en vue de la résolution du conflit, mais « ces négociations ne relèveraient absolument pas du président », a-t-il insisté.

M. Podoliak a aussi expliqué que l’Ukraine trouvait très importante l’implication des partenaires européens dans les négociations, la tenue de celles-ci en Turquie, ou encore les initiatives de résolution de conflit américaines car la Russie « ne prendra aucune décision à laquelle elle n’est pas contrainte ».

« Le monde et en particulier les partenaires américains doivent se défaire de leurs espoirs illusoires que la Russie puisse prendre des décisions responsables sans coercition », a-t-il ajouté.

Quelque 270 députés ukrainiens en faveur d’un projet de loi pour protéger les droits des enfants déplacés

Le Parlement ukrainien a soutenu un projet de loi visant à protéger les droits des enfants déplacés de force vers la Fédération de Russie. Ce texte « Sur la protection de l’enfance », en faveur duquel 270 députés se sont prononcés, introduit pour la première fois les concepts d’« enfant déporté » et de « déplacé de force », explique la députée Iryna Gerashchenko, du groupe parlementaire Solidarité européenne, sur Telegram.

« En introduisant une définition juridique claire des enfants déportés et déplacés, ce texte oblige à réglementer le mécanisme de retour, de réintégration et d’adaptation de ces enfants », précise-t-elle.

Deux morts et six blessés après une attaque à Soumy, selon les autorités locales

Deux personnes sont mortes et six autres ont été blessées, dont deux se trouvent « dans un état extrêmement grave », à la suite d’une frappe de missile russe sur la ville de Soumy (🚩), a annoncé Oleksandr Lyssenko, le maire de la ville, mercredi après-midi.

« Dans la diplomatie court-termiste de Donald Trump, tout se vaut pourvu que le deal soit conclu »

Qu’il s’agisse des conflits au Proche-Orient, entre l’Inde et le Pakistan ou en Ukraine, le président des Etats-Unis privilégie ses intérêts économiques au mépris des critères traditionnels de la politique étrangère. Cela ne marche pas toujours, relève dans sa chronique Sylvie Kauffmann, éditorialiste au Monde. Le dossier de l’Ukraine, lui, occupe Donald Trump depuis son élection ; la résistance des protagonistes à ses efforts l’exaspère. Pour le calmer, Kiev a concédé un accord sur les minerais et les ressources naturelles. Mais le vrai deal, celui qui doit mettre fin aux « 5 000 morts par jour » et lui valoir le prix Nobel de la paix, continue de lui échapper.

« Alliés ou non alliés, agresseurs ou agressés, dictateurs ou démocrates : dans la diplomatie court-termiste de Donald Trump, tout se vaut pourvu que le deal soit conclu »

Par Sylvie Kauffmann

Deals, deals, deals… En s’envolant, lundi 12 mai, vers le Golfe, ses émirs, ses dorures et ses richesses, pour le premier voyage officiel à l’étranger de son deuxième mandat, c’est bien ce rêve-là que caressait Donald Trump à bord d’Air Force One, pas encore remplacé par le « palais volant » offert par la famille régnante qatarie. Cette tournée en Arabie saoudite, aux Emirats arabes unis et au Qatar, aux objectifs prioritairement économiques, se présente comme une parfaite illustration de la diplomatie du deal propre à ce président.

Friedrich Merz appelle Européens et Américains à refuser une « paix dictée » par la Russie à l’Ukraine

Le chancelier allemand a exhorté, mercredi, Européens et Américains à refuser une « paix dictée » par la Russie à l’Ukraine, qui ne doit pas, selon lui être, soumise « contre sa volonté » à des concessions territoriales.

Dans son discours de politique générale au Parlement, Friedrich Merz a jugé d’une « importance capitale » que les Occidentaux « ne se laissent pas diviser » sur ce conflit, et appelé à « maintenir la plus grande unité possible entre les partenaires européens et américains ».

L’Allemagne « peut redevenir une locomotive économique que le monde admire », a par ailleurs assuré le nouveau dirigeant allemand, déterminé à « tout faire » pour retrouver « le chemin de la croissance » dans un pays toujours plus englué dans la crise. « Nous n’avons jamais connu une période aussi longue sans croissance économique dans l’histoire de notre pays », a-t-il observé. « Notre économie est encore en grande partie compétitive, mais les conditions-cadres ne le sont plus », a-t-il ajouté, promettant un mélange de baisses d’impôts, du prix de l’énergie et des coûts de la bureaucratie pour les entreprises.

Ce qu’il faut retenir du mercredi 14 mai à 14 heures

  • Donald Trump ne sait pas si Vladimir Poutine assistera aux pourparlers en Turquie. « Il aimerait que je sois là, et c’est une possibilité. … Je ne sais pas s’il sera là si je n’y suis pas. Nous allons le découvrir », a déclaré Donald Trump aux journalistes voyageant à bord de l’avion présidentiel des Etats-Unis, rapporte l’agence Reuters.
  • Le Kremlin entretient le mystère sur la composition de la délégation qui se rendra à Istanbul. La composition de la délégation russe sera annoncée lorsque Vladimir Poutine en donnera l’ordre, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
  • Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a déclaré mercredi qu’il allait personnellement exhorter Vladimir Poutine à rencontrer son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, en Turquie lors de négociations sur l’issue de la guerre en Ukraine.
  • Les Etats-Unis et les Européens doivent « se préparer à brandir des sanctions dévastatrices » pour contraindre la Russie à cesser sa guerre en Ukraine, déclare Jean-Noël Barrot, le chef de la diplomatie française en évoquant un projet de sanctions du sénateur républicain Lindsey Graham, défenseur de l’aide militaire à l’Ukraine et proche allié de Trump.
  • Les ambassadeurs des Vingt-Sept ont approuvé mercredi un 17e « paquet » de sanctions contre la Russie, qui cible de nouveaux « pétroliers fantômes », utilisés pour contourner les sanctions existantes, destinées à limiter les exportations de pétrole russe, a-t-on appris de sources diplomatiques.
  • Dans la nuit du 13 au 14 mai, la Russie a lancé un missile balistique Iskander-M/KN-23 depuis la Crimée, 145 drones d’attaque Shahed et des drones simulateurs à partir de la Russie, selon l’armée de l’air ukrainienne.

Donald Trump ne sait pas si Vladimir Poutine assistera aux pourparlers en Turquie

En route pour le Qatar, le président américain a déclaré, mercredi, qu’il ne savait pas si le président russe, Vladimir Poutine, assisterait aux pourparlers sur la guerre en Ukraine prévus jeudi en Turquie. « Il aimerait que je sois là, et c’est une possibilité… Je ne sais pas s’il sera là si je n’y suis pas. Nous allons le découvrir », a déclaré Donald Trump aux journalistes voyageant à bord d’Air Force One, rapporte l’agence Reuters.

Le coprésident de l’ONG russe Golos, spécialisée dans la surveillance des élections, condamné à cinq ans de prison

L’avocat Grigori Melkoniants, coprésident de l’ONG russe Golos (littéralement « la voix »), spécialisée dans la surveillance des élections, a été condamné par un tribunal de Moscou à cinq ans de prison dans une colonie pénitentiaire à régime général, rapporte Mediazona.

Grigori Melkoniants qui est l’un des experts les plus célèbres de Russie en matière de législation électorale et d’élections, selon la BBC, était, selon l’accusation, impliqué dans l’organisation du travail du Réseau européen des organisations d’observation des élections (ENEMO), considérée par Moscou depuis 2021 comme une « organisation indésirable ». Ce qu’il a nié.

Grigori Melkonyants étant en détention provisoire depuis le 17 août 2023, il lui reste un peu plus de deux ans à passer derrière les barreaux.

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