NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
Entré en vigueur en 2000, ce traité a fait de l’UE le premier partenaire commercial de l’Etat hébreu. Il a progressivement été élargi à plusieurs politiques communautaires en matière de recherche ou de mobilité étudiante, comme le programme Erasmus.

Posez votre question à la rédaction :
Réexamen par l’UE de son accord d’association avec Israël | La Commission européenne va vérifier si Israël respecte bien les droits humains et les principes démocratiques
Mardi, la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a annoncé le réexamen de l’accord d’association de l’UE avec Israël. Dix-sept pays, dont la France, se sont prononcés en faveur de cette révision, a annoncé par la suite le ministre des affaires étrangères français Jean-Noël Barrot, devant l’Assemblée nationale à Paris.
La Commission européenne va entamer ce processus de révision, pour vérifier si Israël respecte bien les droits humains et les principes démocratiques, conformément à l’article 2 de cet accord (« Les relations entre les parties, ainsi que toutes les dispositions de l’accord lui-même, sont fondées sur le respect des droits humains »).
« J’ai le sentiment personnel que la violation des droits humains ne fait aucun doute », a déclaré le chef de la diplomatie belge Maxime Prévot, ajoutant néanmoins qu’il ne voulait pas « préempter la décision » de la Commission européenne.
Si celle-ci devait conclure à un manquement d’Israël dans le respect de l’article 2 de l’accord d’association, une suspension de ce dernier pourrait être alors décidée, selon M. Prévot.
« Le Hamas est responsable du déclenchement de la guerre », déclare le chef d’état-major de l’armée israélienne à l’adresse des habitants de Gaza
Dans un message vidéo relayé sur Telegram par les forces armées d’Israël, le chef d’état-major de l’armée israélienne, Eyal Zamir, s’est adressé aux habitants de Gaza. « Le Hamas est responsable du déclenchement de la guerre. Il est responsable de la situation difficile de la population civile – il a apporté la destruction, et ce n’est pas lui qui reconstruira », a affirmé Eyal Zamir.
« Le Hamas n’a qu’une option : libérer nos otages. Si un accord est conclu, Tsahal [le nom donné par Israël à son armée] saura comment ajuster ses opérations en conséquence », a par la suite prévenu le chef d’état-major de l’armée israélienne. « Toute déclaration qui met en doute l’intégrité de nos actions ou la moralité de nos soldats est sans fondement », a-t-il également ajouté.
Israël annonce que 93 camions d’aide de l’ONU sont entrés dans Gaza mardi
« Quatre-vingt-treize camions de l’ONU transportant de l’aide, dont de la farine pour les boulangeries, de la nourriture pour bébés, du matériel médical et des médicaments, ont traversé aujourd’hui le point de passage de Kerem Shalom vers Gaza », a affirmé dans un communiqué le Cogat, l’organisme du ministère de la défense israélien qui supervise les activités civiles de l’armée israélienne à Gaza et en Cisjordanie occupée.
A la lumière des derniers événements à Gaza, l’Union européenne va réexaminer son accord d’association avec Israël
« Il existe une forte majorité en faveur du réexamen de l’article 2 [sur le respect des droits humains] de notre accord d’association avec Israël. Nous allons donc nous lancer dans cet exercice », a annoncé mardi la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, à l’issue d’une réunion des ministres des affaires étrangères de l’Union européenne à Bruxelles.

Signé entre l’Union européenne (UE) et Israël en 1995, et entré en vigueur en 2000, ce traité d’association prévoit non seulement un dialogue politique, mais surtout la libéralisation des échanges commerciaux. L’UE est ainsi devenue rapidement le premier partenaire commercial de l’Etat hébreu. Progressivement, cet accord a été élargi, intégrant Israël à plusieurs politiques communautaires en matière de recherche ou de mobilité étudiante, comme dans le programme Erasmus.
Initialement, ce texte devait permettre d’accompagner le processus de paix lancé en 1993. En parallèle, l’Europe s’engageait à aider l’Autorité palestinienne, avec laquelle un accord a été également signé en 1997, à créer les infrastructures de son futur Etat.
Le deuxième article de l’accord d’association précise que les relations des Européens avec Israël se fondent « sur le respect des droits humains et des principes démocratiques, qui inspire leur politique intérieure et internationale ». Les différents gouvernements israéliens, à commencer par celui d’Ariel Sharon (2001-2006) et celui de Benyamin Nétanyahou, n’ont jamais pris en compte ces engagements, accélérant la colonisation et la captation des terres palestiniennes. Il a fallu attendre 2012 pour que l’UE réagisse en bloquant non pas l’accord, mais le dialogue politique au niveau ministériel. Celui-ci a, depuis, été rétabli en 2022, aucun progrès n’ayant cependant été constaté.
Sur Le Monde aujourd’hui
Découvrez les articles les plus lus par nos abonnés
Le président palestinien discutera à Beyrouth des armes dans les camps palestiniens au Liban
Lors de sa visite à Beyrouth, qui débutera mercredi, le président palestinien, Mahmoud Abbas, abordera entre autres sujets « la question des armes palestiniennes dans les camps » lors d’échanges prévus avec les autorités libanaises. C’est ce qu’a déclaré à l’Agence France-Presse Ahmad Majdalani, membre du comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine, qui accompagnera M. Abbas lors de sa visite.
Selon Israël, des « dizaines de camions » ont commencé à entrer par Kerem Shalom
Après l’arrivée des cinq premiers camions lundi, « des dizaines d’autres ont commencé à entrer par le point de passage de Kerem Shalom » mardi après-midi, a annoncé Oren Marmorstein, porte-parole du ministère des affaires étrangères israélien. Ces camions contenaient de la farine pour les boulangeries, de la nourriture pour les soupes populaires, des aliments pour bébés et des fournitures médicales, rapporte encore Associated Press.

Israël dit rejeter les « pressions extérieures », après les mesures annoncées par Londres
« Les pressions extérieures ne détourneront pas Israël de sa voie, qui est de défendre son existence et sa sécurité contre des ennemis qui cherchent à le détruire », a déclaré mardi le ministère des affaires étrangères israélien, après l’annonce par le Royaume-Uni de la suspension de ses négociations pour un accord de libre-échange avec le gouvernement israélien.
« Si, en raison de son obsession anti-israélienne et de considérations politiques internes, le gouvernement britannique est prêt à nuire à l’économie britannique, c’est son droit », a affirmé la diplomatie israélienne dans un communiqué, cité par l’Agence France-Presse.
Londres convoque l’ambassadrice d’Israël au Royaume-Uni

Le Royaume-Uni a annoncé suspendre ses négociations pour un accord de libre-échange avec Israël et convoquer l’ambassadrice de l’Etat hébreu au Royaume-Uni, Tzipi Hotovely, en réponse à l’intensification de l’offensive israélienne à Gaza.
Cette annonce intervient alors que Keir Starmer a déclaré mardi, devant les parlementaires britanniques, que le niveau de souffrance des enfants de Gaza était « tout à fait intolérable » et s’est dit « horrifié par l’escalade israélienne ».
Lundi, Londres, Ottawa et Paris ont assuré qu’ils ne resteraient « pas les bras croisés » face aux « actions scandaleuses » du gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou à Gaza, menaçant de « mesures concrètes » s’il ne cesse pas son offensive militaire et ne débloque pas l’aide humanitaire.
Mardi, le ministère des affaires étrangères britannique a aussi annoncé sanctionner trois personnes, dont Daniella Weiss, qualifiée d’« éminente dirigeante de colons », ainsi que deux avant-postes illégaux et deux organisations « qui ont soutenu, mis en place et encouragé la violence contre les communautés palestiniennes en Cisjordanie », d’après un communiqué qui précise que sont prises à leur encontre des restrictions financières, des interdictions de voyager et des exclusions d’administrateurs.
1 compte dès 7,99 €/mois
Sans engagement
- Tous nos articles, vidéos, podcasts et newsletters
- L’application La Matinale du Monde, dès 7 heures, la sélection d’articles par la rédaction
- Le quotidien en version numérique dès 13 heures
La Suède plaide pour des sanctions de l’UE contre « certains ministres israéliens »
« La Suède est amie d’Israël, mais (…) nous devons désormais encore hausser le ton. Nous allons plaider en faveur de sanctions européennes contre certains ministres israéliens » qui « soutiennent une politique de colonisation illégale et s’opposent activement à une future solution à deux Etats », a écrit la ministre des affaires étrangères suédoise, Maria Malmer Stenergard, à l’Agence France-Presse.
La veille, la cheffe de la diplomatie suédoise avait condamné le projet d’Israël visant à « prendre le contrôle » de l’ensemble de la bande de Gaza, dénonçant « une annexion contraire au droit international » et affirmant que « la Suède est fermement convaincue que le territoire de Gaza ne doit être ni modifié ni réduit ».
Vu des Etats-Unis | Chronique dans « Foreign Policy » : Pourquoi Donald Trump est un ami si déroutant pour Israël
Le président des Etats-Unis souffle le chaud et le froid à l’égard d’Israël, ignoré lors de sa tournée au Moyen-Orient. Pour Emma Ashford, politologue et chroniqueuse du magazine américain Foreign Policy, Donald Trump bouscule les règles habituelles des relations israélo-américaines. Il applique simplement son credo : « L’Amérique d’abord. »
Nous vous recommandons la lecture de la traduction effectuée par nos confrères de Courrier international, une rédaction du Groupe Le Monde.
Désarmement du Hezbollah : le Liban a « encore beaucoup à faire », dit l’émissaire américaine
Les autorités libanaises « ont fait davantage ces six derniers mois qu’elles n’en ont fait probablement ces quinze dernières années », a déclaré l’émissaire américaine adjointe pour le Moyen-Orient, Morgan Ortagus, en réponse à une question sur le désarmement du Hezbollah, lors du Forum économique du Qatar. « Mais il y a encore beaucoup à faire », a-t-elle ajouté.
Le Hezbollah, seule faction à avoir conservé ses armes après la guerre civile au Liban (1975-1990), est sorti affaibli, à la fin de 2024, de plus d’un an d’hostilités avec Israël, dont deux mois de conflit ouvert, déclenchées par la guerre à Gaza.
L’accord de trêve conclu le 27 novembre prévoit le démantèlement de son infrastructure militaire entre le fleuve Litani et la frontière israélienne, à une trentaine de kilomètres au sud, ainsi que le retrait total des forces israéliennes – qui se maintiennent toutefois dans plusieurs positions méridionales au Liban et continuent de mener des frappes meurtrières dans ce pays, disant cibler le Hezbollah.
A la fin d’avril, le président libanais, Joseph Aoun, a affirmé que l’armée contrôlait désormais plus de 85 % du sud du pays.
Ce qu’il faut retenir mardi 20 mai à 14 heures
- « Environ 100 » camions d’aide humanitaire sont autorisés à entrer dans la bande de Gaza, annoncé l’ONU mardi. « Nous nous attendons à ce qu’un grand nombre d’entre eux, et nous espérons que tous, traversent aujourd’hui la frontière », a communiqué le porte-parole du bureau des affaires humanitaires de l’ONU.
- « Londres, Ottawa et Paris offrent une immense récompense » au Hamas, estime Benyamin Nétanyahou alors que Keir Starmer, Mark Carney et Emmanuel Macron ont prévenu qu’ils ne resteraient « pas les bras croisés » face aux « actions scandaleuses » du gouvernement israélien à Gaza.
- La défense civile de la bande de Gaza a fait état de la mort de 44 personnes dans des bombardements israéliens, au cours de la nuit, a déclaré Mahmoud Bassal, porte-parole de cette organisation de premiers secours, auprès de l’Agence France-Presse (AFP).
- Le chef de l’opposition démocrate israélienne Yaïr Golan a suscité la polémique après avoir déclaré qu’un « pays sain (…) n’a pas pour passe-temps de tuer des bébés ». Plusieurs ministres du gouvernement – l’un des plus à droite de l’histoire d’Israël – ont appelé à l’ouverture d’une enquête pour appel à la haine.
- La France « déterminée » à reconnaître un Etat de Palestine, réitère Jean-Noël Barrot, pour qui la situation dans l’enclave palestinienne est « insoutenable parce que la violence aveugle, le blocage de l’aide humanitaire par le gouvernement israélien ont fait de Gaza un mouroir, pour ne pas dire un cimetière ».
Un discours de Yaïr Golan, chef de l’opposition démocrate, annulé après ses propos critiques sur la conduite de la guerre à Gaza par le gouvernement
La chaîne de télévision israélienne Channel 14 annonce que le discours du président du Parti démocrate, Yaïr Golan, à la conférence du Congrès juif mondial, à Jérusalem, a été annulé après une vive critique de la guerre à Gaza.
Dans un entretien accordé à la radio publique Kan, mardi matin, le chef de l’opposition démocrate israélien et chef d’état-major adjoint de l’armée israélienne, Yaïr Golan, a vivement critiqué la guerre menée à Gaza par l’armée israélienne. « Israël est en train de devenir un Etat paria parmi les nations, une Afrique du Sud d’autrefois », a-t-il déclaré, avant d’ajouter qu’« un pays sain d’esprit ne se bat pas contre des civils, ne tue pas des enfants comme passe-temps, et ne se donne pas pour objectif d’expulser des populations ».
La faute, selon lui, à « un gouvernement rempli de personnes vengeresses sans morale et compétence pour mener un pays en temps de crise. Cela met en péril notre existence ».
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a réagi en fustigeant des propos qui « encouragent la défiance » et qui se font « l’écho des calomnies antisémites les plus méprisables contre les soldats de Tsahal [le nom donné par Israël à son armée] et l’Etat d’Israël ». Plusieurs ministres du gouvernement − l’un des plus à droite de l’histoire d’Israël − ont appelé à l’ouverture d’une enquête pour appel à la haine.
En Hongrie, le Parlement valide le retrait de la CPI
Le Parlement hongrois a voté, mardi 20 mai, en faveur du retrait de la Hongrie de la Cour pénale internationale (CPI), une mesure annoncée au début d’avril en réaction au mandat d’arrêt émis par cette juridiction à l’encontre du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou.
« La Hongrie rejette fermement l’utilisation des organisations internationales, en particulier des tribunaux, comme outil politique », a écrit le vice-premier ministre, Zsolt Semjen, dans le projet de loi adopté par les députés. Le texte a été approuvé par 134 parlementaires, 37 ayant voté contre et 7 s’étant abstenus.
Pour comprendre les relations entre la Hongrie et Israël, nous vous conseillons la lecture de cet article écrit après la visite du premier ministre de l’Etat hébreu à Budapest, en avril.




Macron prend la tête d’un mouvement de condamnation inédit de la guerre à Gaza
Par Samuel Forey, Philippe Ricard

Rompant avec les déclarations convenues et les condamnations minimales de ces derniers mois sur les opérations israéliennes menées dans la bande de Gaza, un communiqué conjoint publié lundi par les dirigeants de la France, du Royaume-Uni et du Canada sonne comme une sévère et inédite critique du premier ministre, Benyamin Nétanyahou, et des actes commis par l’Etat hébreu et son armée : « Nous nous opposons fermement à l’extension des opérations militaires israéliennes à Gaza. Le niveau de souffrance humaine à Gaza est intolérable », peut-on lire. Les dirigeants demandent à Israël d’arrêter ses opérations militaires, de reprendre la distribution d’aide humanitaire, bloquée depuis le 2 mars. Et intiment au Hamas de libérer « immédiatement les derniers otages » – il en reste encore 58 dans la bande, dont 20 seraient encore vivants.
« Environ 100 » camions d’aide humanitaire sont autorisés à entrer dans la bande de Gaza, ce mardi
L’Organisation des Nations unies (ONU) a été autorisée à faire entrer « environ 100 » camions d’aide humanitaire dans la bande de Gaza, a annoncé, Jens Laerke, porte-parole du Bureau des affaires humanitaires de l’ONU, ce mardi.
Il a également expliqué que les Nations unies avaient été autorisées à récupérer les cinq premiers camions entrés la veille dans la bande de Gaza, après onze semaines de blocus total par Israël. Le faible nombre de camions entrés lundi – neuf – est loin d’apaiser les craintes de l’ONU et de nombreuses ONG, qui avertissent depuis des mois du risque de famine dans l’enclave palestinienne.
« C’est de la poudre aux yeux, c’est une façon de dire “oui, on fait rentrer de la nourriture”, mais c’est presque symbolique », avait dénoncé Claire Nicolet, de Médecins sans frontières.
Vu d’Israël | L’éditorial de « Haaretz » : « Nous ne pouvons plus tolérer ce qu’Israël fait subir à Gaza »
Après des jours de bombardements de l’enclave palestinienne et des centaines de morts, parmi lesquels de nombreux civils, l’armée israélienne a lancé une nouvelle offensive terrestre le 18 mai. « Où cela s’arrêtera-t-il ? », tonne dans un éditorial le journal israélien de gauche Haaretz, pour qui il en va aussi de l’avenir de l’Etat hébreu.
Nous vous recommandons la lecture de la traduction réalisée par nos confrères de Courrier international, une rédaction du Groupe Le Monde.
Le chef des opérations humanitaires de l’ONU assure que 14 000 bébés pourraient mourir dans les prochaines 48 heures si l’aide humanitaire ne rentre pas
Interrogé par la BBC, le secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et coordonnateur des secours d’urgence, Tom Fletcher, a déclaré que 14 000 bébés pourraient mourir dans la bande de Gaza dans les quarante-huit heures, si l’aide humanitaire ne leur parvient pas. « Nous avons des équipes solides sur le terrain − et, bien sûr, beaucoup d’entre elles ont été tuées (…) ils essaient d’évaluer les besoins », a-t-il justifié pour arriver à ce nombre élevé qu’il reconnaît comme « tout à fait effrayant ».
Il a également dit espérer l’entrée de 100 camions dans l’enclave palestinienne, après que neuf camions sont entrés hier.
Quant à Paris, Londres et Ottawa qui se sont dits « déterminés à reconnaître un Etat palestinien » et ont assuré qu’ils ne resteraient « pas les bras croisés » face aux « actions scandaleuses » du gouvernement israélien, menaçant de « mesures concrètes » s’il ne cesse pas son offensive militaire et ne débloque pas l’aide humanitaire, M. Fletcher reconnaît des « mots forts », affirmant que les Nations unies « exigent » que le monde « nous soutienne » en poussant Israël à laisser entrer plus d’aide et à atteindre les personnes qui « meurent de faim ».
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptes-
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
-
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
-
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
-
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
-
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.