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Entré en vigueur en 2000, ce traité a fait de l’Union européenne le premier partenaire commercial d’Israël. Il a progressivement été élargi à plusieurs politiques communautaires en matière de recherche ou de mobilité étudiante, comme le programme Erasmus.

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Israël dénonce une « incompréhension totale de la réalité » de la part de l’UE
Israël a vivement réagi aux critiques de l’Union européenne qui va lancer un réexamen de son accord d’association avec Israël en raison de la situation à Gaza.
« Nous rejetons totalement l’orientation » de la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, « qui reflète une incompréhension totale de la réalité complexe à laquelle Israël est confronté », et « encourage le Hamas à rester sur ses positions », a déclaré, dans un communiqué, le porte-parole du ministère des affaires étrangères israélien, Oren Marmorstein.
Le Brésil exhorte la communauté internationale à ne pas rester « les bras croisés » devant le « carnage » à Gaza
« C’est une situation terrible, un carnage », a déclaré le chef de la diplomatie brésilienne, Mauro Vieira, durant une audience d’une commission au Sénat, à Brasilia. « Il y a énormément d’enfants tués (...) La communauté internationale ne peut pas assister à cela les bras croisés », a-t-il ajouté.
M. Vieira a par ailleurs déploré la « paralysie » du Conseil de sécurité des Nations unies face à une « invasion » qui « enfreint le droit international ».
« C’est une invasion, comme toutes les autres, et le Brésil les condamne toutes, comme celle de l’Ukraine par la Russie (...) Mais je ne vois pas tous les pays condamner cette invasion » du territoire palestinien, a-t-il poursuivi.
Le Brésil est une des voix les plus critiques sur la scène internationale envers le gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou, qui a intensifié ces derniers jours son offensive contre le Hamas dans le territoire palestinien.
Ce qu’il faut retenir mardi 20 mai à 22 heures
- L’Union européenne va lancer un réexamen de son accord d’association avec Israël, a annoncé mardi sa cheffe de la diplomatie, Kaja Kallas, faisant état d’une « forte majorité » d’Etats membres en faveur de cette mesure.
- Le Royaume-Uni a dit qu’il suspendait les négociations avec Israël sur un accord de libre-échange. Après cette annonce, Israël a affirmé qu’il ne céderait pas aux pressions internationales pour faire cesser sa guerre dans la bande de Gaza. « Les pressions extérieures ne détourneront pas Israël de sa voie pour défendre son existence et sa sécurité », ont prévenu les affaires étrangères israéliennes.
- Selon Israël, 93 camions de l’ONU sont entrés mardi dans la bande de Gaza, après neuf camions la veille. Toutefois, Stéphane Dujarric, porte-parole du secrétaire général de l’ONU, a affirmé : « Bien que davantage de fournitures soient entrées dans la bande de Gaza, nous n’avons pas pu garantir leur acheminement jusqu’à nos entrepôts et points de distribution. »
- Israël a annoncé le rappel de ses chefs négociateurs envoyés à Doha, y laissant une équipe, après que le médiateur qatari a déploré l’absence de progrès. Israël a accepté une « proposition américaine pour le retour des otages » qui a « été transmise au Hamas par les médiateurs » (Egypte et Qatar), mais « le Hamas campe sur son refus », a fait savoir le bureau de Benyamin Nétanyahou, sans détailler cette proposition.
- Lors de sa conférence de presse, Yaïr Golan, chef de file de la gauche israélienne, a affirmé que ses critiques « ne visaient en aucun cas l’armée ». « Ma critique est dirigée contre le gouvernement et non contre l’armée, qui est ma maison et dans mon cœur », a précisé l’ancien général. Il a aussi ajouté qu’un « gouvernement qui dit qu’on peut abandonner des otages et qu’il faut affamer des enfants est un gouvernement qui parle comme un porte-parole du Hamas ».
« Bien que davantage de fournitures soient entrées », l’ONU prévient de complications dans la prise en charge de l’aide
Stéphane Dujarric, porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que « quelques dizaines » de camions avaient été autorisés à entrer mardi dans la bande de Gaza, mais a évoqué des complications dans la prise en charge de l’aide.
« Bien que davantage de fournitures soient entrées dans la bande de Gaza, nous n’avons pas pu garantir leur acheminement jusqu’à nos entrepôts et points de distribution », a-t-il dit. « Les complications logistiques, les problèmes de sécurité et l’environnement général rendent la situation extrêmement difficile », a-t-il ajouté.
Neuf blessés dans une frappe israélienne sur le sud du pays, selon le gouvernement libanais
Malgré un cessez-le-feu en vigueur entre le Hezbollah pro-iranien et Israël, l’armée israélienne a déclaré dans un communiqué avoir « frappé et éliminé un commandant local du Hezbollah » dans le sud du Liban, l’accusant d’avoir planifié des attaques contre Israël et tenté de « faciliter le transfert d’armes » au mouvement.
Le ministère de la santé libanais a précisé qu’une « frappe menée par un drone de l’ennemi israélien a visé une moto dans le district de Tyr, faisant neuf blessés, dont deux enfants ». « Trois des blessés sont dans un état critique », a-t-il dit dans un communiqué.
Sur Le Monde aujourd’hui
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Israël rappelle ses chefs négociateurs, laisse une équipe à Doha
Israël a annoncé mardi le rappel « pour consultation » de ses hauts responsables chargés des négociations à Doha en vue d’un accord sur la libération d’otages en échange d’un cessez-le-feu à Gaza, et le maintien d’une équipe de travail dans la capitale qatarie.
Israël a accepté une « proposition américaine pour le retour des otages » qui a « été transmise au Hamas par les médiateurs » (Egypte et Qatar), mais « le Hamas campe sur son refus », fait savoir un communiqué du bureau du premier ministre, Benyamin Nétanyahou : « Après environ une semaine de contacts intenses à Doha, les chefs négociateurs vont rentrer au pays pour consultation, laissant à Doha une équipe de travail. »
« Ma critique est dirigée contre le gouvernement et non contre l’armée, qui est ma maison et dans mon cœur », se défend le chef de file de la gauche israélienne
Yaïr Golan, chef de file de la gauche israélienne, a finalement tenu une conférence de presse, malgré la polémique déclenchée par ses propos tenus mardi, sur une radio publique. M. Golan avait déclaré qu’« un pays sain ne fait pas la guerre à des civils, n’a pas pour hobby de tuer des bébés et ne se fixe pas pour objectif d’expulser des populations », en référence au plan d’« émigration volontaire » des Palestiniens de Gaza soutenu par le gouvernement.
« Il n’y a pas de limite à la décadence morale », avait aussitôt réagi le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, accusant M. Golan de proférer des « calomnies antisémites (…) à l’encontre des soldats de l’armée israélienne ».
Lors de sa conférence de presse, M. Golan a affirmé que ses critiques « ne visaient en aucun cas l’armée ». « Ma critique est dirigée contre le gouvernement et non contre l’armée, qui est ma maison et dans mon cœur », a précisé l’ancien général. Il a aussi enfoncé le clou, estimant qu’un « gouvernement qui dit qu’on peut abandonner des otages et qu’il faut affamer des enfants est un gouvernement qui parle comme un porte-parole du Hamas ».
Réexamen par l’UE de son accord d’association avec Israël | La Commission européenne va vérifier si Israël respecte bien les droits humains et les principes démocratiques
Mardi, la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a annoncé le réexamen de l’accord d’association de l’Union européenne avec Israël. Dix-sept pays, dont la France, se sont prononcés en faveur de cette révision, a annoncé par la suite le ministre des affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, devant l’Assemblée nationale à Paris.
La Commission européenne va entamer ce processus de révision, pour vérifier si Israël respecte bien les droits humains et les principes démocratiques, conformément à l’article 2 de cet accord (« Les relations entre les parties, ainsi que toutes les dispositions de l’accord lui-même, sont fondées sur le respect des droits humains »).
« J’ai le sentiment personnel que la violation des droits humains ne fait aucun doute », a déclaré le chef de la diplomatie belge, Maxime Prévot, ajoutant néanmoins qu’il ne voulait pas « préempter la décision » de la Commission européenne. Si celle-ci devait conclure à un manquement d’Israël dans le respect de l’article 2 de l’accord d’association, une suspension de ce dernier pourrait être alors décidée, selon M. Prévot.
« Le Hamas est responsable du déclenchement de la guerre », déclare le chef d’état-major de l’armée israélienne à l’adresse des habitants de Gaza
Dans un message vidéo relayé sur Telegram par les forces armées d’Israël, le chef d’état-major de l’armée israélienne, Eyal Zamir, s’est adressé aux habitants de Gaza. « Le Hamas est responsable du déclenchement de la guerre. Il est responsable de la situation difficile de la population civile – il a apporté la destruction, et ce n’est pas lui qui reconstruira », a affirmé Eyal Zamir.
« Le Hamas n’a qu’une option : libérer nos otages. Si un accord est conclu, Tsahal [le nom donné par Israël à son armée] saura comment ajuster ses opérations en conséquence », a par la suite prévenu le chef d’état-major de l’armée israélienne. « Toute déclaration qui met en doute l’intégrité de nos actions ou la moralité de nos soldats est sans fondement », a-t-il également ajouté.
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Israël annonce que 93 camions d’aide de l’ONU sont entrés dans Gaza mardi
« Quatre-vingt-treize camions de l’ONU transportant de l’aide, dont de la farine pour les boulangeries, de la nourriture pour bébés, du matériel médical et des médicaments, ont traversé aujourd’hui le point de passage de Kerem Shalom vers Gaza », a affirmé dans un communiqué le Cogat, l’organisme du ministère de la défense israélien qui supervise les activités civiles de l’armée israélienne à Gaza et en Cisjordanie occupée.
A la lumière des derniers événements à Gaza, l’Union européenne va réexaminer son accord d’association avec Israël
« Il existe une forte majorité en faveur du réexamen de l’article 2 [sur le respect des droits humains] de notre accord d’association avec Israël. Nous allons donc nous lancer dans cet exercice », a annoncé mardi la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, à l’issue d’une réunion des ministres des affaires étrangères de l’Union européenne à Bruxelles.

Signé entre l’Union européenne (UE) et Israël en 1995, et entré en vigueur en 2000, ce traité d’association prévoit non seulement un dialogue politique, mais surtout la libéralisation des échanges commerciaux. L’UE est ainsi devenue rapidement le premier partenaire commercial de l’Etat hébreu. Progressivement, cet accord a été élargi, intégrant Israël à plusieurs politiques communautaires en matière de recherche ou de mobilité étudiante, comme dans le programme Erasmus.
Initialement, ce texte devait permettre d’accompagner le processus de paix lancé en 1993. En parallèle, l’Europe s’engageait à aider l’Autorité palestinienne, avec laquelle un accord a été également signé en 1997, à créer les infrastructures de son futur Etat.
Le deuxième article de l’accord d’association précise que les relations des Européens avec Israël se fondent « sur le respect des droits humains et des principes démocratiques, qui inspire leur politique intérieure et internationale ». Les différents gouvernements israéliens, à commencer par celui d’Ariel Sharon (2001-2006) et celui de Benyamin Nétanyahou, n’ont jamais pris en compte ces engagements, accélérant la colonisation et la captation des terres palestiniennes. Il a fallu attendre 2012 pour que l’UE réagisse en bloquant non pas l’accord, mais le dialogue politique au niveau ministériel. Celui-ci a, depuis, été rétabli en 2022, aucun progrès n’ayant cependant été constaté.
Le président palestinien discutera à Beyrouth des armes dans les camps palestiniens au Liban
Lors de sa visite à Beyrouth, qui débutera mercredi, le président palestinien, Mahmoud Abbas, abordera entre autres sujets « la question des armes palestiniennes dans les camps » lors d’échanges prévus avec les autorités libanaises. C’est ce qu’a déclaré à l’Agence France-Presse Ahmad Majdalani, membre du comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine, qui accompagnera M. Abbas lors de sa visite.
Selon Israël, des « dizaines de camions » ont commencé à entrer par Kerem Shalom
Après l’arrivée des cinq premiers camions lundi, « des dizaines d’autres ont commencé à entrer par le point de passage de Kerem Shalom » mardi après-midi, a annoncé Oren Marmorstein, porte-parole du ministère des affaires étrangères israélien. Ces camions contenaient de la farine pour les boulangeries, de la nourriture pour les soupes populaires, des aliments pour bébés et des fournitures médicales, rapporte encore Associated Press.

Israël dit rejeter les « pressions extérieures », après les mesures annoncées par Londres
« Les pressions extérieures ne détourneront pas Israël de sa voie, qui est de défendre son existence et sa sécurité contre des ennemis qui cherchent à le détruire », a déclaré mardi le ministère des affaires étrangères israélien, après l’annonce par le Royaume-Uni de la suspension de ses négociations pour un accord de libre-échange avec le gouvernement israélien.
« Si, en raison de son obsession anti-israélienne et de considérations politiques internes, le gouvernement britannique est prêt à nuire à l’économie britannique, c’est son droit », a affirmé la diplomatie israélienne dans un communiqué, cité par l’Agence France-Presse.
Londres convoque l’ambassadrice d’Israël au Royaume-Uni

Le Royaume-Uni a annoncé suspendre ses négociations pour un accord de libre-échange avec Israël et convoquer l’ambassadrice de l’Etat hébreu au Royaume-Uni, Tzipi Hotovely, en réponse à l’intensification de l’offensive israélienne à Gaza.
Cette annonce intervient alors que Keir Starmer a déclaré mardi, devant les parlementaires britanniques, que le niveau de souffrance des enfants de Gaza était « tout à fait intolérable » et s’est dit « horrifié par l’escalade israélienne ».
Lundi, Londres, Ottawa et Paris ont assuré qu’ils ne resteraient « pas les bras croisés » face aux « actions scandaleuses » du gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou à Gaza, menaçant de « mesures concrètes » s’il ne cesse pas son offensive militaire et ne débloque pas l’aide humanitaire.
Mardi, le ministère des affaires étrangères britannique a aussi annoncé sanctionner trois personnes, dont Daniella Weiss, qualifiée d’« éminente dirigeante de colons », ainsi que deux avant-postes illégaux et deux organisations « qui ont soutenu, mis en place et encouragé la violence contre les communautés palestiniennes en Cisjordanie », d’après un communiqué qui précise que sont prises à leur encontre des restrictions financières, des interdictions de voyager et des exclusions d’administrateurs.
La Suède plaide pour des sanctions de l’UE contre « certains ministres israéliens »
« La Suède est amie d’Israël, mais (…) nous devons désormais encore hausser le ton. Nous allons plaider en faveur de sanctions européennes contre certains ministres israéliens » qui « soutiennent une politique de colonisation illégale et s’opposent activement à une future solution à deux Etats », a écrit la ministre des affaires étrangères suédoise, Maria Malmer Stenergard, à l’Agence France-Presse.
La veille, la cheffe de la diplomatie suédoise avait condamné le projet d’Israël visant à « prendre le contrôle » de l’ensemble de la bande de Gaza, dénonçant « une annexion contraire au droit international » et affirmant que « la Suède est fermement convaincue que le territoire de Gaza ne doit être ni modifié ni réduit ».
Vu des Etats-Unis | Chronique dans « Foreign Policy » : Pourquoi Donald Trump est un ami si déroutant pour Israël
Le président des Etats-Unis souffle le chaud et le froid à l’égard d’Israël, ignoré lors de sa tournée au Moyen-Orient. Pour Emma Ashford, politologue et chroniqueuse du magazine américain Foreign Policy, Donald Trump bouscule les règles habituelles des relations israélo-américaines. Il applique simplement son credo : « L’Amérique d’abord. »
Nous vous recommandons la lecture de la traduction effectuée par nos confrères de Courrier international, une rédaction du Groupe Le Monde.
Désarmement du Hezbollah : le Liban a « encore beaucoup à faire », dit l’émissaire américaine
Les autorités libanaises « ont fait davantage ces six derniers mois qu’elles n’en ont fait probablement ces quinze dernières années », a déclaré l’émissaire américaine adjointe pour le Moyen-Orient, Morgan Ortagus, en réponse à une question sur le désarmement du Hezbollah, lors du Forum économique du Qatar. « Mais il y a encore beaucoup à faire », a-t-elle ajouté.
Le Hezbollah, seule faction à avoir conservé ses armes après la guerre civile au Liban (1975-1990), est sorti affaibli, à la fin de 2024, de plus d’un an d’hostilités avec Israël, dont deux mois de conflit ouvert, déclenchées par la guerre à Gaza.
L’accord de trêve conclu le 27 novembre prévoit le démantèlement de son infrastructure militaire entre le fleuve Litani et la frontière israélienne, à une trentaine de kilomètres au sud, ainsi que le retrait total des forces israéliennes – qui se maintiennent toutefois dans plusieurs positions méridionales au Liban et continuent de mener des frappes meurtrières dans ce pays, disant cibler le Hezbollah.
A la fin d’avril, le président libanais, Joseph Aoun, a affirmé que l’armée contrôlait désormais plus de 85 % du sud du pays.
Ce qu’il faut retenir mardi 20 mai à 14 heures
- « Environ 100 » camions d’aide humanitaire sont autorisés à entrer dans la bande de Gaza, annoncé l’ONU mardi. « Nous nous attendons à ce qu’un grand nombre d’entre eux, et nous espérons que tous, traversent aujourd’hui la frontière », a communiqué le porte-parole du bureau des affaires humanitaires de l’ONU.
- « Londres, Ottawa et Paris offrent une immense récompense » au Hamas, estime Benyamin Nétanyahou alors que Keir Starmer, Mark Carney et Emmanuel Macron ont prévenu qu’ils ne resteraient « pas les bras croisés » face aux « actions scandaleuses » du gouvernement israélien à Gaza.
- La défense civile de la bande de Gaza a fait état de la mort de 44 personnes dans des bombardements israéliens, au cours de la nuit, a déclaré Mahmoud Bassal, porte-parole de cette organisation de premiers secours, auprès de l’Agence France-Presse (AFP).
- Le chef de l’opposition démocrate israélienne Yaïr Golan a suscité la polémique après avoir déclaré qu’un « pays sain (…) n’a pas pour passe-temps de tuer des bébés ». Plusieurs ministres du gouvernement – l’un des plus à droite de l’histoire d’Israël – ont appelé à l’ouverture d’une enquête pour appel à la haine.
- La France « déterminée » à reconnaître un Etat de Palestine, réitère Jean-Noël Barrot, pour qui la situation dans l’enclave palestinienne est « insoutenable parce que la violence aveugle, le blocage de l’aide humanitaire par le gouvernement israélien ont fait de Gaza un mouroir, pour ne pas dire un cimetière ».
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