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En 1934, G. Warren Shufelt a déclaré qu’il avait découvert les restes d’une ancienne civilisation reptilienne sous Los Angeles, aux États-Unis

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Le 22 mai dernier, une de mes abonnées sur le réseau X me demandait ce que je pense de ceux qu’ils appellent naïvement les “reptiliens”. Elle me demandait si j’y croyais. C’est la même question que Vincent Larocque me posa il y a près de neuf mois sur le Réseau VIP. Il m’écrivait : « J’imagine que tu ne partages pas le point de vue de David Icke, mais je dis cela sans sarcasme, seulement curieux. C’est un sujet assez intense et ridiculisé, mais à mon humble avis il a néanmoins son importance, ne serait-ce que le côté symbolique du serpent/dragon qui est très important pour les sociétés secrètes. » Il est vrai que la plupart des gens utilisent des termes qui discréditent aussitôt certaines vérités fondamentales. Comme je l’ai écrit à Vincent, tout est dans la manière de dire les choses.

David Icke, ancien gardien de but au football et présentateur de télévision, fut l’un des premiers à écrire sur le thème des « reptiliens » dans son ouvrage de 1999 “The Biggest Secret” : « Le sacrifice humain était fondamental pour la religion de Babylone, et partout où la Confrérie babylonienne et ses lignées reptiliennes ont voyagé, le sacrifice humain les a toujours accompagnés, car les reptiliens exigent ces rituels. Les êtres malveillants semblent être accros au sang, et cette dépendance a été transmise à leurs hybrides. » Ceci se rapproche de ce qui est écrit dans le Livre d’Enoch concernant les Nephilim, c’est-à-dire les anges déchus : « Alors les géants se tournèrent contre les hommes pour les dévorer. Et ils commencèrent à pécher contre les oiseaux et contre les bêtes, les reptiles et les poissons ; puis ils se dévorèrent la chair entre eux, et ils en burent le sang. » J’ai écrit un article très complet au sujet de cette “race de vipère” et je me base pour cela,― non pas sur de la littérature fantaisiste et hypothétique ―, mais sur des ouvrages essentiels, dont la Bible, le Livre d’Enoch et La Cité de Dieu de saint Augustin.

C’est ainsi qu’on apprend que les Nephilim (« les tombés ») auraient survécu au Déluge par l’entremise de Nahama, descendante de Caïn et femme de Noé. Ceci nous permet de comprendre que les « deux sociétés humaines se sont partagées en générations distinctes » jusqu’à nos jours, comme l’expliquait saint Augustin dans La Cité de Dieu. Dans le Zohar, Nahama s’accouple avec les anges déchus Aza et Azazel pour produire des démons. Elle est la concubine de Samaël, gardienne des prostituées et elle a une relation incestueuse avec son frère Tubal-Caïn. Cette union engendra le démon Asmodée. Elle perpétua la lignée de Cain après le déluge, étant la seule femme de cette lignée qui soit mentionnée par la Genèse. Elle est l’ancêtre de Nimrod, roi de la Babylonie et petit-fils de Cham, l’ancêtre des Cananéens,

Ceux que l’on nomme trop souvent les « reptiliens » sont en fait les « fils de Caïn », descendants de Nimrod, qui vouent un culte au serpent et qui ont donc choisi de répandre leur venin sur la terre. Ils ont adopté le système usuraire et esclavagiste de l’ancienne Babylonie et nous les retrouvons de nos jours dans des organisations supranationales (nouvelle tour de Babel), s’évertuant à détruire tout sur leur passage, déclenchant des guerres interminables et soumettant l’humanité à leur domination.

➽ Les Hopis, le peuple fourmi, les Anunnaki et les Nephilim

Le peuple Hopi est l’une des tribus amérindiennes descendant des peuples anciens qui vivaient dans la région sud-ouest des États-Unis, aujourd’hui appelée les quatre coins. L’une de leurs légendes les plus intrigantes implique le peuple fourmi, qui était essentiel à la survie des Hopi. On lit dans le webzine MRU.INK : « Il est intéressant de noter qu’il existe un lien linguistique. le dieu du ciel de Babylone s’appelait Anu. Le mot hopi pour fourmi est aussi Anu, et le mot racine hopi était Naki, ce qui signifie amis. Par conséquent, les Hopi Ánu-Naki, ou amis des fourmis, étaient peut-être les mêmes que les Anunnaki sumériens, les êtres qui venaient autrefois du ciel sur terre. Il existe également une prononciation similaire des ancêtres Hopi, les Anasazi. » Les rédacteurs de MRU ajoutent : « Encore une fois, nous voyons cette phrase dans une autre croyance dans une autre partie du monde. Cela ne veut pas dire que cela prouve quoi que ce soit, juste une note intéressante. »

Les Indiens Hopi du nord de l’Arizona ont des traditions qui rappellent une époque où leurs « frères serpents » construisaient et occupaient des villes souterraines en Arizona, en Californie, au Mexique et en Amérique centrale. On pense qu’une telle cité souterraine a été construite sur la côte ouest, près de l’océan Pacifique, sous Los Angeles, en Californie. Curieusement, les recherches d’un ingénieur pour retrouver la mythique cité souterraine de Los Angeles ont acquis suffisamment de crédibilité pour que ses travaux fassent la une du Los Angeles Times du 29 janvier 1934. En haut de l’article, au centre de la première page, on peut voir une représentation artistique des Quatre Cavaliers de l’Apocalypse d’après la gravure sur bois d’Albrecht Dürer (on peut se demander si c’est réellement dû au hasard). Sous cette image figure l’article intitulé : “La cité des catacombes du peuple lézard traquée”.

Le Los Angeles Times du 23 janvier 2014 note toutefois que le titre contenait une faute d’orthographe regrettable. En effet, nous aurions du lire : “La ville hantée des catacombes du peuple lézard”, puisque le mot “haunted” (hantée) a été remplacé par le mot “hunted” (traqué, chassé).

L’ingénieur des mines, George Warren Shufelt, se fit connaître dans les années 1930 à Los Angeles pour son affirmation audacieuse selon laquelle une cité perdue habitée par des hommes-lézards se cachait sous Los Angeles. Shufelt n’a jamais précisé si ces Hommes-Lézards ressemblaient réellement à des Lézards, mais leur cité souterraine, elle, ressemblait à des Lézards. Les tunnels auraient formé la silhouette d’un grand lézard, dont la tête se trouverait sous le Dodger Stadium et la queue quelque part sous la Bibliothèque centrale de Los Angeles.

Il y a eu beaucoup de confusion autour des caractéristiques physiques du peuple lézard de Los Angeles. Sans preuve définitive, il est impossible de savoir à quoi ils ressemblaient (ni même s’ils ont existé). Cependant, les récits hopis sur ce peuple indiquent qu’il s’agissait de simples humains qui vénéraient les lézards. Ils croyaient que les lézards symbolisaient la longévité. Le journaliste Calvin Dobbins écrit dans le Los Angeleno : « Rumeur, canular, légende, ou peu importe comment on l’appelle, il y a matière à réflexion. La plupart des légendes ont une part de vérité. Alors, qui sait ? Peut-être a-t-il existé une race supérieure aux humains modernes qui a construit les tunnels et les villes souterraines. »

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31 mai 2025

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12875710cookie-checkEn 1934, G. Warren Shufelt a déclaré qu’il avait découvert les restes d’une ancienne civilisation reptilienne sous Los Angeles, aux États-Unis

En tant qu’auteur et chroniqueur indépendant, Guy Boulianne est membre du réseau d’auteurs et d’éditeurs AuthorsDen et de la Nonfiction Authors Association (NFAA) aux États-Unis. Il adhère à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).

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