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Échographie de grossesse : ce que cache vraiment la jolie image

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Les parents (père et mère, ou parent 1 et parent 2, selon notre vision du monde) voient un jour, avec enthousiasme, le futur bébé bouger sur un écran, à côté d’un radiologue, la tête perchée en direction de l’écran, écrasant fermement le bas ventre de la mère avec une sonde glissant sur un gel translucide et inodore. Lors de cet événement, des parents pleurent d’émotion, tandis que certains s’installent confortablement pour assister passivement au « spectacle ». D’autres encore imprimeront les photos du « selfie embryonnaire » pour les coller sur le frigo de la cuisine.
Mais derrière cette scène presque sacrée, se cache une réalité bien moins poétique : ce geste médical, sur un embryon en pleine construction, et aux tissus si sensibles, pourrait avoir des effets encore mal compris, notamment lorsqu’il inclut l’usage précoce du Doppler pulsé, souvent banalisé, parfois imposé.

À noter pour comprendre la suite, et ne pas tout mélanger : il existe plusieurs types d’échographies : le mode B (classique, visuel, basse énergie) et le mode Doppler pulsé, utilisé pour l’analyse des flux sanguins, et l’écoute des battements du cœur). Le premier est relativement sûr lorsqu’il est bien encadré. Le second, en revanche, bien plus énergique, est clairement déconseillé en début de grossesse. Sur les échographes modernes, ces deux modes (standard et Doppler) sont intégrés sur la même sonde, et c’est le praticien qui décide, selon les réglages, de passer d’un mode à l’autre.

Ultrasons et risques biologiques du Doppler sur les embryons

Les ultrasons : ce qu’on ne dit jamais vraiment

Une échographie, c’est l’envoi d’ultrasons – des ondes mécaniques de haute fréquence (2 à 18 MHz) – à travers les tissus. Ces ondes génèrent localement de la chaleur, de l’agitation moléculaire, parfois des microcavités gazeuses qui implosent dans les tissus embryonnaires. Ce phénomène, appelé cavitation, peut générer localement de la chaleur, du stress oxydatif et des microtraumatismes.

En clair ? Une technologie qui chauffe, secoue et agresse, même à faible dose. Et lorsqu’un cerveau se forme à toute vitesse, chaque stress physique peut potentiellement dérégler un processus clé : division cellulaire, migration neuronale, vascularisation...

Le vrai problème : le Doppler pulsé en début de grossesse

On pourrait croire que toutes les échographies se valent. Erreur. Le Doppler pulsé, utilisé parfois dès les premières semaines pour « écouter le cœur » ou observer le flux sanguin, est bien plus agressif. Ses effets thermiques et mécaniques sont nettement plus puissants que le mode B (l’écho classique). En termes de différence de puissance, on parle ici d’un facteur 10 ou 20 ! Et pourtant, ce Doppler est régulièrement utilisé en pratique libérale, parfois avant dix semaines d’aménorrhée (10 SA), simplement pour détecter une activité cardiaque – en contradiction avec les recommandations officielles.

Ce que disent les recommandations officielles (AIUM, ISUOG, HAS, CNGOF) : éviter strictement l’usage du Doppler pulsé avant 12 SA, sauf indication clinique formelle, et limiter l’exposition à moins de trente secondes avec un indice thermique < 1,5 (ces indices mesurent la quantité de chaleur produite et les effets de pression des ultrasons).

Ce que montrent les études animales :

• Ang et al. (2006) : anxiété accrue à l’âge adulte, réduction de la neurogenèse chez la souris exposée in utero.
• Li et al. (2011) : augmentation du stress oxydatif cérébral, activation de l’apoptose neuronale après 5 minutes d’exposition.
• O’Brien et al. (2006) : perméabilité accrue de la barrière hémato- encéphalique.
• Suresh et al. (2007) : retards de croissance, troubles cognitifs postnataux.
• Barnett et Jensen : élévation locale de la température > 2°C dans le tissu embryonnaire.

Ces résultats sont obtenus avec des durées et intensités comparables à un usage clinique en Doppler. Et même si aucune preuve formelle n’existe chez l’humain, aucune étude n’a évalué l’impact du Doppler précoce de manière rigoureuse. Ce qui nous reste, c’est l’incertitude, et la complaisance généralisée.

Les facteurs actuels favorisant cette pratique potentiellement dangereuse sont :

- La facilité d’utilisation du Doppler sur les échographes modernes, doublée d’une mauvaise connaissance des risques biologiques par les praticiens.
- La pression des parents, qui, anxieux, se dirigent bien trop tôt dans les cabinets, et demandent à écouter le cœur, ou à observer en couleur les flux sanguins.

Le gel échographique : L’oublié toxique

Un gel froid et visqueux est tartiné généreusement sur le ventre (ou près du col utérin, selon le type de sonde) de la future mère pour « faire passer les ondes ». Mais il suffit de creuser un peu pour voir apparaître des molécules bien crades : colorants, conservateurs, et perturbateurs endocriniens à gogo (parabènes, phénoxyéthanol, propylène glycol, PEG, EDTA...). Et le clou : le polyacrylamide, un épaississant docile qui peut relarguer de l’acrylamide, un cancérogène probable selon l’OMS.
Les risques sont augmentés lors d’une échographie endovaginale car la muqueuse vaginale et hyperperméable (sans compter l’absence totale de rinçage après application). Il s’agit ici d’une voie royale d’exposition hormonale et toxique pour le fœtus. Silence radio des autorités. Tout va bien, ce sont des produits « homologués ».

Réflexion plus large sur les échographies en général

Un outil diagnostique devenu rituel social

En France, on parle de « trois échographies obligatoires » comme si c’était gravé dans le marbre. Pourtant, aucune loi ne les impose réellement. Ce sont des recommandations issues d’un suivi médical standardisé, dictées par une logique médico-légale et assurantielle bien plus que par la science. L’OMS, elle, ne recommande qu’une à deux échographies si la grossesse est normale, et plusieurs études insistent sur le principe de précaution face aux effets potentiels des ultrasons.
Aujourd’hui, ces trois échographies sont devenues un rituel moderne, un contrôle systématique déguisé en soin. Elles rassurent les parents, protègent les médecins, mais n’ont aucune garantie d’innocuité lorsqu’elles sont répétées – surtout en l’absence de nécessité clinique.

Le problème : « Pas d’écho, pas de CAF »

Cerise sur le placenta : si tu veux toucher les aides de la CAF (prime de naissance, allocations), il faut impérativement déclarer ta grossesse avant la fin du troisième mois, ce qui suppose... une échographie. En clair, si vous ne vous pliez pas au calendrier médico-administratif, vous êtes pénalisé financièrement. Loin de se contenter de recommander, l’État conditionne ses prestations sociales à des actes médicaux dont la pertinence peut être remise en question. Cette pression systémique vous oblige à valider tout un protocole médical, sinon pas de sous.

Conclusion

Chaque échographie – surtout en mode Doppler - augmente l’exposition aux ondes. Ces expositions concernent parfois un embryon de quelques millimètres, dont les tissus nerveux sont en formation accélérée, lorsque ces échographies sont effectuées très tôt (avant 12 SA). Et plus on répète les échographies, plus on cumule le stress thermique et mécanique. La règle devrait être : « La dose minimale possible, le moins souvent possible. »

Concernant spécifiquement le Doppler pulsé, il n’existe aucune étude évaluant ses effets sur les embryons humains (études éthiquement impossibles à réaliser). Toutefois, les signaux issus de l’expérimentation animale ne sont pas rassurants, et justifient une vigilance accrue.

Bien que l’échographie reste un outil précieux dans le suivi des grossesses à risques, notamment pour détecter certaines anomalies ou surveiller le développement du fœtus, son usage systématique, sans indication médicale claire, devrait être reconsidéré à la lumière du principe de précaution. Écouter son corps, observer ses cycles, utiliser les méthodes de suivi naturel : archaïque pour certains, mais respectueux de la physiologie.

Et si l’échographie n’était utilisée qu’en cas de vrai doute clinique, plutôt qu’en routine émotionnelle ou administrative ?

À l’heure où l’on parle de précaution pour tout et n’importe quoi, qui protège réellement les fœtus de l’excès d’ultrasons ?

Vik le Viking

Bibliographie :

• Ang, E. T., et al. (2006) : « Prenatal ultrasound exposure induces anxiety and reduces neurogenesis in adult mice », Neurotoxicology and Teratology, 28(2), 291–298.
• Li, H., et al. (2011) : « Ultrasound-induced oxidative stress and neuronal apoptosis in the developing mouse brain », Brain Research, 1388, 114–120.
• O’Brien, W. D., Jr., et al. (2006) : « Increased permeability of the blood-brain barrier following prenatal ultrasound exposure », Ultrasound in Medicine and Biology, 32(7), 1093–1098.
• Suresh, S., et al. (2007) : « Prenatal ultrasound and postnatal cognitive development : animal studies on growth retardation and neurological impairment », Developmental Neuroscience, 29(6), 486–495.
• Barnett, S., & Jensen, F. (année non spécifiée) : « Thermal effects of Doppler ultrasound on embryonic tissues : temperature elevation and potential risks », Journal of Ultrasound in Medicine.
• American Institute of Ultrasound in Medicine (AIUM) (Dernières recommandations) : « Guidelines for the safe use of Doppler ultrasound in obstetrics ».
• International Society of Ultrasound in Obstetrics and Gynecology (ISUOG) : « Practice guidelines : Use of Doppler ultrasound during pregnancy ».
• Haute Autorité de santé (HAS), France : « Recommandations sur l’usage des ultrasons en obstétrique ».
• Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) : « Position sur l’échographie et le Doppler en début de grossesse ».
• Organisation mondiale de la santé (OMS) : « Recommandations concernant le nombre d’échographies en grossesse normale ».

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